Ferme les yeux et écoute... le jour se lève

Reuge s’ouvre à la créativité contemporaine dans le respect et la valorisation de son savoir-faire unique au monde ancré depuis plus de 150 ans

Aujourd’hui, sous l’impulsion de Denis Flageollet, fondateur et Maitre-Horloger de De Bethune, Reuge s’ouvre à la créativité contemporaine, se laisse insuffler un vent nouveau, dans le respect et la valorisation de son savoir-faire unique au monde ancré depuis plus de 150 ans.

Dans l’équipe, pour apporter cette énergie nouvelle sur la marque, ce souffle frais et sensible, une jeune designer, Clara Martin, à la curiosité insatiable pour les textures, les formes et les savoir-faire. Tous ensemble avec les hommes et les femmes de la manufacture située à Sainte-Croix dans le Jura Suisse qui détiennent la connaissance sophistiquée de la musique mécanique, ils travaillent sur des objets rares, précieux qui offrent une expérience sensorielle et sensible, inédite, unique et surprenante.

Car bien au-delà de toutes les musiques du monde qui sont à portée de main, Denis Flageollet, avec l’aide de Clara Martin, entend transporter la musique mécanique dans un univers imaginaire d’espièglerie et d’intrépidité, reproduisant cette exaltation de l’enfance, sincère et spontanée, qui stimule ces états d’émerveillement et d’innocence perdus.

Ferme les yeux et écoute... le jour se lève

L’énergie, matériau de l’œuvre d’art ?

Observer ! Respecter ! Repenser ! Explorer ! Leur énergie créative stimule la réinterprétation des sujets Reuge, et les emmène vers de nouvelles voies, plus contemporaines, en lien avec notre société actuelle et nos valeurs. Notre époque répond moins à la recherche de la vitesse, à la valorisation artificielle, mais davantage à la recherche d’un ancrage juste, vrai, d’une inspiration plus naturelle, plus douce, fraiche et légère.

En comprenant la matière, en appréhendant le mouvement, nourris par la création d’expériences uniques - privées ou partagées - qui offrent des interactions physiques et sensorielles insufflées par la mise en mouvement des objets, Denis Flageollet nous invite à l’émerveillement poétique, l’enchantement inattendu de la mécanique sonore.

La recherche sonore dans tous ses états

Car nous y sommes. Le cœur du sujet. L’exploration sans contraintes de l’instrument sonore. La musique, mais pas seulement ! Vent, souffles, bruits de la nature, vie animale, vie végétale... leur inspiration est sans limites, et s’inscrit comme le nouveau point de départ de la manufacture Reuge.

C’est une nouvelle liberté d’expression ! Un nouveau champ d’exploration ! Le Son Mécanique. Celui que seuls quatre artisans maitrisent encore. Ce savoir-faire manuel, ancestral, cette connaissance unique au monde, qui doit perdurer. Denis Flageollet s’y emploie, pour faire à nouveau de Reuge, la nouvelle perle enchanteresse de la mécanique d’art suisse.

Ferme les yeux et écoute... le jour se lève

L’emblématique cage à oiseau n’est plus !

La « cage à oiseau ». Réinventer, réinterpréter, se pencher sur cette pièce iconique de la mécanique d’art, tel fût le choix sur lequel s’est penché Denis Flageollet pour montrer la direction vers laquelle va tendre Reuge dans son avenir.

Son nom ? Liberté, comme un écho renouveau de la manufacture Reuge.

La cage s’ouvre, elle s’adapte à son environnement, elle laisse libre les oiseaux chanteurs, dans leurs chants, dans leurs mouvements. Perchés sur un rocher, autour une étendue d’eau, ils dialoguent, causent, bavardent. Comme par magie, la branche forgée qui supporte l’ensemble reprend le profil iconique de la cage à oiseau Reuge.

Les éléments naturels viennent encercler, supporter la pièce et lui procure un aspect plus organique. La fonction horlogère numérique visible sur le pourtour du socle, et le cadran logé sous la cage apportent eux-aussi une nouvelle fonction. Enfin, les différents éléments de l’objet sont travaillés en faisant toujours appel à des techniques déjà utilisées dans la mécanique d’art ancienne ou moderne. Suspendue dans un vestibule, elle peut aussi rappeler les codes des fameuses horloges de vestibule des belles demeures du XVIIIème.

Ainsi, c’est en détournant les codes, en modifiant les dimensions, en changeant les applications que l’inattendu apparait. L’histoire de la scénette se déroulant devant l’observateur, l’invite à donner libre cours à son imagination.

La nature est magnifiée, l’objet s’en inspire, sans la contraindre. Il conserve les codes mécaniques et techniques tout en explorant une corrélation - plus qu’une confrontation - avec son environnement. En somme, une réinterprétation des codes adaptée à une vision résolument contemporaine.

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