Les montres Epure

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Les montres Epure - Boucheron
Nul besoin de botox pour lisser son visage. Ni d’artifices pour briller. Chez Boucheron, la beauté apparaît dans son plus simple appareil. Epurée à souhait. Evidente.



Epure. Comme le nouveau stand Boucheron à Baselworld qui tire clairement son épingle du jeu des liftings. Epure comme le nom de la nouvelle collection horlogère instrumentée par un mouvement mécanique Girard-Perregaux. Assurément, Boucheron revendique sa légitimité en matière d’exception. L’écrin tout d’abord : le stand du salon bâlois, un petit bijou d’hôtel particulier, tout de blanc vêtu, rappelle l’adresse historique place Vendôme. La nouvelle ligne horlogère, ensuite, attendue avec impatience depuis l’arrivée de Louis de Meckenheim à la direction marketing, se déploie sur la philosophie du fondateur Frédéric Boucheron : aller à l’essentiel pour apprécier le temps qui passe.


Lifting donc, mais qui tend au naturel. Et comme chez Boucheron rien n’est laissé au hasard, le naturel est jusqu’au boutiste, puisque les montres joaillières Epure d’Art, rendent hommage à Dame Nature. Malgré le raffinement des sculptures de diamants déployé sur 1.7 mm de hauteur, la grâce qui s’en dégage confine à l’épure. Ici un rameau d’olivier, là deux épis de blé, ici une pensée, là une branche de lierre… Les cadrans en hématite se laissent envahir par les végétaux jusqu’à se défaire du nom de la marque qui s’éclipse du cadran. Modestie ? Sobriété. Dans les moindres détails. Tant sur les murs immaculés et les cimaises du stand que sur les Epure d’Art, sublimées par les finitions poli miroir de leur boîtier.

 




Il en va de même pour les montres Epure. Leur cadran soleillé, dont les rayons marquent les heures, ne souffrent aucune fioriture. A midi, un cabochon de saphir veille, tel un talisman. Le boîtier de la montre s’aime tout en rondeur et s’ouvre par le fond sur le cœur mécanique GP4000. Boucheron renoue avec l’essentiel. Et ça lui va bien ! A voir la masse oscillante ajourée en forme de bouchon de champagne, nul doute n’est permis… Celebrate good times, come on : il est grand temps de sortir les coupes. Et de s’approprier le nouvel adage Boucheron : ne sonner que les heures heureuses.

 

 

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