Dreadlocks et vacances

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Dreadlock holiday - Editorial
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Certains n’aiment pas le cricket. Ils l'adorent ! Malheureusement, ce n’est pas le cas de votre rédacteur en chef.

Ne vous inquiétez pas, je ne suis pas sur le point de changer radicalement de coupe de cheveux et de partir au soleil, mais je n’ai pas trouvé de meilleur titre pour cet édito. Le sujet en est le cricket et vous vous demandez certainement ce que les dreadlocks viennent faire ici. Le titre fait référence à une chanson de 10cc aux intonations reggae (d’où les dreadlocks) qui remonte à 1978. Le chanteur y liste des sujets qu’il prétend d’abord ne pas aimer, avant d’avouer qu’il les ADORE. Parmi eux, le reggae, la Jamaïque et… le cricket !

Le fait que ce sport figure aux côtés du reggae et de la Jamaïque témoigne de sa popularité dans les Caraïbes. Quinze nations se sont unies pour former l'équipe des « Antilles » du cricket international. C’est un sport très populaire dans tout le Commonwealth, des Caraïbes à l’Océanie en passant par l’Inde, le Pakistan et le pays où tout a commencé : l’Angleterre.

Je suis allé au lycée dans ce pays verdoyant et agréable où j’ai passé mes mercredis après-midi à jouer au rugby, en short en plein hiver, et au cricket, en pantalon, chemise à manches longues et pull en laine, au plus chaud de ce qu’on appelle l’été au Royaume Uni. Ces disciplines étaient censées forger le caractère et je les détestais. Grâce au rugby (et à une certaine incompétence médicale), j'ai passé près de deux semaines à me balader avec un poignet cassé quand j'avais 15 ans ! Après avoir survécu à des hivers interminables de placages et de tackles, je me réjouissais en été de jouer avec une balle et une batte en bois, avec juste des jambières en mousse pour me protéger.

Cette semaine débute en Angleterre la Coupe du monde de cricket ICC qui se déroulera jusqu’au 14 juillet. Des millions de spectateurs seront ravis de passer une journée entière à suivre un match, au stade, ou devant la TV. Et là où il y a un public captif comme celui-là, il y a un marché. Sans surprise, la première marque horlogère à s’être lancée dans ce créneau est Hublot, elle qui s'est déjà taillé une solide réputation de perturbateur précoce dans d'autres sports.

« Hublot est à nouveau Premier, Unique et Différent en étant la première marque horlogère à investir dans le cricket », explique Ricardo Guadalupe, CEO de la marque, à WorldTempus. « C'est un sport d'adresse et de passion qui rassemble des millions de fans autour du monde. Ce sport légendaire nous permet de compléter notre présence mondiale et soutient notre développement dans des pays à fort potentiel. Je me réjouis de ce partenariat fantastique à la Coupe du Monde et je suis très fier que Hublot soit partenaire de l'ICC. »

Espérons que la météo anglaise capricieuse ne jouera pas les troubles-fêtes, car le cricket est l’un des rares sports où la pluie et la faible luminosité peuvent faire arrêter le match.

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