La montre Tortue

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The Tortue Watch
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Une montre perpétuellement réinventée

Cartier Privé, c’est le rendez-vous annuel des passionnés d’horlogerie.

Un opus exclusif qui, pour sa huitième édition, propose une transposition contemporaine d’une des plus prestigieuses montres du répertoire de Cartier : la montre Tortue, créée en 1912. Elle est l’une des créations majeures de Cartier, horloger des formes. Elle s’inscrit dans une lignée de montres rares révélées les années précédentes – la Crash, la Tank Cintrée, la Tonneau... - revues à l’aune d’une seule ambition : mettre la technique au service de l’esthétique.

Cette année, Cartier Privé a choisi d’introduire, en plus des versions simples dites « heures / minutes », la complication du chronographe monopoussoir.

La montre Tortue, une signature maison

La montre Tortue naît en 1912 d’une intention créative puissante, celle de faire dialoguer courbes et lignes tendues. La nouvelle Tortue reste fidèle au design original, revu au fil d’un travail subtil. Cornes étirées le long du bracelet, profil affiné, la montre s’est à la fois épanouie et allégée.

Rendant hommage au tout premier modèle, elle affiche des aiguilles en forme de pomme, un chemin de fer qui suit, en périphérie des index, la forme iconique de la montre et rend le cadran encore plus lisible.

Cartier Privé Tortue Watch © Cartier
Montre Cartier Privé Tortue © Cartier

La Tortue heures / minutes 

Cette nouvelle édition de Cartier Privé révèle une Tortue heures / minutes en version platine ou or jaune. S’y ajoute, et c’est une première pour la collection Cartier Privé, une version heures minutes platine sertie de diamants taille brillant éditée à 50 exemplaires.

Sur le modèle en or, le cadran présente une finition dorée finement grainée, la couronne de remontoir est sertie d’un cabochon de saphir. Le bracelet est en cuir alligator bleu, fermé par une boucle ardillon. Sur les montres en platine, les chiffres romains sont recouverts de rhodium. L’attention portée aux finitions donne naissance à un jeu de contrastes et de nuances. Le cadran est opalin argenté et la couronne de remontoir s’illumine d’un diamant brillant sur la montre sertie, véritable signature joaillière, et d’un cabochon de rubis sur la version platine, autour d’un accord chromatique cher à Cartier. Pour ces deux créations, le bracelet est en cuir d’alligator rouge fermé par une boucle ardillon, sertie de 25 diamants sur la Tortue pavée.

Tous ces modèles battent au rythme du mouvement mécanique Manufacture 430 MC à remontage manuel, dont les proportions s’adaptent à celles de la Tortue. Le mouvement manuel 430 MC fait partie des mouvements les plus fins utilisés par Cartier.

Two versions in yellow gold and platinum in a limited edition of 200 numbered pieces, and one diamond set platinum version in a limited edition of 50 numbered pieces © Cartier
Deux éditions en or jaune et platine numérotées et limitées à 200 exemplaires, et une édition en platine sertie numérotée et limitée à 50 exemplaires © Cartier

La Tortue Chronographe Monopoussoir 

Ce nouveau rendez-vous de Cartier Privé est l’occasion de découvrir une complication qui fait son entrée dans la collection : le chronographe monopoussoir et son calibre Manufacture 1928 MC. Apparue pour la première fois sur une Tortue en 1928, cette complication fait l’objet en 1998 d’une réinterprétation dans le cadre de la Collection Privée Cartier Paris avec, notamment, des détails d’une belle sophistication que l’on retrouve aujourd’hui : aiguilles pomme en acier bleui, trotteuse au balourd évidé, motifs triangulaires aux quatre coins du cadran. À travers cette version, Cartier met la technique au service d’une esthétique rare et originale.

Tortue Monopoussoir Chronograph © Cartier
Deux éditions limitées à 200 exemplaires numérotés © Cartier

Précision chronographique

Pour accentuer la lisibilité du cadran et rendre plus accessible encore la précision chronographique, le chemin de fer est placé à l’extérieur des chiffres romains. Libéré de tout détail, l’espace du cadran est tout entier dédié aux deux compteurs. Démarrage, arrêt et remise à zéro : les trois fonctions se concentrent en un seul bouton poussoir intégré à la couronne et s’activent en un seul geste. Ce mouvement affiche une épaisseur de 4,3 mm, ce qui en fait le chronographe le plus fin de la Maison.

Un défi d’horloger dont on mesure la complexité en retournant la montre : au dos, le fond, largement ouvert, dévoile le spectacle fascinant des rouages qui s’animent au rythme d’une chorégraphie de grande précision. On y voit notamment la roue à colonnes, composant essentiel qui règle les fonctions des différents leviers et représente un véritable défi en termes de production et d’ajustement.

Petit théâtre d'une élégante complication

Cette rencontre entre savoir-faire et virtuosité signe ce calibre sophistiqué par son niveau de finition et les courbes de son décor Côtes de Genève qui soulignent la forme des ponts. Bascules, ressorts et ponts sont anglés, le métal est brossé, les roues et les barillets sont cerclés.

La montre en platine se distingue par ses jeux de nuances : l’azurage des compteurs, le cadran opalin argenté, les chiffres romains en finition rhodiée. Elle consacre l’accord chromatique cher à Cartier du platine et du rubis en cabochon. Sur la version or jaune, les aiguilles pomme sont recouvertes d’une finition dorée, le cadran est finition dorée grainée et le remontoir est orné d’un cabochon de saphir.

Petit théâtre d’une élégante complication que l’on actionne d’un seul geste, cette montre de forme d’exception symbolise plus clairement encore l’ambition toujours renouvelée de la Maison de mettre la technique au service du design. 

Two limited editions of 200 numbered pieces.
Montre Cartier Privé Tortue Chronographe Monopoussoir © Cartier
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