Chrono : demandez-lui en plus !

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Chronographs with added extra - Chronographes
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Une complication si aboutie qu’on la croyait immuable. Elle pourtant, quelques jeunes marques parviennent toujours à ajouter au chronographe quelques belles idées

Embrayage vertical ou horizontal ? Voilà à peu près la seule question qui se pose encore aujourd’hui lorsque l’on évoque le chronographe. La réponse est le plus souvent « vertical », dans le droit fil de l’immuable 7750 et pour satisfaire au plaisir des collectionneurs de voir fonctionner une roue à colonnes.

De temps à autres, quelques maisons arrivent avec des propositions singulièrement disruptives. Louis Moinet, par exemple : sa Memoris est un chronographe-montre, une pièce où la totalité de la complication est visible côté cadran.

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De Bethune, avec sa DB28 Maxichrono, une composition à affichage central avec embrayage breveté (2014). Ou encore la petite révolution AgenGraph, un mouvement « donut » lui aussi à aiguilles centrales et que l’on trouve notamment chez Singer.

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Ces créations restent toutefois l’apanage de collectionneurs dotés de certains moyens, amateurs de marques de niche, de séries limitées. Mais quid du grand public, de chronographes que l’on peut s’offrir sans mettre son bas de laine en péril ?

Norqain : un chrono personnalisé à moins de 2700 €

Norqain a beau être une jeune pousse de l’horlogerie (2018), le chrono est une complication qui lui est familière – ne serait-ce qu’avec la présence, en ses équipes, de Teddy Schneider, ancien CEO et propriétaire de Breitling. Mais au-delà de l’aspect technique ou historique, Norqain a très vite compris l’intérêt pour ses collectionneurs de proposer une pièce à bas prix et personnalisable. On trouve ainsi dans sa collection Adventure des modèles à double complication (Day Date & Chrono), à prix imbattable (à partir de 2610 €) et que chaque client pourra faire personnaliser en y ajoutant une plaque d’acier gravée de la mention de son choix, à flanc de carrure. Une option simple, efficace, à configurer directement en ligne, et qui permet d’avoir un chrono « pièce unique ».

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Raymond Weil : le chrono le plus rock

Rares sont les marques à pouvoir se targuer d’un accord de licence avec la famille Hendrix. Raymond Weil l’a fait – comme elle l’avait fait avec AC/DC ou encore Marshall. Il en est résulté l’un des chronos les plus rock de la planète horlogère, une Freelancer 42 mm « Jimi Hendrix Limited Edition » (500 pièces), habillée de tous les atours du maître : des index reprenant les micros de sa Stratocaster, 6 cordes gravées sur le cadran, le turquoise de sa tenue à Woodstock, un fond gravé de son image, une lunette à celle de sa devise (« Music is my religion »), le tout avec guichet de jour et de date, pour à peine plus de 3'000 euros, et dans un coffret à franges, comme la tenue d’Hendrix à Woodstock. Collector !

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Rebellion : le chrono sous stéroïdes

Fidèle à sa réputation de design radicaux, Rebellion a développé une ligne de chrono au look ravageur : Predator. La pièce combine acier, céramique, or ou titane, est limitée à 100 exemplaires et se distingue par son mouvement non pas générique, mais signé Concepto. Avec ses 48 mm, son boîtier affûté et son cadran nid d’abeille, la Predator se réserve aux amateurs de chronographes extrêmes !

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Piaget : le chrono extra plat

Si Bulgari a mis un coup de pied dans la fourmilière horlogère avec ses Octo Finissimo, il est juste de rappeler l’antériorité de Piaget en matière de montre extraplate. En 2015, la Piaget Altiplano Chrono apportait au chrono cette « complication esthétique » qu’est l’extraplat, tout en préservant un design très épuré, intemporel et répondant aux canons de la Haute Horlogerie mais avec un mouvement de seulement 4,65 mm de hauteur.

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Ralph Lauren : le chrono que personne d’autre n’aura

La montre Ralph Lauren est rare – son chronographe le sera encore plus. Collectionneur passionné de voitures, Ralph Lauren s’est inspiré des détails de sa Bugatti Type 57SC Atlantic Coupé de 1938 pour créer cette pièce dont la lunette en loupe d’amboine évoque le volant de cette Bugatti légendaire. Révolutionnaire ? Nullement. Mais infiniment plus recherchée que nombre d’autres chronographes, cette édition étant aujourd’hui devenue presque introuvable.

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