Freelancer « Gibson Les Paul »

Image
Freelancer "Gibson Les Paul" - Raymond Weil
La marque horlogère qui entretient des liens si étroits avec le monde de la musique se tourne vers le rock.

Qu’ont en commun Jimmy Page, Keith Richards, David Gilmour, Pete Townsend, Eric Clapton, Jimi Hendrix ou encore Paul Personne ? Ce sont bien sûr des guitaristes d’exception, mais qui ont aussi tous joué – ou jouent encore - sur les fameuses Gibson Les Paul électriques, dont il existe des dizaines de versions. Le guitariste de Led Zeppelin a même été le premier choisi par la marque leader des instruments de musique pour avoir son propre modèle « Signature » personnalisé, la « Les Paul Jimmy Page Signature ».

Si le nom de Les Paul est célèbre, le vrai nom de l’inventeur de la guitare électrique de type « corps plein » l’est moins : guitariste, compositeur et luthier reconnu, Lester William Polfus (né en 1915 et décédé en 2009) a créé cette guitare avec l’objectif de résoudre les problèmes de Larsen grâce au corps de la guitare partiellement en bois plein. C’est en 1952 que le premier modèle Les Paul sort des ateliers Gibson. Au fil des ans, cette guitare deviendra l’instrument le plus emblématique de la marque de Nashville et un grand classique de guitare électrique. Le rock lui doit sa sonorité et certains de ses plus mythiques solos.

En 2015, Raymond Weil signait un partenariat avec Gibson Brands et présentait le garde-temps nabucco Gibson, une édition limitée de 200 pièces inspirée par la guitare Gibson SG Standard. Aujourd’hui, le chronographe freelancer Gibson Les Paul, à l’esprit plus rebelle et plus rock, voit le jour sous l’égide du CEO de Raymond Weil, qui se souvient de l’époque rock de son enfance. «Enfant, ma mère m’initiait au monde de la musique, piano d’abord avant que je ne m’essaie aux instruments à cordes », raconte Elie Bernheim. « J’ai découvert le rock’n’roll, les riffs des guitares électriques lors des performances de Slash aux côtés de Lenny Kravitz ou des Guns N’ Roses. La musique a ce pouvoir ultime de marquer les gens. Peu importe le style musical qui nous passionne, personne ne peut rester insensible à la maîtrise d’un virtuose. »


Freelancer « Gibson Les Paul »

La freelancer Gibson Les Paul propose plusieurs codes esthétiques empruntés à la célèbre guitare : six sillons guillochées symbolisant les cordes de l’instrument font le tour du cadran noir et portent des index en forme de frettes, rappelant le manche de la guitare, et déjà vus sur le modèle nabucco Gibson de 2015; le boîtier en acier de 43,5 mm, étanche à 100m, est surmonté d’une lunette tachymétrique réhaussée de PVD noir, un clin d’œil à l’un des modèles Les Paul les plus mythiques, la « Black Beauty » et son laquage noir ; le motif en losange, couleur or, situé à côté de la date, à 4h30, est repris des guitares « Les Paul Custom », les plus haut de gamme de la collection, dont la tête était ornée de quatre losanges en perloïd, appelés "diamant. Le couleur or se retrouve aussi sur les compteurs du chronographe, la signature Les Paul, à 12h, ou encore sur les coutures du bracelet en cuir de veau ébène ajouré.


Freelancer « Gibson Les Paul »


Le garde-temps renferme le mouvement automatique chronographe RW5010 doté d’une réserve de marche de 46 heures. Les fonctions du chronographe – les secondes au centre, les compteurs des 30 minutes à 3h et des 12 heures à 6h -se gèrent via les deux poussoirs à 2h et 4h. A 10h, le bouton correcteur sert à régler la date. Le dos de la montre porte la numérotation de cette édition limitée à 300 exemplaires et est fermé par un verre saphir signé du logo Gibson. Chaque montre est présentée dans un écrin en cuir marron vieilli rappelant les étuis des guitares Gibson.


Freelancer « Gibson Les Paul »


Marque