Personnalisation et signatures secrètes

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Personalisation and secret signatures - Newsletter
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Nous nous intéressons à deux facettes fascinantes et méconnues de l’industrie

Peut-être est-ce dû à l’imminence des vacances d’été, mais le monde de l’horlogerie était d’humeur positive la semaine dernière. L’optimisme a régné au salon EPHJ-EPMT-SMT à Genève et puisque de nombreux exposants dépendent de l’industrie horlogère pour leurs affaires, les choses ne doivent pas aller si mal. Les statistiques du mois de mai publiées par la Fédération de l’industrie horlogère suisse le confirment, avec des exportations de montres de luxe en hausse par rapport à la moyenne de l’industrie, tant en termes d’unités que de valeur.

Nous avons poursuivi notre série sur le Grand Prix d’Horlogerie de Genève avec une interview du lauréat de 2010, Stephen Forsey, de Greubel Forsey, alors que deux de nos contributeurs se sont penchés sur quelques aspects moins connus de l’horlogerie : les signatures secrètes utilisées par certaines marques et les possibilités de personnalisation offertes par d’autres.

Tandis que nous commencions notre série d’été avec un article sur les montres de régate, deux autres histoires aux accents estivaux ont retenu notre attention. De Bethune a présenté son tout premier ambassadeur en la personne de la star française du tennis Gaël Monfils, qui porte le modèle DB28 pour la première fois à Wimbledon cette année. Wimbledon, dont les légendaires fraises à la crème sont, pour nous Britanniques, l’incarnation de l’été. Pendant ce temps, Cartier a choisi la Société Nautique ici à Genève pour dévoiler formellement sa nouvelle Calibre de Cartier Diver, un lancement important pour la marque puisque c’est sa première montre de plongée.

Au programme la semaine prochaine : éducation, art, raffinement et plongée…d’un point de vue horloger bien sûr.

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