Brice Lechevalier
Bianchet et la dualité. Rares sont les marques horlogères qui ont été créées par un couple, et c’est déjà en soit une petite réussite lorsque l’on pense à la solidité et à la complicité que cela implique. Pensée à la fois par une femme et par un homme, la montre qui voit le jour a forcément quelque-chose de plus que les autres : une bonne dose d’harmonie, un soupçon de combativité, le meilleur de chaque hémisphère, et beaucoup d’amour. C’est en partie ce que reflète l’ADN du Tourbillon Carbon Orange B1.618 Openwork de Bianchet, sans oublier le concentré d’innovations et le design très abouti que toute montre d’une nouvelle marque dans ce segment de prix doit arborer pour avoir une chance de convaincre durablement. Comme dans la plupart des marques de niche, le facteur humain joue un rôle important. Connaitre son créateur, et donc ce couple et son histoire, permet d’apprécier encore plus le fruit de sa fusion. La montre véhicule ici un esprit volontaire de lifestyle contemporain et exigeant pour qui la quête de sens n’est pas un vain mot.
Jordy Bellido
Couleur peu répandue hors du milieu des montres de plongée, l’orange est un véritable vent de fraîcheur bienvenu sur ce garde-temps sportif. Subtil mais pourtant bien présent, il apporte ce petit pep qui relève le caractère d’une montre. Outre sa nuance, la Carbon Orange Tourbillon B1.618 Openwork se distingue par la composition de son boîtier. A première vue, son graphisme nous laisse supposer qu’il doit contenir un matériau apparenté au carbone. Effectivement, le boîtier est bel et bien constitué de fibre de carbone. Cependant, sa singularité réside dans son mariage avec de la poudre de titane, déposée à la main entre les 32 couches de carbone. Il en résulte donc une montre ultra résistante, dont l’esthétique n’a d’égal que sa robustesse.
Sophie Furley
J'ai toujours été fascinée par le nombre d'or, surtout lorsqu'il est utilisé dans l'horlogerie. Cette séquence particulière de chiffres se retrouve partout dans la nature, des spirales d'un coquillage aux pétales d'une fleur, en passant par les proportions du visage d'un top model. Lorsque l'on analyse mathématiquement la beauté, on constate la présence du nombre d'or ou de la suite de Fibonacci, comme on l'appelle également. Bianchet utilise cette formule dans la création de ses garde-temps et je dois dire que même si je ne comprends pas tout à fait les mathématiques, j'ai trouvé l'architecture de son mouvement Carbon Orange Tourbillon Openworked plutôt envoûtante à regarder. Les courbes des ponts et la position des vis et des roues ont toutes une certaine harmonie qui capte le regard. Celle-ci est accentuée par le boîtier de forme tonneau, les composants noirs combinés à des touches d'orange et les motifs sur le boîtier en carbone. Au poignet, la magie continue puisque je me suis surprise à vérifier l'heure plus fréquemment que d'habitude, preuve que le nombre d'or opère ici ! Mais ne me croyez pas sur parole, essayez-la vous-même et dites-nous ce que vous en pensez !
Jean-Christophe Teigner
J’ai eu la chance de porter la montre BIANCHET Carbon Orange Tourbillon B1.618 Openwork. Vraiment sympa. Dans cet univers de la montre de sport, ultra design, ultra racing, il y a du beau monde, du très beau monde. Mais cette montre pourrait bien sortir son épingle du jeu. Avec son boitier tonneau en carbone ultra léger, son mouvement squeletté très design, cette montre se plait bien à mon poignet. Il ne me reste plus qu’à enfiler mes gants et enfourcher mon bolide… cheveux au vent… ça y est vous avez l’image en tête… Avec cette BIANCHET Carbon Orange Tourbillon au poignet, je vais faire tourner les têtes en mode racing sur mon engin -soit dit en passant- « électrique » donc pas si rapide mais bien plus tendance tout comme cette montre super réussie !
