Da Vinci Chronographe

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De la vision de Leonardo à la Da Vinci d'IWC

De la vision de Leonardo à la Da Vinci d'IWC

La Da Vinci d'IWC, qui a révolutionné le calendrierperpétuel en 1985, a écrit de bellespages de l'histoire de l'horlogerie. 488 ansaprès la mort de Leonardo, la manufacture de Schaffhouse entame une nouvelle èredans la mesure du temps, avec sa dernièrefamille de Da Vinci. Cela commence avec laDa Vinci Chronographe. Tout en cette montreest nouveau. La seule chose qui n'a paschangé, c'est qu'elle fait, elle aussi, un pasen avant dans l'avenir de la mécanique.

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Leonardo da Vinci a toujours placé son génie au service du progrès. Avec la nouvelle famille des Da Vinci,IWC Schaffhausen ouvre un nouveau chapitre dans l'histoire qui lie étroitement la manufacture au génieuniversel de la renaissance.

Avec la Da Vinci Chronographe, IWC ouvre unnouveau chapitre étroitement lié à l'esprit dugénie universel de la Renaissance italienne. Lanouvelle ligne de montres Da Vinci avec boîtiertonneau célèbre une fois encore dans une éditionspéciale limitée le calendrier perpétuel danssa forme inventée par Kurt Klaus. Et avec la DaVinci Chronographe, le futur a commencé. Cettemontre est la première d'une série de nouveauxchronographes réunissant dans des produitsinnovants passion horlogère, esprit créatifet ingénierie. Fidèle à l'esprit de Leonardo, même488 ans après sa mort (en 1519), IWC ne se contentepas de créer une forme ou une fonctiondéfinitive, mais cherche à susciter et à orienterles avancées techniques dans le monde de l'horlogerie.La preuve en commençant par la DaVinci Chronographe.

Tradition

Le chronographe est aujourd'hui l'une descomplications horlogères les plus appréciée etla plus répandue dans le monde. IWC a largementcontribué à cette tradition, car Schaffhousea su rester fidèle à la montre mécaniqueavec fonction d'arrêt, alors que plus personnene voulait en entendre parler, à l'époque de larévolution du quartz, à la fin des années 70. Lechronographe est bien l'emblème des tempsmodernes, dont les multiples potentialités nousattirent et nous séduisent, mais nécessitent unestricte répartition du temps. La «boîte mécaniqueà enregistrer le temps», dont les premiersexemplaires laissaient une petite trace d'encresur le cadran à chaque pression, souffre toutefoisd'un défaut grave depuis son invention, audébut et au milieu du XIXe siècle: une mauvaiselisibilité pour les longues mesures de temps. Lesystème des deux totalisateurs, de 30 minutesla plupart du temps et jusqu'à douze heuresséparément, n'a plus jamais été remis fondamentalementen question du point de vue technique depuis son invention. De là à faire croireque la fonction importe peu et que la complicationest purement décorative, il y a un pas quenous ne franchirons pas.

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L'esprit créatif de Leonardo a servi de modèle aux machines à mesurer le temps qui ont pour nom DaVinci. La Da Vinci Chronographe d'IWC se présente d'emblée avec plusieurs nouvelles constructionsexceptionnelles. En platine, or rouge et acier sur la photo.

Innovation

Da Vinci n'aurait pas été indifférent face à unetechnique aussi exigeante que celle qui se trouvedans le mécanisme du chronographe. En tantque constructeur de montres et ingénieur, laprécision et l'utilité de ses inventions comptaientavant tout à ses yeux. La Da Vinci Chronographed'IWC s'oriente sur la même exigence.C'est la raison pour laquelle il traduit pour lapremière fois le chronographe de façon conséquentepar la «montre dans la montre». Il transformeles résultats de ses mesures dans le domaine des heures et des minutes sous une forme d'indication de temps analogique qui nousest parfaitement familière et les rend décodablesen un coup d'oeil.
C'est exactement ce qui se cache derrière legrand cercle indicateur central, dans la moitiésupérieure du cadran de la Da Vinci Chronographe– une montre dans la montre, qui permetde mesurer et de capter le temps sur simplepression de touche. Les temps de chronométragecourts compris dans une minute sont indiquéscomme d'habitude par l'aiguille centraledu chronographe.
Ce qui a du génie est simple. Cette maxime convenaitdéjà au calendrier perpétuel autonomede Kurt Klaus, qui a rendu «portable» sans défautsune complication délicate et exclusive àl'époque. La première Da Vinci de la nouvellegénération vise le même degré d'accomplissementque celui visé lors du perfectionnementde la complication mécanique.

La nouvelle esthétique

Elle se démarque volontairement de l'ancienlangage formel parce que le principe Da Vincine se laisse pas réduire à une architecture deboîtier plus ou moins ronde ou plus ou moinscarrée. Il s'agit d'une manière d'aborder les problèmes,d'une philosophie de travail. CommeHano Burtscher l'avait déjà fait avec son boîtierrond de 1985, le designer d'IWC Guy Bovecherchait à traduire le canon des proportionset la conception de l'architecture de Leonardo àl'échelle d'une «toute petite maison». Il en a résulté une construction solide, généreuse etd'une beauté durable. La montre est disponibleavec des boîtiers en or blanc, or rose et aciersurfin, ainsi qu'en platine dans une série limitéeà 500 pièces.

Ingénierie

Le boîtier héberge le coeur mécanique du nouveaucalibre de chronographe de manufacture89360 nouvellement créé par IWC et réalisé parKilian Eisenegger et son équipe de constructeurs.Et c'est là que le projet Da Vinci devientpassionnant. Un mouvement automatique rond,avec 68 heures de réserve de marche, un nouveausystème de remontage à doubles cliquets,le mécanisme décentralisé du chronographeavec enclenchement par rouage de connexion,est une construction totalement nouvelle, réaliséesur la base du standard de constructionindustriel Design for Six Sigma DFSS, que nousappliquons depuis un certain temps déjà chezIWC. Un «Robust Design» a été créé, avec lequeltoutes les fonctions et les composantes ont puêtre testées et sans cesse optimisées en vued'exclure toute erreur au cours d'une procédureétroite entre la construction et les finitions.Le génial système de remontage Albert Pellatona déjà été perfectionné pour le Cal. 80111 del'Ingenieur et il est repris ici. Un élément centralporte le rotor et absorbe les chocs en provenancede toutes les directions. Le remontageà cliquets a subi une modification complète:deux doubles cliquets à remontage, soit quatreau total et plus deux comme avant, transmettentl'énergie du mouvement du rotor par les mouvementsde traction et de répulsion qui s'exercentsur la roue à cliquets. La nouvelle positiondes cliquets permet d'éviter tout angle mortlors du remontage. Ils ne sont plus les uns derrière les autres mais se font face par paires surla roue à cliquets, ce qui a permis d'augmenterl'efficacité de 30%.
Ils ne sont plus guidés, comme jusqu'alors, parun disque à cames (coeur), mais par un axe àcames, comme dans un moteur de voiture. Lesystème de prévention des retours, avec unspiral Nivarox spécialement et exclusivementdéveloppé pour IWC, offre des caractéristiquesd'oscillations nettement supérieures pour uneconsommation d'énergie moindre et atteint –selon le critère de mesure déterminant – un «facteurde qualité» de plus de 400, ce qui se situelargement au-dessus de la plupart des mouvementsd'horlogerie les plus précieux et les pluscotés. Le réglage fin se fait par les visses deréglage fin sur la serge de balancier.

L'enclenchement du mouvement du chronographepar rouage à connexion classique, avecfonction Flyback, permet d'indiquer pour la premièrefois les temps additionnels en heures etminutes, sous la forme analogique bien connuede l'affichage du temps avec deux aiguilles. Ilpeut fonctionner en continu en même temps quele mouvement de la montre sans pertes d'amplitude.La création de notre propre chronographe répondaux exigences élevées d'une montre quine porte pas le grand nom Da Vinci comme unevaine décoration mais bien pour lui donner unsens.

Communiqué

 

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