La nouvelle est brutale. Le groupe américain Timex veut fermer la manufacture d'horlogerie Vincent Bérard. Son fondateur et 20 employés sont sur le carreau. Les affaires ne seraient pas assez fructueuses.
L'Express/L'Impartial - 12 juillet 2010Daniel Droz«La crise financière et le ralentissement économique n'ont pas permis à notre groupe de réaliser les ventes nécessaires pour aboutir à des bénéfices. La société n'a donc pas atteint ses objectifs commerciaux et les pertes sont assez importantes», expliquait en juin dernier Daniel Dodane, membre du conseil d'administration de Vincent Bérard, au site spécialisé dans l'horlogerie Worldtempus. Le groupe Timex, qui avait racheté en 2006 la société fondée par Vincent Bérard, a décidé de cesser ses activités.
Le syndicat Unia a confirmé l'information à la radio neuchâteloise vendredi. L'ensemble du personnel, soit une vingtaine de personnes, sera licencié, selon le syndicat Unia. «Nous sommes actuellement en discussion avec Timex pour essayer de trouver une solution sur les mesures d'accompagnement», a indiqué Loïc Dobler, responsable de l'industrie des machines chez Unia. Une partie du personnel a reçu sa lettre de licenciement. Selon RTN, les employés de Vincent Bérard, qui sont très attachés à l'entreprise, sont à la recherche d'un acheteur. Nous n'avons pas été en mesure d'atteindre Vincent Bérard... Lire la suite de l'article
Le syndicat Unia a confirmé l'information à la radio neuchâteloise vendredi. L'ensemble du personnel, soit une vingtaine de personnes, sera licencié, selon le syndicat Unia. «Nous sommes actuellement en discussion avec Timex pour essayer de trouver une solution sur les mesures d'accompagnement», a indiqué Loïc Dobler, responsable de l'industrie des machines chez Unia. Une partie du personnel a reçu sa lettre de licenciement. Selon RTN, les employés de Vincent Bérard, qui sont très attachés à l'entreprise, sont à la recherche d'un acheteur. Nous n'avons pas été en mesure d'atteindre Vincent Bérard... Lire la suite de l'article
