Un rythme d’enfer

Image
Rockin’ to the beat - Armin Strom
1 minute read
Lady Beat.

« Le bon design est honnête et fonctionnel », affirme Claude Greisler, co-fondateur avec Serge Michel de la marque Armin Strom. Cette approche, conjuguée au désir d’innover en permanence et de repenser les mouvements mécaniques, est au coeur de l’esthétique minimaliste et structurellement cohérente d’Armin Strom. Et si ces valeurs sont bien présentes dans la nouvelle montre de la marque, la Lady Beat, Claude Greisler et Serge Michel ont aussi fait preuve d’humilité dans le développement de leur première montre féminine : au lieu de recourir à l’équipe de conception masculine à l’interne, ils ont chargé deux femmes designers de travailler sur la montre. Le résultat est la Lady Beat, dépourvue de froufrous sous forme de diamants ou de nacre. Le design est épuré : une boîte de 38 mm de diamètre, des contours doux et malgré tout un cadran décentré et les trois ponts du mouvement ALA20 rattachant cette montre à la collection System 78 d’Armin Strom. La texture du cadran et de la platine en demi-lune située au-dessous rappelle les courbes et les délicates finitions sur la boîte. La Lady Beat est disponible en versions monochromes noire ou blanche avec un bracelet assorti en caoutchouc et alcantara, mais elle peut aussi être personnalisée selon les désirs de la cliente. Le mouvement, visible à travers le fond en verre saphir et également du côté du cadran, occupe toujours le devant de la scène, mais avec une touche un peu plus féminine.

Un rythme d’enfer

Lady Beat
Boîtier : acier inoxydable, fond en verre saphir, étanche à 30 m
Diamètre : 38 mm
Mouvement : calibre ALA20 à remontage automatique avec rotor central de la manufacture Armin Strom ; 70 heures de réserve de marche
Cadran : noir ou blanc avec sous-cadran décentré
Fonctions : heures et minutes
Bracelet : blanc ou noir bi-matière caoutchouc et alcantara

Marque