A l’apogée de son rayonnement François Czapek reçoit le titre d’Horloger de la Cour Impériale de Napoléon III et s’installe à Paris, Place Vendôme. Il conserve toutefois à Genève ses Ateliers et sa présence sur la rive gauche du Lac Léman. A cette époque, c’est là, au Quai des Bergues, que ce situe l’épicentre du luxe à la genevoise.
La collection 2016 Quai des Bergues se compose de plusieurs références conjuguées en deux versions chacune. La premier modèle se présente dans un boîtier en or blanc ou rose, avec cadran en émail grand feu aiguilles new line ou or rose aiguilles FDL , tandis que la deuxième variante se décline en titane et carbone ou en acier «mystérieux» encore inédit en horlogerie avec cadran blanc ou noir au choix.
Cet acier « mystérieux » a été mis au point il y presque 100 ans. Plus difficile à usiner, il offre pourtant des qualités essentielles à la bienfacture des boîtes de montre, comme son extrême résistance aux corrosions les plus agressive aux milieus acides et aux mers les plus difficiles.
A l’époque, les montres de François Czapek figuraient très souvent des aiguilles finement ciselées. Un savoir-faire aujourd’hui perdu dans l’horlogerie et retrouvé par l’équipe Czapek qui avec Aurélien Bouchet réalise des aiguilles Fleurs de Lys de 0.35mm grâce à un outil d’une précision de 0.15.
Tous les modèles de la collection Quai des Bergues sont animés par un mouvement mécanique haute horlogerie à remontage manuel développé pour Czapek par le motoriste Chronode. Battant à un rythme de 21'600 alternances par heures, ces garde-temps possèdent 168 heures de réserve de marche sur deux barillets. Deux cadrans, inhabituellement positionnés à 7h30 et 4h30, indiquent respectivement la petite seconde et la réserve de marche/jour de la semaine.
