Ses désormais emblématiques arrêtes, facettes et biseaux, sculptent artistiquement les montres Hublot depuis 2017, date à laquelle Richard Orlinski et l’horloger suisse ont présenté leur première oeuvre-à-porter au poignet. Depuis, aucune matière façonnée par Hublot, ni composant de la montre, ne semblent résister au facettage de la matière en mode Orlinski. Pas même la céramique, pas même un cadran! La Classic Fusion Orlinski 40mm s’invite en mode monochrome dans deux éditions intégralement habillées de céramique, exception faite du bracelet et de la couronne. Côté colorimétrie, le bleu flashy et le noir brillant ne sont pas sans rappeler les codes couleurs qui animent le bestiaire XXL de l’artiste.
Quand l’art et la technologie fusionnent pour donner du relief au temps
La matière choisie pour ces deux éditions, la céramique. Un matériau de prédilection pour Hublot depuis le lancement de son iconique collection Big Bang en 2005.
Depuis, ses départements R&D et Métallurgie ont inventé et breveté plusieurs variétés de céramiques dont une première mondiale en 2018 – la céramique vive rouge – ou encore le seul alliage or 18K résistant aux rayures alliant l’or 24K et le carbure de bore – le Magic Gold.
Hublot est sans conteste le maître de la matière, de la fusion, tout un art que la Manufacture ne cesse de perfectionner. Pour la première fois, la céramique facettée habille toute la montre jusqu’à son cadran. Une architecture biseautée qui donne vie à la matière en mode origami.
Si le pli donne un tombé au vêtement, ici il donne le ton à vos poignets. Des montres comme des oeuvres-à-porter qui ont naturellement pris le pli tridimensionnel des sculptures de Richard Orlinski. Une mise en relief assumée, des couleurs vives, encapsulées dans deux éditions limitées.
Côté taille, ces deux modèles monochromes, conservent les proportions de 40mm de diamètre de leur alter ego, battent au rythme d’un mouvement automatique avec 42 heures de réserve de marche et se portent sur un bracelet en caoutchouc lisse.
