Pontos S Diver, la nouvelle plongeuse de Maurice Lacroix

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Introducing the New Maurice Lacroix Diver Watch - Maurice Lacroix
Lancée en 2013, la Pontos S Diver est aujourd’hui rééditée

Maurice Lacroix relance sa montre de plongée Pontos S Diver. Un évènement attendu par les amateurs d’instruments professionnels. Lancée en 2013, sa production avait en effet été stoppée en 2016. Cette réédition respecte l’ADN du modèle original tout en s’offrant une réelle optimisation, tant au niveau de son design que de ses performances.

Un travail de fond, fruit de la collaboration réussie entre les équipes Maurice Lacroix et la multiple championne du monde de plongée en apnée, Lidija Lijic. Une amie de la maison, jolie façon de nommer une ambassadrice, qui prête son image à la montre mais pas seulement. « Nous voulions mettre en place entre nous et Lidija une vraie collaboration. Nos échanges et nos actions sont nombreux, c’est une athlète authentique et extrêmement talentueuse. Nous sommes enchantés de notre relation qui dure déjà depuis 4 ans », nous explique Stéphane Waser, Directeur Général de Maurice Lacroix. Pour en revenir à cette nouvelle Pontos S Diver, son design emblématique est conservé au fil d’un style d’inspiration urbaine cher à la manufacture. « Nous tenions absolument à conserver l’esprit du modèle première génération » précise Stéphane Waser.

Pontos S Diver, la nouvelle plongeuse de Maurice Lacroix

Proposée dans un boîtier de 42 mm de diamètre, au lieu de 43 mm, la Pontos S Diver est disponible au choix en acier ou pour la première fois en bronze au travers d’une édition limités à 500 exemplaires. Les aiguilles des heures et des minutes restent facettées, sont encore plus luminescentes avec une mention spéciale pour celle des minutes qui a été épaissie. Associées à des index, également luminescents, et a une date par guichet située à 6 heures, elles offrent une lisibilité optimale sur fond de cadran grainé noir, laqué blanc ou encore grainé bleu pour la version en bronze.

Pontos S Diver, la nouvelle plongeuse de Maurice Lacroix

Si la Pontos S Diver en bronze est proposée avec deux bracelets, l’un en cuir bleu et l’autre en caoutchouc bleu, la version en acier est quant à elle accompagnée de trois bracelets, un en tissu bleu et deux en caoutchouc, au choix, bleu, noir, orange ou blanc. De quoi proposer différentes allures à la montre, de l’adapter à son look et aux circonstances en un clin d’œil. Tous ces bracelets étant équipés d’un système de changement facile ne nécessitant pas d’outil. Cerise sur le gâteau, le fond de boîte, désormais vissé à l’aide de six visses, est gravé du motif Vagues du Jura.

Derrière ce physique de rêve se dissimulent de réelles performances qui ont été testées en conditions extrêmes au poignet de la championne polyvalente qui a pour habitude de s’aventurer aussi bien dans les mers chaudes que sous la glace. Ses entrainements intenses et éprouvants n’ont pas eu raison de la Pontos S Diver qui a ainsi prouvé son potentiel. « Parmi les souhaits de Lidija, la visibilité a tout de suite été sa priorité », nous confie Stéphane Waser.

Pontos S Diver, la nouvelle plongeuse de Maurice Lacroix

C’est la couronne située à 2 heures qui permet de régler très facilement la lunette tournante interne. Dotée d’une échelle graduée de 0 à 60, elle permet de mesurer les temps de plongée ainsi que les paliers de décompression. Un indispensable pour une montre de plongée qui se respecte associé au calibre automatique manufacture ML115 offrant une réserve de marche de 40 heures.

La Pontos S Diver s’impose comme une vraie plongeuse étanche cette fois jusqu’à 300 mètres, au lieu de 600 mètres pour le modèle original. « Nous avons décidé de nous contenter d’une étanchéité à 300 mètres, ce qui est largement suffisant quant on sait que le record de plongée verticale en apnée de Lidija est d’environ 80 mètres, afin de supprimer la valve à hélium. De quoi affiner le boîtier pour passer de 15 mm à 13, 35 mm et de réduire les couts de production. La nouvelle Pontos S Diver est encore plus abordable, 1 990 CHF pour la version acier », résume Stephane Wasser. Un nouvel indispensable, à mi-chemin entre instrument professionnel et accessoire sport-chic.

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