Quand les marques horlogères voient grand

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When watch brands think big - Editorial
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Coup d’œil sur des pendules de table, métiers d’arts à la Hermès, et pourquoi Eberhard & Co. ne sera pas à Baselword en 2018.

Lorsqu’elles développent un nouveau modèle, les marques horlogères se trouvent confrontées à une grosse contrainte… de taille! Alors, qu’arrive-t-il lorsqu’elles bénéficient soudain d’une surface de travail beaucoup plus grande ? Découvrez-le aujourd’hui dans mon article sur les pendules de table de Patek Philippe, Vacheron Constantin et Parmigiani Fleurier qui reproduisent à plus grande échelle les mêmes métiers d’arts, innovations et technologies que l’on retrouve dans leurs montres.

Restons sur le sujet des métiers d’art avec le regard aiguisé que Ming Liu a posé sur des modèles présentés par Hermès plus tôt cette année. "Grrrr" et "Tyger Tyger" sont les noms de montres qui exigent des explications. Vous les aurez mercredi sur WorldTempus. Nous poursuivons également notre tour d’horizon des finalistes du GPHG  avec la présentation de la catégorie haute mécanique pour dames, par Michèle Brunner, demain, et mon analyse des montres pour hommes, jeudi.

Un certain nombre de rumeurs concernant Baselworld 2018 se font déjà entendre (contactés, les organisateurs m'ont assuré qu’une communication officielle sur d’importants changements sera prochainement diffusée) et il est probable que l'exposition de l'année prochaine sera à nouveau très différente. Après la déferlante de grands noms ayant déjà annoncé leur passage au SIHH dans le courant de l‘année, Eberhard & Co. est le dernier en date à confirmer qu'il ne sera pas à Bâle l'année prochaine. Dans une interview à lire vendredi, son directeur général Mario Peserico explique les raisons de cette décision difficile, qui voit donc la marque quitter Baselworld après 70 ans de présence.

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