Maurice Lacroix Qui est partant pour une course à pied ?

Sophie Furley raconte le marathon de Berlin, chaussures de course aux pieds

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Même s’il y a de nombreux coureurs dans l’industrie horlogère, la course ne l’a pas vraiment séduite en termes de partenariats comme d’autres sports de compétition. C’est surprenant si l’on songe à la quantité de coureurs qu’il y a au niveau global : 621 millions selon les estimations, ce qui fait de la course à pied l’un des sports les plus populaires dans le monde et une bonne option pour les marques horlogères qui comptent l’accessibilité et la performance dans la liste de leurs valeurs.

Soyons honnêtes, personne ne court avec une montre analogique, qu’elle soit mécanique ou à quartz. Les coureurs ont besoin de toutes sortes d’informations supplémentaires sur le temps, la distance et la vitesse qui ne sont évidemment possibles qu’en format digital. Cela explique peut-être la réticence des marques à embrasser ce sport. Mais cela commence à changer car chaque événement sportif a besoin d’un chronométreur officiel pour mesurer le temps avec cette fameuse précision suisse !

BMW Berlin Marathon © Sophie Furley/ WorldTempus

Maurice Lacroix a annoncé son partenariat avec le BMW Berlin Marathon l’année dernière en tant que chronométreur officiel de la compétition. La course de marathon a particulièrement séduit la marque car elle affectionne à la fois le style urbain et les défis personnels.

Le marathon de Berlin est connu pour être l’une des courses les plus rapides de la planète. Cela s’est vérifié il y a deux semaines lorsque Eliud Kipchoge a battu son propre record du monde de 30 secondes, bouclant la course dans le temps stupéfiant de 2h01’09’’. 

Je le sais parce que j’y étais, couvrant l’événement pour WorldTempus, au cœur de l’action chaussures de course aux pieds. Tandis que Kipchoge franchissait la ligne d’arrivée, je n’étais même pas arrivée à mi-course, mais la nouvelle avait fait son chemin parmi les plus de 35'000 coureurs s’essayant à l’ultime défi de la course à pied !

Aikon Tide Maurice Lacroix © Sophie Furley/ WorldTempus

Mes tentatives de courir le marathon remontent à 2019 lorsque je me suis alignée sur le marathon de Londres pour Whizz Kids, une organisation caritative anglaise fournissant à des enfants handicapés des chaises roulantes dernier cri et autres équipements de mobilité. Maurice Lacroix m’avait gentiment sponsorisée pour cette grande cause, mais après deux mois d’entraînement, je me suis blessée et j’ai dû me retirer de la course. Heureusement, j’ai pu m’inscrire en 2020, puis le Covid est arrivé. En 2021, les choses ne se sont pas améliorées sur le front du Covid et j’ai fini par courir toute seule à distance sous la pluie battante.

J’étais loin d’avoir renoncé au défi du marathon lorsque Maurice Lacroix m’a proposé une place au BMW Berlin Marathon, donc je l’ai finalement fait. Je n’avais jamais été plus prête à accomplir quelque chose après trois tentatives. J’ai trouvé un coach de course pour m’aider avec un programme d’entraînement personnalisé (@running_with_jasper au cas où vous seriez tentés de suivre mes pas) et j’étais motivée. Après avoir battu le pavé pendant quatre mois dans la région de Rolle, j’ai commencé à être en forme. J’ai su que je progressais lorsque Strava a fait de moi une héroïne locale de la course à pied (merci Strava, tu n’as pas idée du bien que cela m’a fait !).

BMW Berlin Marathon © BMW Berlin Marathon

Le mois passé n’était pas des meilleurs à cause de la folle semaine aux Geneva Watch Days, un incident de dos, et un épisode de Covid, mais rien ne m’aurait découragée. Alors le 25 septembre, j’étais sur la ligne de départ dans mon t-shirt Maurice Lacroix, avec ma montre Polar au poignet gauche, mon Aikon Tide au poignet droit, prête à courir, et j’ai couru, tout le parcours jusqu’à la ligne d’arrivée, et je ne saurais vous dire à quel point c’était bon !