Quel nom pour une montre ?

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How to name a watch - Newsletter
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Parmi les sujets que WorldTempus abordera cette semaine relevons les thèmes de l’exclusivité et du nom des montres.

Faire la différence entre une Carrera et une Daytona est facile, de même qu’entre une Aqua Terra et une Terra Luna. Pas besoin du nom des marques pour y parvenir. Mais que dire des deux nouvelles collections d'Emile Chouriet et d'Ernest Borel, deux marques suisses très bien implantées à Hong Kong et en Chine… tellement bien implantées même qu’il est difficile de s’en faire une idée si l’on n’a jamais eu l’occasion de voir leurs énormes panneaux publicitaires dominant l’horizon là-bas. Ces deux modèles présentés aujourd’hui sur Worldtempus incarnent tous deux le style ultra-classique dont le consommateur asiatique est si friand, combiné évidemment avec un mouvement Swiss Made. Ils démontrent que pour un certain segment de prix, les acheteurs choisissent d’abord une montre pour son esthétique, plutôt que pour la marque ou le nom de la collection.

« Ce mois-ci, gagnez une montre Eterna pour dames »

Titillé par une photo représentant 18 montres Rolex Submariner « Comex » trouvée sur internet, David Chokron s’est penché sur le thème de l’exclusivité en horlogerie et propose quelques  réflexions intéressantes. Peut-on vraiment qualifier d’exclusive une édition limitée à 1000 pièces – sans parler d’une série limitée à 15'007 exemplaires ?

Notre dossier GPHG 2015 s’ouvre officiellement cette semaine avec un article de Camille Gendre qui analyse les lauréats de l’Aiguille d’Or des 14 éditions du concours. Peut-on en tirer un profil type pour tenter de prévoir le gagnant de cette année ?  Nous poursuivrons ces prochaines semaines avec la présentation des membres du jury 2015 et des interviews de lauréats des éditions précédentes.

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