Sur l’océan avec SFS sailing

Image
Riding the ocean waves with SFS sailing - Anonimo
3 minutes read
Peut-on rêver meilleur lancement pour l'Anonimo Nautilo SFS Sailing Edition qu’une régate à bord de SFS II ?

A cause des grèves en France, mon déplacement à Marseille prévu en TGV s’est finalement soldé par un trajet en voiture jusqu’à l’aéroport de Lyon, pour prendre un avion… qui a été annulé. La seule solution pour rejoindre Marseille consistait alors à poursuivre en voiture avec notre courageux chauffeur Anthony. Après une telle expédition, enrouler les voiles d’un voilier de 70 pieds sous le ciel serein et ensoleillé de la Méditerranée s’apparentait presque à un jeu d'enfant.

J’ai eu la chance d’être invité à me joindre à l'équipage du SFS II, un ancien concurrent de la Volvo Ocean Race de 2012, skippé par le vétéran Lionel Péan, qui avait remporté la course autour du monde Whitbread en 1985-86. Nous avons navigué sur ce bateau avec son équipage, exactement cinq ans et un jour après sa mise en service, lors d'une sortie d'entraînement préparatoire à la Giraglia Rolex Cup 2016, qui s’est terminée le week-end dernier.
Ces journées d’entraînement impliquent de déploiement et l’enroulage d’un certain nombre de combinaisons des dix voiles différentes transportées à bord. Lionel Péan m'a confié que ce qui pouvait paraître comme un nombre excessif de changements au cours des cinq heures que nous avons passées à bord, n’est rien comparé aux conditions réelles de course, où les voiles peuvent être changées d'innombrables fois pour atteindre la vitesse optimale, chaque changement exigeant un effort physique éprouvant sur les winches, sans parler des vagues déferlant sur le malheureux coéquipier chargé, à la proue, d'attacher et de détacher les voiles.

Anonimo Lionel Péan

Quant à nous, invités novices, notre rôle à bord s’est heureusement limité à un tour de winch occasionnel, et nous avons tiré profit du temps libre pour interroger le skipper sur les tenants et aboutissants de la course au large, la signification des nombreux et déconcertants affichages électroniques sur le mât et la façon de mener le bateau correctement. Comme la plupart des skippers expérimentés, il émane de Lionel Péan un calme olympien qui vient sans doute d'avoir eu à endurer les conditions extrêmes de la course au large. Il nous explique les détails du yacht tout en gardant un œil sur tout ce qui a besoin d’être vérifié et se réjouit au passage lorsque le bateau dépasse la vitesse de 20 noeuds pour la première fois de la journée.

Lionel Péan porte au poignet la nouvelle Nautilo SFS d’Anonimo, l'un des principaux partenaires du Team SFS. Habillée des mêmes couleurs rouge et noire que le voilier et d’un nouveau bracelet NATO en option, rouge et noir aussi, c’est la coéquipière parfaite convoitée par tout l’équipage. Son boîtier de 44,4 mm en acier inoxydable arbore la traditionnelle couronne à 4h, signature de la marque, et reprend les indications distinctives "12, 4, 8" de sa "soeur" Marina Militare sous la forme de doubles marqueurs des heures à ces positions. Le fond du boîtier en titane, le bracelet en caoutchouc, la lunette tournante unidirectionnelle et l’étanchéité à 200 m assurent à l’Anonimo Nautilo Sailing une parfaite résistance aux conditions extrême à bord d'un voilier de course. Le mouvement à remontage automatique Swiss Made Sellita SW 200-1 de base garantit une haute précision.

ANONIMO-NAUTILO-SFS

Le partenariat entre Anonimo et SFS Sailing a été conclu pour une durée de trois ans, mais le directeur international marketing et communication d’Anonimo, Julien Haenny, ne cache pas qu’il pourrait être prolongé compte tenu des excellentes relations qu’entretiennent les deux partenaires. Avec à la clé de nouvelles montres en éditions spéciales.

Marque