Tout droit venu des sixties – 1967 très exactement –, le concept SUB de Doxa affirme l’ADN de la marque depuis son relancement en force il y a quatre ans. Doxa, née en 1889, bénéficie depuis d’un regain mérité de visibilité. Pétri d’histoire, le modèle SUB 300 (pour 300 m d’étanchéité) rendait, à la fin des années 1960, les montres de plongée accessible au grand public, qui réclamait alors ses entrées dans le monde du silence. Mais la SUB 300, conçue en collaboration avec des professionnels pour une efficacité maximale, a aussi séduit les plus exigeants, à l’image du célèbre pionnier au bonnet rouge, le Commandant Jacques-Yves Cousteau. Pour ancrer la très sportive SUB 300 dans le panorama urbain d’aujourd’hui, il manquait encore un pas que la SUB 300β Sharkhunter franchit. Car, si la SUB 300 rendait la montre de plongée à portée du grand public, la SUB 300β Sharkhunter met cette montre de plongée mythique à portée de glamour.
Citadine très chic…
Or et noir, l’association de ces deux couleurs évoque le luxe et l’élégance mieux qu’aucune autre. La profondeur ténébreuse de l’un renforce l’éclat précieux de l’autre, faisant totalement virer de bord le look usuel de la SUB 300 – connue jusqu’à maintenant pour ses cadrans aux couleurs punchy et bracelets associés, parfois noires, blanches ou argentées. Doxa baptise d’ailleurs son arc-en-ciel horloger de noms évocateurs : «Orange Professional», «Turquoise Aquamarine», «Jaune Divingstar», mais aussi «Noir Sharkhunter».
Entièrement revêtue de noir mat – et marquage ton sur ton noir brillant –, cette nouvelle Doxa en petite robe noire se pare de ses bijoux en or 18 carats. Car la lunette et la couronne sont forgées dans ce métal précieux et les index plaqués or. Du Super-LumiNova beige doré, condition sine qua non d’une visibilité dans l’obscurité des fonds marins, vient garnir les index, ainsi que le point à 12 heures sur la lunette et les aiguilles. Pour parvenir à un résultat élégant, Doxa a aussi retravaillé la boite, gagnant quasi deux millimètres de profil (11,96 mm au lieu de 13,65 pour la SUB 300T). Car une montre affinée est aussi plus facile à porter en toutes circonstances.
… et plongeuse redoutable
Pour cette version inédite de la SUB 300 – avec, vous en conviendrez, effet waouh garanti –, Doxa ne déroge pas aux caractéristiques techniques qui soutiennent les performances du modèle. La boîte est réalisée en céramique matte noire et le bracelet en caoutchouc FKM extrêmement résistant (car, oui, il existe «caoutchouc» et «caoutchouc»). La lunette à rotation unidirectionnelle évite toute manipulation accidentelle pouvant causer une erreur de mesure du temps de plongée. La SUB 300β Sharkhunter est par ailleurs équipée d’un container intérieur en titane, qui protège le mouvement de la pression croissante lors d’une descente dans les abysses. Si le modèle n’est pas certifié montre de plongée selon la norme ISO 6425 – mais c’est aujourd’hui le cas de peu de montres de plongée –, sa précision est en revanche certifiée par le COSC (Contrôle officiel suisse des chronomètres). Chacune des montres est testée individuellement par cet organisme rigoureux. Enfin, le bracelet, muni d’une boucle déployante, possède une extension pour plongeur – permettant de porter la SUB 300β Sharkhunter aussi bien au-dessus d’une combinaison que d’un costume ou d’une petite robe noire… à vous de voir!
