Freak One

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Freak One - Ulysse Nardin
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Sans cadran, sans aiguilles, sans couronne

Plus de vingt ans après le lancement de la première Freak, Ulysse Nardin célèbre ce garde-temps résolument anticonformiste avec la nouvelle Freak One.

Encore aujourd’hui – soit 22 ans après le lancement du modèle d’origine, la Freak incarne toujours un concept audacieux. C’est également une référence incontournable en matière d’horlogerie contemporaine. Inspirée de la première Freak, elle est dépourvue de cadran, d’aiguilles et de couronne – trois caractéristiques emblématiques.

Freak One

Sans cadran

En règle générale, les montres mécaniques dissimulent leurs mécanismes sous un cadran. Mais la Freak en est dépourvue. Son mouvement fait office d’aiguille des minutes, tandis que l’aiguille des heures est un pointeur fixé sur un disque rotatif, lui-même placé sous le mouvement.

Sans aiguilles

L’inconventionnelle Freak ne possède ni aiguille des heures, ni des minutes. À la place, son carrousel tourbillon indique les minutes en effectuant une rotation complète en 60 minutes – tandis que l’aiguille des heures est remplacée par un pointeur sur le disque rotatif. Un design audacieux qui permet une bonne lecture.

Sans couronne

Habituellement, le réglage et remontage d’une montre mécanique nécessitent une couronne. Sur la toute première Freak, la couronne a été remplacée par un système de mise à l’heure intégré dans la lunette, alors qu’un mécanisme logé dans le fond de boîte permettait de remonter la montre.

Freak One

Ce garde-temps est régulé par un spiral en silicium introduit en 2008 et un échappement revêtu de DIAMonSIL. Ce traitement de surface innovant au plasma, qui associe silicium et diamant de synthèse, fut introduit sur la Freak pour la première fois en 2007, rendant le mouvement résistant aux chocs et aux frottements. La Freak One synthétise également la dynamique visuelle des générations précédentes de la Freak car elle reprend la lunette cannelée de la première Freak en 2001, le train de rouage apparent de la Freak Cruiser de 2013 et les codes de lisibilité de la Freak Vision de 2018. Les détails en titane traité DLC noir et en or rose font écho aux récentes exécutions de la Freak, notamment la Freak S dévoilée l’année dernière.

Non-conventionnelle, la Freak se règle à l’aide de la lunette. En débloquant le levier à six heures, la rotation de la lunette est alors rendue possible, faisant pivoter l’ensemble du mouvement qui officie en tant qu’aiguilles de la montre. Une fois le locker replacé dans sa position initiale, la lunette redevient fixe et le système de mise à l’heure est verrouillé. Le couvercle du barillet et sa flèche affichent les heures en effectuant une rotation complète en 12 heures. Ce disque des heures arbore un motif soleillé noir gravé. 

Freak One

Le pont des minutes de la Freak, en suspension sous le verre saphir, supporte tout le train de rouage, un oscillateur surdimensionné en silicium et un carrousel tourbillon volant qui réalise une rotation en 60 minutes. L’échappement est traité avec le revêtement breveté DIAMonSIL. 

Le mouvement automatique de la Freak One dispose d’une réserve de marche de 72 heures. Son système de remontage breveté Grinder® a été conçu pour capturer la moindre énergie, même celle des plus petits mouvements du poignet. Son rotor est relié à un cadre équipé de quatre cliquets fournissant un double système d’impulsion angulaire – à l’instar d’un vélo qui serait équipé de quatre pédales au lieu de deux. Cela le rend deux fois plus efficace que les systèmes de remontage classiques.

La Freak One est également fidèle à l’engagement d’Ulysse Nardin pour un avenir plus durable. Son bracelet en caoutchouc est composé à hauteur de 30% de chutes de production recyclées par BIWI, partenaire de la Maison basé en Suisse. Ce bracelet souple et étanche améliore en outre l’ergonomie et le confort au porter de la Freak One.

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