Bleu comme la Terre. Noir comme le cosmos. En 2019, Girard-Perregaux initie un dialogue symbolique avec l'univers, qui prend en cet été un tour poétique avec la 1966 Blue Moon.
L'exosphère est la dernière couche de l’atmosphère terrestre. Noire, elle se confond presque avec l'espace interplanétaire. Comme à la frontière avec le vide, le noir domine largement ce classique revisité. Sa boîte en acier microbillé traité DLC noir et son bracelet intégré en alligator à l’effet caoutchouc mat noir réhaussé d’une surpiqûre bleue, sont comme la nuit. Le bleu profond qui habille le cadran délicatement bombé est comme un écho à l’image du globe terrestre.
Heures, minutes, seconde centrale, désormais doté d'un indicateur de la date par aiguille à 6 heures réhaussé d'une pointe de rouge sur le 31ème jour avec en son centre l'affichage des phases de lune à l'élégance intemporelle qui simplifie la lecture et facilite ses ajustements, ce garde temps dévoile tout au long de l'année les visages changeants de l'astre nocturne.
Le temps est rythmé par des aiguilles bombées de type feuille et d'index de type « bâton », l'ensemble affichant des dimensions contemporaines de 40 mm sans céder aux tendances éphémères.
La platine et les ponts minutieusement perlés, anglés, gravés et poli miroir, les vis bleuies et la masse oscillante décorée de Côtes de Genève se dévoilent subtilement au travers de son fond saphir anti reflets métallisé. La 1966 Blue Moon offre une réserve de marche de minimum 46 heures, et est étanche à 3 ATM équivalent à 30 mètres.
