Tigran Kerbedanz et Kalust Zorik, fondateurs de la marque Kerbedanz, annoncent la nomination à sa tête de Guillain Maspétiol.
Motivation et inspiration au service de l’excellence
Sa posture est celle d’un bouillonnement d’idées au service d’un repositionnement de la marque. Des idées d’avenir, ancrées dans le passé récent d’une marque familiale qui, loin des carcans trop historiques, multiplie le champ des possibles. Tout y est, le savoir-faire des métiers d’arts aux parfums d’émail et de gravure, jusqu’au tutoiement des complications-mères et de la pure chronométrie. Reste que Kerbedanz, qui créé notamment des pièces uniques et des petites séries et qui dispose de Maximus, le plus grand tourbillon du monde, mérite aussi d’explorer des territoires plus larges.
Kerbedanz face aux marchés du monde
Issu d’un parcours particulièrement complet au service de grands noms de l’horlogerie, Guillain Maspétiol entre dès fin 1994 à Hong Kong chez Cartier.
De responsable Travel Retail à Séoul, toujours pour Cartier, il saute à Dubai pour Jaeger-LeCoultre principalement, et aussi conjointement pour IWC. De la Turquie à l’Inde et au Pakistan, en passant par le Yemen et les pays du Golfe, il gère aussi toute l’Afrique du Nord. Puis, il s’établit quelques années en Angleterre, comme directeur de la marque, avant de reprendre la gouvernance d’un de ses marchés capitaux, la France. Enfin, toujours pour Jaeger-LeCoultre, Guillain Maspétiol repart à Hong Kong durant quatre ans et demi pour reprendre la direction de toute l’Asie du Nord. Une expertise du terrain mondial qui sera à coup sûr profitable pour Kerbedanz.
