S.G.
Après un premier tour de piste en 2010, la montre Limelight Dancing Light réapparaît sous les feux de la rampe, dans une nouvelle version plus rayonnante que jamais.
Pas de mécanique à grande complication dans la nouvelle Limelight Dancing Light. Mais un sens de la fête qui respire l'enfance et sa fabuleuse capacité à s'émerveiller de tout. En 2007, Piaget lançait la Limelight Magic Hour et son boîtier pivotant pouvant adopter, sur le poignet, trois positions différentes. En 2009, c'était le tour de la Limelight Twice, cette montre à double face pouvant se montrer à la fois sage ou extravertie. Deux icônes féminines de la maison, ayant toutes deux remporté le Prix de la Montre Dame au Grand Prix d'Horlogerie de Genève et qui ont préparé l'entrée sur scène de l'étourdissante Limelight Dancing Light.
La première version, apparue l'année passée, se distingue par son boîtier au sein duquel se dissimule un mécanisme permettant de faire tournoyer sur le cadran deux ellipses de lumière. Encore une réussite. Elle fut elle aussi saluée par le jury du GPHG qui la sélectionna pour figurer parmi les trois finalistes du Prix de la Montre Dame, toujours.
Aujourd'hui, une nouvelle déclinaison entre dans la danse. Et elle nous convie à une joyeuse valse à trois temps. Façonnée dans l'or blanc ou l'or rose, elle se voit soulignée de 181 diamants taille brillant et prend pour cavalier un élégant bracelet de satin chocolat ou noir. Tandis que sur la piste argentée, un cercle d'or et de diamants emporte un deuxième cercle central dans une valse tournée quasi hypnotique. Mais ce n'est qu'un prélude face à la version des grands soirs où la Limelight Dancing Light, devenue danseuse étoile, se pare d'un éblouissant costume piqué de 552 gemmes pour 16.3 carats. Seuls les chiffres et le huit dessiné par les deux cercles d'or blanc sont épargnés. Caché dans l'ombre, le mouvement quartz 56P prend alors des allures de chef d'orchestre doté de ce don rare qu'est l'oreille absolue.
