La Manufacture suisse Hysek, qui fêtera ses 20 ans d’existence tout prochainement, est le partenaire global et chronométreur officiel du Ladies Championship Gstaad, qui se déroule du 9 au 17 juillet dans la célèbre et luxueuse station de l’Oberland bernois.
La Suisse n‘avait plus accueilli une épreuve de circuit féminin depuis 2008, année de la dernière édition du Zurich Open. Et c’est notamment grâce à l’arrêt du Bad Gastein en Autriche que le Ladies Championship Gstaad a pu être mis sur pied en ce début du mois de juillet. Parfait timing, les dates s’harmonisent avec celles d’un des plus importants rendez-vous sportif organisé en Suisse, le J. Safra Sarasin Swiss Open Gstaad, qui débute le 16 juillet pour se terminer huit jours plus tard. Pendant deux semaines, la station de Gstaad est ainsi la capitale suisse du tennis.
Hysek est donc présent en de multiples occasions à Gstaad : chronométrage des matchs, boutique éphémère au sein du village, affiches visuelles en tous lieux. « Nous n’aurions pu rêver une meilleure adéquation de valeurs comme de calendrier », souligne Akram Alijord, CEO Hysek. « C’est un tournoi indépendant, comme nous le sommes. Il s’inscrit dans une grande tradition séculaire, comme nous le faisons avec les valeurs de Haute Horlogerie que nous ne cessons de porter et renouveler. Qui plus est, le Ladies Championship Gstaad défend la singularité féminine, à l’instar de notre collection Kalysta, lancée à Baselworld ».
À l’occasion de ce nouveau tournoi féminin, la marque Hysek se réjouit de chronométrer de jeunes professionnelles reconnues, telles que Caroline Garcia, Jelena Jankovic ou encore la lausannoise Timea Bacsinszky.
Une suissesse pleine de talents
Timea Bacsinszky, 26 ans, est actuellement à la onzième place du classement mondiale. Professionnelle depuis 2004, elle a remporté quatre titres en simple sur le circuit WTA et son meilleur résultat jusqu’à ce jour en tournoi du Grand Chelem est une demi-finale à Roland-Garros, perdue face à Serena Williams en 2015.
Son parcours est pour le moins atypique. Avec un père entraîneur de tennis, c’était d’une normalité incontestable que Timea Bacsinszky commence le jeu de raquette dès l’âge de trois ans. Bien qu’elle lui en ait voulu longtemps de l’avoir forcer à jouer un sport qu’elle ne portait pas dans son cœur étant jeune, la suissesse est revenue à une carrière professionnelle après avoir malencontreusement reçu un courriel automatisé en 2013. Ce message : Timea Bacsinszky est sélectionnée pour le tournoi de qualification de Roland-Garros ! Il n’en fallait pas moins comme signe du destin pour pousser la jeune fille à s’y inscrire de suite. Malgré la perte au premier tour des qualifications, elle sent sa passion pour le jeu relancée, et contacte directement après le tournoi Dimitri Zavialoff, ancien entraîneur de Stan Wawrinka, pour recommencer les entraînements.
Joueuse de fond de court, Timea Bacsinszky s’appuie sur des déplacements lui permettant de reprendre l’avantage lors d’échanges mal embarqués ainsi que sur un revers offensif frappé souvent à plat qui est son point fort.
