D'Oberli à Pybus William

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D'Oberli à Pybus William - Dictionnaire des Horlogers
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Abécédaire des hommes et des entreprises qui ont fait l'histoire de l'horlogerie.

OBERLI J. Fils (Vve)
Horloger. Mentionné à Genève vers 1907.

OBSERVATOIRE DE GENEVE
Le premier Observatoire de Genève date de 1772, fondé par Jacques André Mallet. (1740-1790). Le second, de 1829-1830. Premier concours de réglage de chronomètres en 1790. Premier service chronométrique crée en 1842. Premier concours annuel de réglage en 1872, institué par la Société des Arts. Le règlement de ces concours annuels a été modifié à plusieurs reprises, en particulier en 1879, 1908, 1923 et en 1928.

OCANA
Marque genevoise enregistrée.

OCEANIC
Marque genevoise enregistrée de Boîtes de Montres, Geneva Watch Case, Co.

ODEMARD Jean Jaques
Apprenti horloger chez Jean Baptiste Duboule en 1638 à Genève.

ODET Etienne
Maître horloger genevois. Forme Louis Gabriel Colladon en 1779.

ODET Pierre-François
Fils de Gabriel. Origianaire de Genthod, environs de Genève. Horloger. Reçu habitant de Genève en 1756.

ODIER Marc-Isaac
Fils de Gabriel-Louis. Troinex, environs de Genève. Horloger. Reçu habitant de Genève en 1784.

OECHSLIN Ludwig
Peu de créateurs peuvent se prévaloir d'avoir embrassé une telle somme de connaissances dans l'approche de leur art. Connaissances théoriques dans les disciplines relevant des sciences humaines, expérience pratique acquise à l'établi, outils en main. Né en 1952, Ludwig Oechslin commence par l'étude de l'Antiquité à l'université de Bâle. En 1976, il obtient sa licence en archéologie, histoire ancienne et grec. Puis il décide de prolonger son parcours académique par un apprentissage d'horloger, chez Jörg Spöring, le maître horloger de Lucerne. Il reçoit ensuite un mandat du Vatican pour restaurer une pendule astronomique du XVIIe siècle, l' "Horloge des Farnese". Travail qui nécessite quatre ans et qui se conclut par un Mémoire en quatre tomes, publié par la Bibliothèque Vaticane.
Dans les créations de Ludwig Oechslin, rien n'est servilement emprunté aux pionniers. Seules les informations et les idées jaillies de ses travaux de recherche lui permettent d'aller encore plus loin.

OETTINGER Georges
(Genève 1817-1891). Maître graveur. Membre de la Société des Arts.

OETTNER André
Maître orfèvre et peintre sur émail. Elève de Jean V Mussard. en 1712 à Genève.

OLAR Abraham
Maître horloger genevois. Mentionné en 1700-1750.

OLIVET
Marchand horloger, établisseur Mentionné à Genève en 1844.

OLIVET Jean-Antoine
Fils de Barthélemy, Originaire de Luzerne (Suisse). Emailleur. Reçu habitant de Genève en 1790.

OLIVIER E.
Fameux régleur genevois de Vacheron Constantin. Reçoit le premier prix au Concours de chronométrie de Neuchâtel en 1948, pour avoir présenté, pour Vacheron Constantin, sept chronomètres à ancre-tourbillon, spiral acier coudé, balancier Guillaume et en 1900, le troisième prix pour Patek-Philippe.

OLIVIER John
Probablement marchand genevois. 1850-1860. Montres en tous genres de très bonne qualité destinées au marché américain.

OLIVIER-CELLIER
Horloger genevois, Montres fantaisie. Présent à l'Exposition de Genève en 1828.

OLLARD (OLARD) Abraham
Originaire du pays de Gex, Ain (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1700.

OLPHAN (OLFAN) Jean
Fils de Germain. Originaire du Dauphiné (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1748.

OLPHAN André
Fils de Germain. Roybon, Dauphiné (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1764.

OLTRAMARE Benjamin
Fabricant d'horlogerie genevois. Première moitié du XIXe siècle. Montres à répétition style Breguet. Présent à l'Exposition de Genève en 1828.

OLTRAMARE David
Alias DO RUMARE. XVIIe siècle. Maître horloger. Montre de forme en cristal de roche et montres croix signées Oltramare.

OLTRAMARE Etienne
Fils de Jaques. Apprenti horloger chez Thomas Lixson en 1654 à Genève. Forme Isaac III Caillate (Caillette) en 1684.

OLTRAMARE Hugues
Emailleur, fabricant d'horlogerie et monteur de boîtes. Début du XIXe siècle. Mentionné à Genève en 1851. Signe également: Outremer.

OLTRAMARE J.-L.
Marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1870.

OLTRAMARE Jaques
Maître horloger. Moitié et seconde moitié du XVIIe siècle à Genève. Montres en forme de croix.

OLTRAMARE Jaques
Horloger. Seconde moitié du XVIIIe siècle. Montres de type classique avec boîtes décorées d'émail et pierres.

OLTRAMARE Jean François
Fils de Jaques. Maître horloger et orfèvre. Implante à Berne et Lausanne (Suisse) un atelier pour la construction d'horlogerie. Apprenti horloger chez Daniel Millenet en 1661. S'établit à Bâle (Suisse) en 1677.

OLTRAMARE Jean-Pierre
Emailleur. Mentionné à Genève dès 1860.

OLTRAMARE Louis
Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. Montres de bonne qualité à boîtier en or et décorées d'émail. Mentionné à Genève en 1857.

OMÉGA GENEVE
Atelier de réglage pour montres de haute précision destinées aux concours, sous la direction de M.A. Jaccard. Ces montres obtiennent en 1931, dans la série B, le premier prix au concours de l'Observatoire de Genève, ex aequo avec les Maisons Patek-Philippe et Vacheron-Constantin.

OMÉGA WATCH Co. LOUIS BRANDT & Frères
Marchands. Mentionné à Genève en 1924.

ONORA
Marque genevoise enregistrée.

ORAVIA
Marque genevoise enregistrée.

ORIA S.A.
Fabrique et commerce d'horlogerie. "Oria" et "Tornos" marques enregistrées en.

ORSAT François
Horloger. Mentionné à Genève en 1860.

ORSHLING Edouard
Horloger. Mentionné à Genève en 1860.

ORVIN
Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. Fameux boîtier et orfèvre. Travaille pour Droz & Leschot, Piguet & Capt, Piguet & Meylan, Frisard, Rochat.

ORZOLEZ Jean-Pierre
Fabricant d'horlogerie genevois. Vers 1800.

OTHENIN GIRARD
Vers 1860-1870 à Genève. Montres compliquées de très belle qualité. Construit pour le marché sud-américain et espagnol. Montres à répétition à quarts et à minutes, secondes indépendantes, quantième.

OTHENIN-GIRARD Abram
Fils d'Abram. Mentionné en 1743. Justicier à La Chaux-de-Fonds en 1778. à fait des pendules remarquables avec découpures et gravures.

OTHENIN-GIRARD Daniel
Fondeur du roi au Locle ; fait des ornements en bronze ou en cuivre pour les pendules. Cité de 1765 à 1794.

OTHENIN-GIRARD Felix
Fils de Pierre, frère de Daniel. Faiseur de cabinets de pendules en bois massif. Est engagé en 1767 à La Chaux-de-Fonds par la fabrique royale de Lisbonne.

OUTREMER
Fabricant d'horlogerie.

OXIMA
Marque genevoise enregistrée.

P-M.
Marque genevoise enregistrée.

PABU (PATRU) Abraham Père
Maître horloger à Genève en 1637.

PACCARD
Courtier en horlogerie. Mentionné à Genève en 1831.

PACCARD Antoine
Horloger. Mentionné à Genève vers 1817.

PACCARD Barthélemy
Graveur. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe siècle.

PACHE André
Horloger. Mentionné à Genève en 1860.

PACHE Béat-Louis
Fils de Michel. Oron (Suisse). Compagnon horloger. Reçu habitant de Genève en 1747.

PACQUET Jaques
Maître lapidaire. Forme André Fayzand, à Genève de 1666 à 1668.

PAGODA WATCH
Marque genevoise enregistrée.

PAICHE
Né en 1768 à Genève. Horloger.

PAICHE-57
Emboîteur. Mentionné à Genève en 1835.

PAILLARD Charles Auguste
(1840-1895). D'origine neuchâteloise. S'établit à Genève, en 1862. Invente les spiraux non aimantables et inoxydables en alliage de palladium en 1877; construit des balanciers non magnétiques avec un alliage de même nature en 1885. Reçoit le 2e prix au Concours de chronométrie de Genève, en 1888 pour la « Geneva non magnetic Watch Co. », sa manufacture. Expose en 1893, à l'exposition de Chicago, une série de montres de précision avec Bulletin de Marche. Montres répétition à minutes, quantième perpétuel, chronographes et rattrapantes très soignées.

PAILLARD Henri
Fils de Benjamin. Sainte-Croix, bailliage d'Yverdon (Suisse). Marchand orfèvre, marchand joaillier. Reçu habitant de Genève en 1791.

PAILLARD J. A.-Eu.
Horloger. Mentionné à Genève en 1861.

PAILLARD Jean-Jacques
Maître horloger, Mentionné à Genève 1775-1792.

PAILLARD Louis
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1860.

PAINGART Daniel
Né à Paris(France) en 1624. Maître orfèvre et peintre sur émail. Apparaît dans les archives de Genève en 1651. Loue des chambres et paie son loyer en ouvrages de peinture d'émail. Forme Jean Piaget de 1663 à 1665, comme apprenti peintre sur émail pour montres et Guillaume François Bulet de 1664 à 1665.

PAISANT François
Émailleur en tous genres. Mentionné à Genève en 1870.

PALAY Louis
Horloger. Mentionné à Genève en 1750-1771.

PALEIRY
Horlogerie. Mentionné à Genève en 1835. Aiguilles de montres.

PALEIRY Daniel-J.
Établisseur. Mentionné à Genève en 1870.

PALLANDRE Ch.
Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1924.

PALLARD Daniel
Apprenti orfèvre chez Isaac Mussard. Mentionné à Genève en 1671.

PALLWEBER Josef
Horloger autrichien, inventeur des heures sautantes et l'affichage digital en 1883. Pallweber vendait des licences pour produire des montres en utilisant son brevet notamment à Cortébert Watch Co. et IWC, qui a lancé sa première montre de poche dite "Pallweber" en 1885.

PAMIR
Marque genevoise enregistrée.

PAMM Frères
Lusina. Fabricants, Mentionnés à Genève vers 1937.

PAN
Horloger Mentionné à Genève 1830-1850. Construit, en particulier pour la Chine, des petites montres-pendentifs en métal, argent et or peint sur émail et perles. Mouvements de type classique, avec fusée et échappement à verge.

PANCHAUD François
Fabricant horloger à Genève. S'associe avec Jean-Etienne Piot de 1780 à 1790 environ et avec Jean Adam Panchaud de 1790 à 1801. Montres simples et à répétition, à boîte en or trois couleurs et émail.

PANCHAUD Jean Adam
Maître horloger. S'associe avec Jean-Etienne Piot, Mentionné à Genève de 1790 à 1801.

PANRIER
Horloger. Mentionné à Genève vers 1770. Travaille à Genève et à Ferney.

PANSIER Jean
Probablement marchand. Mentionné à Genève en 1830-1860 environ. Montres de dame en or et émail, souvent décorées de gravure en taille-douce. Mouvement à ponts, échappement à cylindre.

PAPET Abraham
Neydens (France). Horloger privilégié. Reçu gratuitement habitant de Genève en 1754.

PAPILLON FILS
Fabricants d'horlogerie. Mentionnés à Genève vers 1820.

PAPILLON Jean François
Maître horloger. Mentionné à Genève 1770-1791.

PAPILLON Jean-Pierre
Fils de Pierre. Paris (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1762.

PAQUELET François
Orfèvre. Mentionné à Genève au milieu du XVIe siècle.

PAQUELET Jean
Orfèvre. Mentionné à Genève fin du XVIe, début du XVIIe siècle.

PÂQUET Daniel
Peintre sur émail et émailleur. Mentionné à Genève en 1866.

PAQUET George
Apprenti horloger chez Jaques Collomb Mentionné à Genève en 1656.

PAQUET Jacob
Fils d'Etienne. Laconnex. Compagnon horloger. Reçu habitant de Genève en 1764.

PAQUET Marc
Horloger. Mentionné à Genève en 1860.

PARENT Aubert
Architecte et sculpteur neuchâtelois. Vécut à Neuchâtel puis à Bâle. Un cartel lui est attribué. A dirigé vers 1804 les fouilles d'Augst En 1806 le roi de Prusse ordonne au Conseil d'État de Neuchâtel de lui faire donner 100 Reichsthaler pour un ouvrage sur Les Antiquités de la Principauté de Neuchâtel.

PARIS Charles
Horloger. Mentionné à Genève en 1860.

PARIS Jean-Jacques
Fils de Jean. Emailleur. Reçu habitant de Genève avec ses deux fils en 1792.

PARLEIRY Pères & Fils
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1857.

PARMIGIANI Michel
Né à Couvet en 1950, d'un père milanais, mécanicien-outilleur et d'une mère férue de dessin, Michel Parmigiani a commencé sa carrière en restaurant des montres anciennes, après avoir terminé l'école d'horlogerie de la Chaux-de-Fonds et un diplôme d'ingénieur ETS au Locle. En 1975, il ouvre son propre atelier de restauration qui connaît tout de suite le succès, grâce à l'aide de deux collectionneurs bâlois, et surtout grâce à l'aide de la famille Sandoz qui lui confie la restauration de sa collection d'automates.
C'est également la Fondation Sandoz qui l'aide à créer sa propre marque, en 1995. Il fabrique ainsi des montres de grand prix (de 15.000 à 300.000 francs) en petites séries.

PARTERY Antoine
Apprenti horloger Mentionné à Genève en 1787.

PASCAL Louis
Maître graveur. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle.

PASCALIS-PACCARD
Monteurs de boîtes. Mentionné à Genève. En 1844.

PASCHAUD François
Né en 1763 à Genève. Horloger.

PASCHE P.
Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1924.

PASMANTIER D. & Cie
Horloger marchand. Mentionné à Genève vers 1909.

PASSERAT
Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève de 1828 à 1835.

PASSY
Cabinet d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1844.

PASSY Luc
Atelier d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866.

PASSY Simond
Horloger. Mentionné à Genève en 1860.

PASSY V. Madeleine ou J.-F.
Horloger. Mentionné à Genève en 1862.

PASSY
Atelier d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866.

PASSY-GINDRE F.
Horloger. Mentionné à Genève en 1860.

PASTEUR Jacques
Horloger. Genève et Londres. Vers 1750.

PATA Jaques
Compagnon horloger de Daniel Millenet. Mentionné à Genève en 1648.

PATEK & CZAPEK
Fabricants d'horlogerie. Mentionnés à Genève de 1839 à 1845. voir Patek Philippe.

PATEK Charles
Horloger à Genève. Premier à l'Exposition de Londres en 1851 et de Paris en 1856. Montres-pendentifs en or et émail.

PATEK PHILIPPE
Patek Philippe s'identifie au sceau de l'excellence, du prestige, et surtout d'une perfection technique. C'est grâce à la rencontre de deux hommes aux génies exceptionnels - Antoine Norbert de Patek et Adrien Philippe - que la firme Patek Philippe brille au zénith de son actuelle renommée internationale. Depuis 1839, cette maison maintient au plus haut niveau une tradition de raffinement et de rigoureuses exigences. En 1839, le 1er mai, Antoine Norbert de Patek, né le 12 juin 1812 à Piaski en Pologne et émigré à Genève, et François Czapek, né le 4 avril 1811 à Senomitz en Bohème, fondèrent la maison Patek, Czapek & Co. Genève, son siège social étant situé au 29, Quai des Bergues. En 1842 Jean Adrien Philippe, né en 1815 dans un petit village proche de Paris d'un père horloger, réalise la première montre de poche, extrêmement plate, qui pouvait être remontée et mise à l'heure par le moyen d'une couronne au pendant, au lieu d'une clé. En 1843, le 29 mai, Antoine Norbert de Patek obtient la nationalité suisse. En 1844, Antoine de Norbert Patek rencontre Jean Adrien Philippe à l'Exposition universelle de Paris. Ce dernier se voit proposer le poste de directeur technique par Patek, dès que son contrat prendra fin avec Czapek. En 1844, Jean Adrien Philippe reçoit la médaille d'or à l'Exposition universelle de Paris pour son système révolutionnaire de remontage sans clés. En 1845, le 22 avril, Philippe se voit accorder le brevet N° 1317 pour son système de remontage au pendant. En 1845, dissolution de la compagnie Patek, Czapek & Co. Le 1er mai, Antoine de Norbert Patek, son partenaire Jean Adrien Philippe et Vincent Gostowski, homme de loi né en 1807 à Grzymkien en Pologne, fondent à Genève la maison Patek & Co., avec son siège principal situé au 15, Quai des Bergues. La maison utilise alors un grand nombre de machines construites par Adrien Philippe lui-même. En 1845 le 17 mai la maison Patek Czapek & Co, change et adopte officiellement le nom de Patek & Co. En 1851, le 1er janvier, les mêmes partenaires établissent une nouvelle compagnie au nom de Patek Philippe & Co. En 1894, décès d'Adrien Philippe le 5 janvier. En 1902, le 1er février Patek Philippe & Co devient une Société Anonyme sous la raison sociale "Ancienne Manufacture d'Horlogerie Patek Philippe & Cie, S.A". En 1932, après la crise économique mondiale de 1929 et la chute des ventes de montres de haute qualité, la maison doit se mettre en quête d'un acheteur solvable qui pourrait reprendre la majorité des actions. Ce sont les frères Charles et Jean Stern, propriétaires de la Fabrique de Cadrans Stern Frères ayant établi d'étroites relations avec Patek Philippe, qui acquièrent la majorité des actions de Patek Philippe & Cie. En 1933, décision prise par le nouveau directeur général de Patek Philippe de réintroduire la production de ses propres ébauches. En 1934, Henri Stern, né le 25 mai 1911, fils de Charles Stern Senior, devient responsable de la distribution de Patek Philippe sur le marché américain et fonde la filiale "Henri Stern Watch Agency" à New York. En 1966, Philippe Stern, né le 10 novembre 1938, entre dans la firme Patek Philippe dirigée par son père. En 1968, la firme Patek Philippe et d'autres manufactures suisses deviennent membres d'un nouvelle compagnie "Centre Horloger Electronique" (CEH) dont le but est d'étudier ensemble un calibre de montre à quartz. Développé et achevé après une année de recherche, le calibre Béta 21 (39 x 24.3 mm) est prêt pour le lancement. En 1977, Philippe Stern est nommé directeur général. En 1989, pour le cent-cinquantième anniversaire, après 9 ans de recherche et de développement, le "Calibre 89", la montre la plus compliquée du monde est présentée. En 2000, la troisième montre la plus compliquée du monde, le « Star Caliber 2000 » est présenté en octobre. Il a nécessité huit ans de travail à dix personnes qui ont déposé six brevets mondiaux pour parvenir à la fabriquer, avec ses 21 complications.

PATERNOSTRE Jean
Né en 1757. Maître horloger. Mentionné à Genève jusqu'en 1792.

PATEY
Horloger. S'établit au Locle (Suisse), vers 1760.

PATRI Louis
Fils de François. Orfèvre. Reçu habitant de Genève en 1696.

PATRIE Abraham
Horloger. Mentionné à Genève vers 1611.

PATRON & ARNAUD
Horlogers. Mentionnés à Genève vers 1750.

PATRON J. S.
Horloger. Mentionné à Genève vers 1800.

PATRON Jacques
(Genève 1754-1827). Fils de Pierre. Maître horloger, très réputé, spécialisé dans la fabrication de montres à automates, à musique, avec boîtes en or et émail, de grande qualité.

PATRON Jean-Louis
Maître horloger. Mentionné à Genève en 1750-1780. Signe une montre en or bicolore, à répétition des quarts à toc, vers 1770.

PATRON Jean-Louis & Cie
Horlogers. Mentionné à Genève vers 1750. On trouve cette signature sur une montre Louis XV, à répétition à quarts à toc, en 1770.

PATRON Pierre L'aîné
Maître horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. Montres à répétition, quantième avec boîtes en or décorées d'émail et boîtes guillochées.

PATRU (PATTRU) Suzanne
Fille d'Abraham. Apprentie "faiseur" de chaînettes de montres. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle.

PATRU Abraham
Apprenti chez Martin Duboule à Genève en 1611. Maître horloger et "Faiseur" de ressorts en 1620. Meurt en 1674.

PATRU Jaques
Fils d'Abraham. Apprenti horloger chez David Delafontaine. Mentionné à Genève en 1656.

PATRU Pierre
Maître horloger. Mentionné à Genève à la fin du XVIIe début du XVIIIe siècle.

PATRY & Alexandre CHAUDOIR
Associés à Genève de 1791 à 1796. Montres simples et compliquées, décorées de boîtes en or, émail et perles; montres révolutionnaires.

PATRY & CHENEVIERE
Mentionné à Genève dès 1798. Construit des montres de forme, en or, émail et perles.

PATRY Alexandre
Maître orfèvre et horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. Travaille avec son frère Jean. Forme Jean-Pierre Jurine en 1762. S'associe avec Louis-Frédéric-Guillaume Chaudoir de 1791 à 1795. La raison sociale est: Chaudoir & Patry.

PATRY André
Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle. Boîtes de montres.

PATRY André
Maître horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe siècle.

PATRY Ayné
Apprenti orfèvre chez Amy Deneria. Mentionné à Genève en 1645.

PATRY Etienne
Compagnon orfèvre de son frère André. Mentionné à Genève en 1681.

PATRY Jaques
Maître horloger. Apprenti chez David Delafontaine. Mentionné à Genève en 1656.

PATRY Jean
Maître orfèvre et horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. Travaille avec son frère Alexandre. Forme Jean-Pierre Jurine en 1762.

PATRY Philippe
Compagnon horloger d'Isaac Pénard à Genève en 1658. Devient maître en 1660.

PATTAY Jean Joseph
Horloger. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe début du XIXe siècle.

PATTEL
Horlogerie. Mentionné à Genève en 1835.

PATTEY Abraham
Horloger. Mentionné à Genève à la moitié du XVIIIe siècle. Apprenti chez Abel Fremin en 1640. Forme Jules Cartier fils de Jaques, en 1657.

PATTEY Jean-Augustin
Horloger. Mentionné à Genève vers 1817.

PATTEY Jules
Maître orfèvre. Se spécialise dans les boîtes de montres. Mentionné à Genève à la fin du XVIIe siècle. Forme Abraham Hem en 1689 et Marc Lagisse en 1695.

PATTEY Pierre
Maître horloger à Genève. Forme Michel Deluc en 1692 et André Besson en 1698.

PATTON Marie-Louise
Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1857.

PATTRU (PATRU) Abraham Fils
Maître horloger. S'associe avec Devaux. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle.

PATTRU (PATRU) Jaques
Apprenti horloger à Genève chez André Duval en 1650 et chez Jean Gaspard Girod en 1651.

PATTRU (PATRU) Jean
Maître horloger Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle, en 1666.

PAU A.
Horloger. Mentionné à Genève vers 1907.

PAUL & MORICAND
Mentionné à Genève vers 1795. Dirigent une fabrique pour le compte de l'Etat à Chantepoulet. Puis Moricand se retire et Paul devient directeur de la manufacture.

PAUL Anne-Marie
Fabricante d'horlogerie. Mentionnée à Genève au début du XIXe siècle.

PAUL Jacques et André MASSOT
Horlogers. Mentionnés à Genève en 1765, ils obtiennent quelques privilèges et s'installent à Montbéliard.

PAUL Jaques
Horloger mécanicien. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe début du XIXe siècle. Membre de la Société des Arts.

PAUL JEANNOT-PAUL PERRET
Marque genevoise enregistrée.

PAUR
Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1831.

PAUTEX
Horlogerie. Mentionné à Genève vers 1835-1850.

PAUTEX Antoine
Horloger. Mentionné à Genève en 1860 et en 1870.

PAUTEX Louis
(Genève 1841-1916). Peintre sur émail. Spécialisé en peinture florale sur émail. Reçoit deux récompenses de la Société des Arts de Genève aux concours de peinture sur émail de 1867 à 1876. Présent à l'Exposition nationale de Genève en 1896. Obtient une médaille d'or à l'Exposition universelle de Bruxelles en 1897.

PAUTEX M.
Monteur de boîtes. Mentionné à Genève en 1828.

PAUTEX Moyse
Fabricant et régleur. Reçoit le 1er accessit au Concours de chronométrie de Genève en 1792.

PAVID A.
Fabricant et régleur à Genève. Fabrique des chronomètres. Montres de bonne qualité, décorées de boîtes émaillées de mille fleurs, champlevées et cloisonnées. Obtient de nombreuses récompenses pour la fabrication et le réglage des montres. Présent à l'Exposition nationale de Genève en 1896. Brevète entre 1895 et 1902 une nouvelle attache du spiral (tenon mobile), un coq qui facilite le réglage du balancier, un réglage micrométrique de la raquette, un arrêt de tension du ressort sans action sur les rouages. 2 fois troisième prix à l'Observatoire de Genève en 1888. Signature sur une montre très soignée à échappement à ancre équilibrée en ligne droite.

PAVILLON WATCH et Cie
Genève. Montres de gousset. Très beaux mouvements avec poinçon de Genève. Vers 1920.

PAZ, LA
Marque genevoise enregistrée.

PEACOCK CHRONOS METRON MAHABUB
Marque genevoise enregis

PECCOUD
Fabrique de verres de montres. Mentionné à Genève en 1844.

PÉCORAT
Horlogerie-bijouterie. Mentionné à Genève en 1844.

PELATON Joseph-Combrias
Fils d'Abraham. Boudevilliers, comté de Neuchâtel (Suisse). Orfèvre. Reçu habitant de Genève en 1761.

PELAZ & SUBIT
Mentionné à Genève dans la première moitié du XIXe siècle. Boîtes de montres. Mettent au point un système pour la gravure laminée. Présents à l'Exposition de Genève en 1828.

PELIQUET
Faiseur de verges. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIle siècle.

PELISSIER Daniel
Maître horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle. Forme Louis-François Burdet en 1671.

PELL L.
Horloger. Mentionné à Genève vers 1907.

PELLARDET J. M. & Co
Mentionné à Genève à la fin du XIXe,début du XXe siècle. Horlogers commerçants. Montres avec complications très soignées. Signature sur une montre à répétition à minutes, chronographe à compteur d`instantané.

PELLARIN Jean
Horloger. Mentionné à Genève en 1861.

PELLATON & GONCET
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1857.

PELLATON Aug.
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1857-1861.

PELLATON Albert
Ancien directeur technique chez IWC et inventeur du système de remontage automatique Pellaton.

PELLATON Emile Juillard-Pellaton
En 1872 Emile Juillard-Pellaton démarre une entreprise qui marquera l'histoire de la montre dans le Jura et plus particulièrement à Porrentruy. Secondé par Emile fils, Albert et sa femme, Emile Juillard crée les montres de marques " Bulla ", " Carpo ", " Libelle " et " Sideras ". Cette riche production permet à l'entreprise familiale de gagner certains prix d'excellence pour ses montres dont la médaille d'or en 1902 à l'exposition cantonale de Porrentruy. 

Le déclin de l'industrie horlogère ne décourage pas Emile Juillard qui persiste à croire en ce métier malgré les temps difficiles. Il faudra toutefois attendre quelques années, soit peu après le décès de ce pionnier en 1941, pour voir l'industrie horlogère retrouver son élan. C'est son fils Albert qui a l'honneur de reprendre le flambeau familial à cette époque d'espérance. Vint ensuite une troisième génération d'horloger dans la famille Juillard alors qu'à la mort d'Albert, en 1947, son fils Georges prend à son tour les rennes de la manufacture. Ce dernier s'éteint en 1973 entraînant avec lui l'entreprise devenue depuis centenaire. 

PELLATON Frédéric-Albert
Né le 17 nov. 1832, décédé le 9 sept. 1914 fils de Sylvain. Horloger réputé au Locle, fabricant d'échappements à ressort, à tourbillon et à ancre; en a construit beaucoup pour chronomètres de marine.

PELLATON Henri-Louis
Né le 6 févr. 1775 à Travers, mort le 14 août 1852, fils de Pierre-Henri. Arpenteur et peintre sur verre, décora de nombreuses pendules. Vécut surtout aux Ponts-de-Martel.

PELLATON James Caesar
James Caesar Pellaton (1873 - 1954), who followed his equally well-known father, Albert Pellaton-Favre, as important maker of tourbillons. What distinguished James from his father was his scientific and theoretical approach towards his profession. This made him a perfect candidate when in 1903 the famous Horological School in Le Locle searched able teachers in escapement-making. Being apt at watchmaking theory as well, he authored a textbook on clock escapements which is used at Swiss horological schools until today and was translated into several languages. After 22 years of teaching he became director of the school in 1925 and remained in this position until his retirement in 1939. He was a founding member of the Swiss Chronometric Society, was awarded the honorary doctor's degree by the university of Neuchâtel in 1938 and received several honorary titles and medals for his restless work.

James Pellaton made many tourbillons for renown watchbrands, primarily for Patek Philippe and Ulysse Nardin, and each of his tourbillons reflected his unique personal style. Easily recognizeable are his products by the shape of the tourbillon bridge, which shows two mounting points on the left and one on the right, leaving the tourbillon cage fixed by a triangle or 'fork'.

James Casar Pellaton (d.1954).One of the most esteemed makers of tourbillons in the 20th century. He learned his craft from his father, also an esteemed tourbillon maker. In terms of design, he followed his father's footsteps, using the same type of ebauches. He became director of the Le Locle Technicum, which in 1943 awarded him the degree of Doctor Honoris Causa.

PELLATON LOEW & Co.
Horlogers, probablement commerçants. Mentionné à Genève vers 1850. Montres pendentif décorées d'émail et perles.

PELLATON-FAVRE Albert
Only the over 35 Tourbillons, which Albert Pellaton-Favre (1832-1914) and his son James Pellaton manufactured for Patek Philippe, is a special class in the area of precision horology. Apart from the outstanding results, obtained by these calibres, it is the esthetical concept combined with the absolute technical perfection and craftsmanship, which distinguished these instruments. The Tourbillons of Pellaton represent the best, ever brought out by the Swiss chronometry. The basic calibre was developed by A.Pellaton Favre. He used, without exception, an Earnshaw chronometer escapement in his revolving carriages. His son James Pellaton 1873 -1954), director of the Technicum Le Locle, manufactured these Tourbillons as free co-worker for Patek Philippe. Unlike his father he favoured however Swiss anchor escapements. He often supplied just the complete ébauche (movement blank) and monitored the completion of the chronometer in house, where he had his own workbench. Exceptional performances could be obtained through these extraordinary privileges as granted by Patek Philipe. Their reputation was established by their farsighted and scientifically oriented way of acting.

PELLEGRIN (PELEGRIN) Marguerite
Faiseur de chaînettes. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe siècle.

PELLEGRIN Ch.
Emailleur. Mentionné à Genève vers 1907.

PELLET Jaques
Maître orfèvre à Genève. Forme Aymé Royaume en 1678 et Pierre Josias Mercier en 1680.

PELLET Jean-Jaques
Horloger. Mentionné à Genève vers 1815.

PELLET Samuel
Horloger. Mentionné à Genève en 1737-1768.

PELLOUX Jaques François
Horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe et au début du XIXe siècle.

PELOUX Antoine
Maître horloger. Mentionné à Genève en 1770-1791.

PELOUX L.
Monteur de boîtes. Mentionné à Genève en 1844.

PENARD Isaac II
Apprenti horloger à Genève chez Jaques Sermand l'oncle en 1632. Forme Gédéon Dentand en 1646; Jacques I Caillatte en 1647, Jaques Sermand neveu en 1650, Abraham Caillatte en 1655, Matthieu II Caillatte en 1658 et la même année prend pour compagnon Philippe Party; puis forme Daniel Piaget en 1662 et Jaques-Aimé Edon en 1699.

PENARD Jacques
Fils d'Antoine. De Ponet près de Die (France). Ouvrier horloger. Reçu habitant de Genève en 1689.

PENARD Sébastien
Maître graveur. Mentionné à Genève à la fin du XVIIe début du XVIIIe siècle. Graveur de boîtes pour Isaac Penard (maître horloger). Forme Aymé Barrillet en 1685; Jean Chenevière, fils de François, en 1693 et Etienne Collomb en 1700.

PENAVAIRE (PENAVERRE) Benjamin
Londres (Angleterre). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1737.

PENAY Joseph
Horloger. Mentionné à Genève en 1860.

PENCORY
Marque genevoise enregistrée.

PENE Bernardo
Horloger. Mentionné à Genève au début du XVIIIe siècle.

PENEY Jacques
Fils de François. Dardagny (Genève). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1753.

PENIER (PINIER) Jean-Claude
Horloger. Grand-Saconnex. Mentionné à Genève de 1715 à 1761.

PENNSÉ Jean
Horloger de la ville de Neuchâtel en 1598.

PENSIER Pierre
Emailleur. Mentionné à Genève dans le dernier tiers du XVIlle siècle. Prend en apprentissage Fourcy, de La Chaux-de-Fonds (Suisse).

PENTINEAU Isaac
Horloger. Mentionné à Genève vers 1650.

PENTINEAU Moïse
Horloger. Mentionné à Genève vers 1800.

PEPIN
Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1831.

PEPIN Etienne
Horloger. Mentionné à Genève en 1862.

PER(R)USSET ET DIDISHEIM
Maison fondée en 1858. Successeurs de Jaccard(y) Cie, Genève. Montres en tous genres, de bonne qualité, montres pendentifs, décorées d'émail et de perles. "Pnudi" Marque genevoise enregistrée le 11.12.1910. "Dypra" enregistrée

PERACHON Etienne
Maître horloger. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle. Forme plusieurs apprentis dont: Etienne Janvier en 1631, Pierre Fouryod en 1639, et Gaspard Nicod en 1641.

PERACHON Samuel
Maître orfèvre à Genève. Apprenti chez Pierre Deville en 1625.

PERCHERE
Horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIlle siècle.

PERCHERE André
Horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe début du XIXe siècle.

PERDONNET & ROUSSATIER
Fabricants d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1792-1800.

PEREY
Horlogerie. Mentionné à Genève en 1835.

PEREY Etienne-Louis-Henri
Fils de Benjamin-Thimothée-Emmanuel. Cossonay. Maître horloger. 1775-1792. Reçu habitant de Genève en 1790.

PERGAUD Louis-Charles
Maître horloger. Mentionné à Genève en 1770-1791.

PERIDIER Barthélemy
Né en 1765 à Genève. Fils de François. Peintre sur émail. Spécialisé dans la décoration de boîtes de montres.

PERIDIER François
Né à Genève en 1732. Peintre sur émail. Spécialisé dans la décoration de boîtes de montres et tabatières.

PERIDIER Jonas
Né à Genève en 1734. Peintre sur émail. Seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle. Spécialisé dans la décoration de boîtes de montres.

PERISCHEL Vincent
Horloger. Mentionné à Genève vers 1668.

PERISSE Etienne
Maître graveur. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIlle siècle.

PERISSE Pierre
Maître graveur. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIlle siècle.

PERISSEL Vincent
Maître horloger à Genève. Apprenti chez Charles Bobinet en 1639.

PERLET P. E.
Apprenti chez Jean Théodore Perrache peintre sur émail. Mentionné à Genève de 1769 à 1774.

PERMET Pierre
Maître et marchand orfèvre. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle.

PERNELLE Claude
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1874.

PERNELLE ou PERNETTE & Cie.
Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionnés à Genève en 1857.

PERNET Pierre
Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle. Forme Jean Courtine en 1621

PERNETTI Felix
Horloger-marchand à Genève. Première moitié et milieu du XIXe siècle. Montres de grande qualité et avec complications, décoration de boîtes gravées en taille douce et émaillées champlevé. Sa signature figure sur une montre à grande et petite sonnerie, à répétition à minutes et sur une montre émaillée représentant la carte géographique de l'Italie datant de 1820-1830 environ. Cette montre a probablement été exécutée sur commande spéciale d'un Notable de l'Italie du Nord. Travaille en particulier pour le marché italien. Montres pendentif à trois couleurs, mouvement à fusée et échappement à verge. Quelques-unes de ses oeuvres sont signées: Félix Permetti a Livorno.

PERNIN François
Horloger. Mentionné à Genève en 1860.

PERRACHE Jean Théodore
(Genève 3.05.1744 probablement Londres 1785). Peintre sur émail. Apprenti chez Jean Conrad Linck. S'associe avec P. F. Marcinhes de 1777 à 1779. a comme réassujetti Daniel Isaac Troll en 1766. Forme P. E. Perlet de 1769 à 1774. Est un des rebelles lors de la Révolution de Genève en 1782. à la fin de celle-ci, part pour Londres où il s'établit. Expose à la Royal Academy en 1784 et 1785.

PERRACHON Etienne
Maître horloger. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle. Forme Etienne Janvier en 1631 et Aymé Quinson en 1633.

PERRÉ Jean
Maître graveur. Mentionné à Genève au milieu du XVIIe siècle.

PERREAL Théodore
Apprenti graveur chez Noé Rousseau à Genève en 1680.

PERRELET A. & Cie.
Successeurs de E. C. Lecoultre, Manufacture de pièces à musique, d'Horlogerie et de montres, Genève. A exposé à l'Exposition nationale de Genève en 1896. On connaît de lui un important et rare meuble à musique de luxe, avec horloge, boîte à musique, jeux de flûtes, deux rouleaux à 8 airs et deux rouleaux vierges, voix célestes, tambours, timbres avec automates, castagnettes et trois régulateurs. Deuxième boîte à musique sur clochettes, faite et signée vers 1880.

PERRELET Abraham-Louis
Pendulier et fabricant d'horloges de clochers à La Chaux-de-Fonds. Cité de 176o à 1797 dans diverses communes. En procès en 1797 avec la commune d'Altkirch.

PERRELET Abraham-Louis dit l'Ancien
fils de David, né au Locle en 1729, mort le 4 février 1826. Donna par ses découvertes une forte impulsion à la fabrication de l'horlogerie et principalement des outils et de la montre. Il eut, entre autres comme élèves Abraham-Louis Breguet et son petit-fils Frédéric-Louis Perrelet.

PERRELET Jean-Jacques
Fils de Josué. Paraît en 1656. Cité en 1666 comme maître horloger au Locle.

PERRELET Louis-Frédéric
Né aux Calames, près du Locle, le 14 mai 1781, mort en janvier 1854, fils de Frédéric et de Juliane Othenin-Girard, petit-fils d'Abram-Louis Perrelet dont il fut l'élève au Locle. Célèbre horloger neuchâtelois. Vécut au Locle et surtout à Paris. A fait des horloges astronomiques et des pendules compliquées. Fut comblé d'honneurs.

PERRENOD Adolphe fils
Mécanicien à Genève. Dépose un brevet pour un micromètre comparateur en 1909.

PERRENOD Daniel
Fils de Zacharie, maître horloger aux Ponts-de-Martel. Cité en 1712 à la Brévine et à Môtiers.

PERRENOD David
De la Sagne. Horloger. Cité en 1670 à Môtiers.

PERRENOD Frédéric
Maître-horloger aux Ponts-de-Martel. Répare en 1712 l'horloge de la Brévine. Un Perrenod horloger " grossier", cité à Cortaillod en 1716.

PERRENOD Moise
Horloger pendulier et faiseur de chaînettes, aux Ponts de Martel. Cité en 1765 comme "artiste universel"

PERRENOD Paul
Horloger. Mentionné à Genève à la fin du XIXe siècle.

PERRENOUD Aimé
Horloger. Mentionné à Genève en 1861.

PERRENOUD Alfred
Horloger régleur à Genève, travaille pour Marius Lecoultre, reçoit en 1897, une mention honorable au Concours de Réglage.

PERRENOUD et COURVOISIER Gust.
Horlogers. Mentionnés à Genève.

PERRENOUD Frédéric-Louis
Fils de Jonas-François. Notaire, capitaine de milices et pendulier. Aux Ponts-de-Martel, puis à la Brévine. Ses actes vont de 1761 à 1801.

PERRENOUD H.
Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1915 et en 1924.

PERRENOUD Jean-Fredéric
Capitaine de milices, horloger pendulier et négociant à la Brévine. Cité en 1774 et 1776; a fait des pendules compliquées.

PERRENOUD Jean-Jacques
Mentionné en 1771 et 1772 pendulier et sautier à Valangin.

PERRENOUD-BOREL Emile
Né au Cottard près de la Brévine, mort en 1870. Voyage en Chine, puis se fixe à Fleurier comme pendulier et marchand horloger. Collaborateur de Charles-Auguste Friedrichs pour une horloge de précision en 1858. Pendules à grande sonnerie.

PERRET
Maître horloger. Mentionné à Genève vers 1790.

PERRET & Cie.
Horlogers. Mentionnés à Genève à la fin du XIXe, début du XXe siècle.

PERRET & FILS
Fabricant de chaînes et marchand d'horlogerie. Médaille à l'exposition de Genève en 1896. Mentionnés à Genèvejusqu'en 1907.

PERRET A.
Horloger. Mentionné à Genève vers 1860.

PERRET Alexandre
De La Ferrière. Il fut non seulement un horloger accompli, mais il se livrait dans ses moments de loisir à la pyrotechnie et à des expériences d'électricité. Ce même artiste s'est appliqué à la dioptrique et construisait des microscopes, des télescopes, des chambres obscures.

PERRET Daniel-Henry
Pendulier à la Brévine (1776).

PERRET David
Né au Locle, le 19 août 1846, décédé en 1908 fils de David

PERRET dit TORNARE
Famille originaire de La Sagne, établie dès le XVIIe siècle à Renan (Suisse). L'un deux, Abraham, était un habile horloger qui construisit, déjà en 1630, une horloge au Locle. Il s'établit plus tard à Neuchâtel.

PERRET et BERTHOUD
Fabrique d'articles d'horlogerie fondée en 1894. " Uso Ferrovie" Marque genevoise enregistrée le 15.1.1920. En 1924. Fabrication en tous genres pour l'Italie et l'Espagne.

PERRET Eugenio & Cie.
Horlogers. Mentionné à Genève vers le milieu du XIXe siècle. Spécialisés dans les montres-pendentifs à échappement à ancre.

PERRET Gustave
Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève vers 1810.

PERRET Jean
Maître graveur à Genève. Forme Pierre Beguin en 1657.

PERRET Jean
Fils de David Perret, dit Tornaire ou Tornare, à Saint-Imier. Il était " hospitalier " de l'hôpital de la paroisse du lieu. Il est mentionné comme témoin dans divers actes de l'époque et appelé horloger et tourneur. C'est lui qui fournit l'horloge de l'hôtel de ville de Delémont en 1739. En 1756, Jean Perret construisit et installa l'horloge de l'église de Miécourt. En 1757-58, il fit un accord avec la Justice de Saint-Imier pour la nouvelle horloge de l'église paroissiale.

PERRET Jean-Jacques-Henri
Né en 1772. Pendulier à la Brévine. Travaille en 1797 pour Fr.Antoine Borel. Établi à La Chaux-de-Fonds en 1813, reçoit jusqu'en 1816 des cabinets de Ch.-Fr. Dubois.

PERRET Jules
Pendulier à Combe-German (Saint-Sulpice). Travaille de 1841 à 1856 pour Frédéric Jean Jaquet.

PERRET Louis
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1857.

PERRET O.
Horloger. Mentionné à Genève vers 1909.

PERRET Paul
Invente, à Genève, en 1900 un spiral compensateur "Invar" et un instrument "Campyloscope" pour mesurer tous les points concernant la courbe terminale du spiral. S'associe avec Paul Jeannot pour la construction de chronomètres de poche. Travaille avec Guillaume sur la recherche du spiral compensateur.

PERRET Philibert
Fils de Gustave. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XIXe siècle. Brevète un système d'arrêt à détente par le remontoir, Montres très soignées, montres compliquées, chronomètres à détente à ressort avec fusée et balancier compensateur spécial. Travaille pour l'Espagne et l'Amérique du Sud.

PERRET- DIT-TORNARE Abraham
Horloger de la Sagne. S'établit en 1630 à Neuchâtel-ville. Fait et répare diverses horloges de clochers jusqu'en 1639.

PERRET-GENTIL
« Pendule Louis XV signée » les Fils de Perret-Gentil au Locle, 1751

PERRET-GENTIL Abram-L'ours
Frère cadet de Jean-Jacques, pendulier, chez lequel il travaille au Locle en 1761.

PERRET-GENTIL Charles-François
Pendulier à La Chaux-de-Fonds, frère et associé de Moise. Se sépare de celui-ci en 1769. Indiqué comme absent du pays en 1783.

PERRET-GENTIL Daniel
du Locle, demeurant à Saint-Imier. Apprenti en 1718 chez Didier Devaux, faiseur de ressorts de montres et d'horloges à La Chaux-de-Fonds.

PERRET-GENTIL Jean-Jacques
« Expert horloger en pendules » au Locle. Cité de 1757 à 1775. à comme apprenti Frédéric Humbert -Droz. II reçoit de 1750 à 1756 des cabinets de pendules d'Abrarn-Louis Sandoz. Plusieures jolies pièces signées.

PERRET-GENTIL Jean-Pierre
Fils de Daniel. Genève. Polisseur de boîtes. Reçu habitant de Genève en 1778.

PERRET-GENTIL Moïse
père de Moïse et de Charles-François. Pendulier et officier de milices à La Chaux-de-Fonds. Aide à Daniel Ducommun-dit-Tinnon, en 1749, à réparer des horloges de clochers. Cité en 1769. Une pendule Louis XIV simple, à cadran étain, signée sur le mouvement.

PERRET-GENTIL Moïse
Fils de Moise, frère de Charles-François. Pendulier, associé de son père et de son frère jusqu'en 1769. (II y a donc 3 Moïse, Perret-Gentil, penduliers, dont deux fils de deux Moïse différents.)