De Identitas à Lyanna

Image
De Identitas à Lyanna - Dictionnaire des Horlogers
41 minutes read
Abécédaire des hommes et des entreprises qui ont fait l'histoire de l'horlogerie.

IDENTITAS
Marque genevoise enregistrée.

IDY Georges
Apprenti horloger chez Denis Dominicé de 1678 à 1679 à Genève.

IGON WALT FRERES
Horlogers genevois. Seconde moitié du XIXe siècle. Montres fantaisie. Signature trouvée sur une montre en forme de fraise.

IKA
Marque genevoise enregistrée.

IMBERT Louis
Né en 1765. Graveur genevois. Décore des boîtes de montres.

IMHOF M.
Orfèvre. Mentionné à Genève en 1924.

INBODEN A.-E.
Emailleur. Mentionné à Genève en 1870.

INDUS
Marque genevoise enregistrée.

INGOLD Michael
Père de Michel, horloger. Maître pendulier à La Chaux-de-Fonds. Cité depuis 1769. Occupe 3 à 5 ouvriers et forme des apprentis : Jean Rorène et Samuel Sching. Sa femme est mentionnée veuve dès 1799.

INGOLD Pierre-Frédéric
Cet horloger de talent, bien que d'origine bernoise (Loberswild), est né le 6 juillet 1787 à BiennenOrphelin à l'âge de trois ans, Pierre-Frédéric Ingold partit avec sa mère et s'établit à Valanvron, entre La Chaux-de-Fonds et La Ferrière. Il se rendit à Strasbourg en 1809. Deux ans après, il se trouvait à Paris. On était alors en pleine guerre et, afin d'échapper à la conscription, il se décida à partir pour l'Amérique. Mais le bateau qui l'emmenait fut saisi par les Anglais qui le firent prisonnier. Relâché après plusieurs mois, il revint chez son ancien patron à Paris où il reprit la place qu'il avait quittée. Après une année de séjour dans la capitale, il rentra à La Chaux-de-Fonds où il s'essaya à différentes améliorations dans la fabrication des montres. Mais il avait toujours le désir de se perfectionner davantage et, dans ce but, il partit pour Londres, où il put entrer dans les meilleures fabriques de montres, alors fort réputées. C'est là qu'il fit une pièce d'un petit calibre qui fut en possession de l'impératrice Marie-Louise. Il fit la connaissance d'Abraham-Louis Breguet et il travailla pendant cinq ou six ans chez lui. Il se renseigna sur les méthodes de travail du génial horloger. C'est vers cette époque (1823) qu'il se maria avec Gabrielle Rue, d'origine française. Pour le compte de Breguet, il fit de longs voyages, en particulier à Constantinople. Revenu au pays, il se voua un temps à la fabrication des pierres fines pour montres où il acquit une réelle habileté, grâce encore à Breguet. Pierre-Frédéric Ingold nourrissait de nombreux projets qui germaient sans cesse dans son esprit. En 1825, il s'établit à Genève, et l'idée lui étant venue que la fabrication des montres à la main était trop coûteuse, il se dit qu'il devait être possible d'utiliser des machines dans ce but. Quelques années plus tard, il fit la connaissance de Louis Berthoud et de Japy de Beaucourt avec lesquels il projeta de construire une fabrique à Paris. Mais l'affaire ne se réalisa pas. Ce n'est que plus tard qu'il réussit à créer la « Compagnie d'horlogerie parisienne » à laquelle s'intéressèrent de hautes personnalités de la ville. Le siège de la société était au Palais-Royal, chez Ingold lui-même. Mais l'affaire finit mal car, trois ans plus tard, elle était en liquidation... Les gros personnages avec lesquels il avait travaillé ne lui en gardèrent pas rancune, puisqu'ils signèrent une attestation reconnaissant qu'Ingold était un parfait honnête homme et un horloger accompli. En 1842, nous retrouvons l'infatigable artisan à Londres où il a transporté une partie de ses machines et fondé une nouvelle société, au capital de six millions et quart de francs. Appuyé par des personnes influentes, Ingold reçut le titre de superintendant de l'entreprise. Il désirait avant tout fabriquer des montres bon marché et il eut de nombreuses agences en Angleterre, dans le reste de l'Europe et même en Afrique. Mais, une fois de plus... Ingold avait vu les choses trop en grand et, en 1844, c'était la ruine de l'usine ! Le pauvre superintendant éprouva de fortes pertes et il retourna à Paris. Cependant, ces insuccès répétés ne le découragèrent pas et, à l'âge de 58 ans, il partit pour l'Amérique ayant toujours l'espoir de réussir une fois. Hélas ! il ne dut pas s'y enrichir ! Toutefois, la mort de son épouse le ramena à Paris vers 1857, puis à La Chaux De Fonds, en 1858. Il venait d'inventer une " machine (fraise) propre à retoucher les roues d'Engrenages, à former l'épicycloïde et leur donner la forme voulue " pour laquelle il prit un brevet. Cette machine n'est plus en usage, mais elle a rendu de grands services aux horlogers ; une particularité, c'est qu'on a formé le mot « ingolder » qui, du moins, rappelle le souvenir de cet homme ingénieux. Devenu vieux, sans fortune comme la plupart des inventeurs, il fut recueilli par Emilie Strub à laquelle il avait l'horlogerie et qui devint son épouse

INTERWATCH CO GENEVE
Montres en tous genres, montres Art Déco. Exporte principalement aux Etats-Unis. On trouve trace de cette manufacture dans les années 1930.

IONO
Marque genevoise enregistrée.

ISIS
Marque genevoise enregistrée.

ISOIR Alexandre
Fils d'Alexandre. Originaire du Dauphiné (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1747.

J'OFFRE L'HEURE DE LA VICTOIRE
Marque genevoise enregistrée

J. T. C.
(Genève). Signature trouvée sur une pendulette de voyage en argent et émail, à grande sonnerie, répétition minutes et réveil. Vers 1900.

JACCARD
Horloger repasseur. Mentionné à Genève en 1835.

JACCARD & Cie.
Horloger. Genève. Mentionné à Genève en Vers 1852. Montres compliquées de très bonne qualité. Vers 1870-1880.

JACCARD (Y) E.V. Cie.
Genève. Deuxième moitié du XIXe début du XXe siècle. Prédécesseurs de Perusset & Ditisheim. Manufacture de montres compliquées et chronomètres. Travaille pour le marché latino-américain.

JACCARD A.
Fameux horloger régleur, travaille pour Omega Genève, Louis Brandt et Frères à Bienne (Suisse). Directeur de Omega Genève, obtient, en 1931, dans la série B, le premier prix au concours de l'Observatoire de Genève, ex aequo avec les maisons Patek Philippe et Vacheron-Constantin. Six premiers prix en 1932 pour des chronomètres de Bord et huit premiers prix pour des chronomètres de petit format. Reçoit en 1948 le premier prix du concours de chronométrie de Neuchâtel (Suisse) pour la meilleure compensation thermique. Présente un chronomètre à ancre tourbillon bracelet de 30 mm de diamètre et six chronomètres, échappement à ancre avec balancier Guillaume, spiral acier Breguet, tous obtenant le premier prix.

JACCARD DU GROS GENEVE
Marque genevoise enregistrée.

JACCARD E.H. & Cie.
Maison fondée en 1850 à Genève. Montres simples et compliquées, chronomètres de poche avec bulletins de l'Observatoire de Genève. Spécialisé en montres à double échappement et à tourbillon, montres astronomiques.

JACCARD GENEVE
Marque genevoise enregistrée

JACCARD Hélène
Fameuse régleuse genevoise. Reçoit le 2e prix au Concours de réglage des chronomètres, en 1932, pour Vacheron-Constantin.

JACCARD Horace
Horloger genevois. Fin du XIXe siècle.

JACCARD L.
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

JACCARD P.R.
Genève, chronomètre à impulsion. Réalise en 1940, après 12 ans de recherches, un mécanisme moteur à force constante. Présente en 1941 un échappement rotatif, avec impulsion par le spiral. Ce système met en évidence: 1. Le balancier, absolument libéré de tout contact, peut décrire des oscillations de très grande amplitude pouvant s'étendre à un tour et davantage. 2. Les défauts inhérents aux autres échappements, galop, rebattements, renversement, sont éliminés. 3. Le fonctionnement de cet échappement n'exige pas une mise au point très méticuleuse; très robuste, il opère l'arrêt sûrement. 4. Le déplacement constant de tout le système annule en principe les écarts de marche dans les différentes positions verticales.

JACCARD Veuve
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866.

JACCARD-ALLÉOUD
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1862.

JACCON Jaques
Maître orfèvre. Forme Balthazar Reclan en 1680 et Jean-Pierre Joly en 1681 et 1682.

JACOB (JACQUES)
Horloger et serrurier à Neuchâtel. Cité en 1582 et 1583.

JACOB H. Fils
Orfèvre, mentionné à Genève en 1924.

JACOBY et Cie.
Fabricants horlogers. Présentent à l'Exposition universelle de Chicago en 1893, des montres compliquées et des montres de précision. Mentionné à Genève en 1907.

JACOPIN Arnold
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

JACOPIN Daniel-Louis
Né en 1764, fils de Daniel Maître horloger pendulier et marchand horloger à La Chaux-de-Fonds. Cité de 1800 à 1825. Reçoit des cabinets de Ch.-Fr. Dubois et voyage en Allemagne. Plusieurs pendules signées.

JACOPIN Justin
Né en 1792. Pendulier à La Chaux-de-Fonds. Cité en 1825.

JACOT
LE CAPITAINE

JACOT & BOVY
Seconde moitié du XIXe siècle. Horlogers brevetés. Construisent et obtiennent un brevet pour une montre à huit jours de réserve de marche avec un système de remontage à clé à ressort visible.

JACOT Abram
Fils de Jonas. Pendulier à La Chaux-de-Fonds. Cité de 1727 à 1750.

JACOT Ami
Horloger. Mentionné à Genève en 1862.

JACOT Bernard
Né en 1877-1903, Fils d'Ulysse. Ciseleur et décorateur au Locle. Exécuta 7 reproductions du cabinet avec bronzes ciselés de la pendule dite "le Berger" à Madrid de Pierre Jaquet-Droz.

JACOT Charles Frédéric
Fils de Daniel Ébéniste et ciseleur à La Chaux-de-Fonds. S'associe en 1772 avec ses frères Daniel et Charles-Daniel Travaille en 1781 pour J. Robert et fils une boîte de pendule " avec soubassement, plaquée en écaille naturelle, ornements à laurier".

JACOT Charles-Daniel
Fils de Daniel. Ébéniste et ciseleur, fabricant de cabinets de pendules artistiques à La Chaux-de-Fonds. S'associe en 1772 avec ses frères Daniel et Charles-Frédéric. Cité en 1784 comme « metteur en couleurs »

JACOT Charles-Henri
Pendulier en 1790 à la Brévine.

JACOT Daniel
Fils de Daniel. Ébéniste, ciseleur et fabricant de cabinets de pendules artistiques à La Chaux-de-Fonds. Cité comme élève puis associé de Jonas-Pierre Courvoisier. Depuis 1772 associé de ses frères Ch.-Frédéric, Ch.-Daniel (et de ses soeurs Julianne et Lydie). Livre en 1781 à J. Robert et fils "une boîte de pendule ornée en fonte et plaquée en marqueterie " et en 1783 des cupidons ciselés et d'autres boîtes avec ornements. Avait comme ouvriers Jean Humbert et Louis Simon.

JACOT David-François
Pendulier à la Brévine. Envoie en 1810 des mouvements de pièces d'officier à Courvoisier et fils à La Chaux-de-Fonds.

JACOT Félix
Ébéniste et faiseur de cabinets en 1807 au Verger du Locle.

JACOT Félix-119
Ébéniste et ciseleur, fabricant de cabinets artistiques à La Chaux-de-Fonds. à comme ouvrier en 1765 Pierre-Guillaume Vialet. Parisien. Travaille de 1789 à 1791 des ornements de pendules pour J. Robert et fils et Cie. et livre des travaux « d'écaille et de mosaïque ».

JACOT FRÈRES
Fabricants. Le Locle (Suisse) et Genève. Mouvements, boîtes, cuvettes et cadrans de montres. Marques en 1886 "Cocotte Patent" en 1888 « Tunnel » en 1889, « Terrasse Locle-Genève », « Tobias » en 1889, "Monnard Genève" en 1889. Par la suite la raison sociale devient Gustave Jacot, Locle.

JACOT Guillaume
Père d'Henri-Louis. Maître pendulier à Fontaines. Cité de 1791 à 1826. Achète de nombreux cabinets à Ch.-Fr. Dubois. Plusieurs jolies pendules signées.

JACOT Henri-Louis
fils de Guillaume, pendulier à Fontaines. Travaille en 1819 avec son père.

JACOT Jean-Henri
Fils de Moïse. Valangin, canton de Neuchâtel (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1773.

JACOT Jonas-François
Fabricant de ressorts de pendules à la Chaux-de-Fonds. Cité depuis 1763.

JACOT Samuel
Fils de Pierre. Le Locle, comté de Neuchâtel (Suisse). Emailleur et peintre sur émail. Reçu habitant de Genève en 1762.

JACOT Zélim
Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1857.

JACOT-DESCOMBES
A. Atelier d'horlogerie. Mentionné à Genève vers 1866.

JACOT-GUILLARMOD Frères
Graveurs-ciseleurs. Mentionné à Genève en Vers 1909.

JACOT-LUTZ
Atelier d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866.

JACOTTET Jean-François
Fils de Jean-Pierre. Echallens, canton de Vaud (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1757.

JACQUEMET Jacques Nicolas
Horloger genevois. 1775-1800.

JAEGER-LECOULTRE
Le Sentier et Genève. Manufacture anciennement Antoine Le Coultre, qu'il fonde en 1833. Devient Jaeger-LeCoultre dès 1930. Horloger très habile, auteur des plus célèbres innovations dont: la machine à tailler les pignons dans l'acier plein, fabrication qui lui permet la mesure métrique. Réalise en 1844 le "Millionomètre", instrument de haute précision pour mesurer avec exactitude le 1000e de millimètre. Produit le premier remontoir à bascule sous le cadran, en 1846. Fabrique des répétitions faites mécaniquement en 1870. Fait la plus petite montre du monde, construit des ébauches pour des tiers qui exportent en Angleterre, en France et en Allemagne. Médaille d'or à l'Exposition nationale de Genève en 1896. Membre du jury à Paris en 1900. Obtient 5 prix au concours de chronométrie de Neuchâtel, en 1948. Présente 4 tourbillons à ancre et un chronomètre à ancre muni d'un balancier Guillaume, spiral acier coudé, tous reçoivent le premier prix. Régleur A. Jeanneret, Le Locle (Suisse).

JAILLET Gabriel
Apprenti orfèvre chez Nicolas Mutin (ou Maupin) en 1656 à Genève.

JAILLET Samuel
Maître graveur genevois. Fin du XVIIe, début du XVIIIe siècle. Décore des boîtes de montre.

JAIN Gabriel
Maître orfèvre et graveur genevois. Milieu du XVIIe siècle. Décore des boîtes de montre.

JAMES Emile
Professeur à l'Ecole d'Horlogerie de Genève. Publie le livre "Traité des Sonneries" à la fin du XIXe siècle.

JANIN A.-H.
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

JANIN-DELARUE
Horlogers. Mentionné à Genève en 1815.

JANMONOD (JAMMONOD, JEANMONOD) Jean-Etienne
Fils de François-Louis. Bailliage d'Echallens, canton de Vaud (Suisse). "Faiseur" d'aiguilles de montres. Reçu habitant de Genève en 1791.

JANNIN
Fabricant d'horlogerie genevois. Mentionné en 1798.

JANNOT (JANOT) André
Fils de Jean. Originaire de Chancy, environs de Genève. Reçu habitant de Genève en 1748. Maître horloger. 1755-1771.

JANOLEIN Jaques
Maître orfèvre. Seconde moitié du XVIIe siècle. Construit des boîtes de montres.

JANOT-VICTOR
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en en 1860 et en 1870.

JANVIER Antide
(1751 - 1835) Horloger français, constructeur d'horloges compliquées, à équation, astronomiques, de planétaires, de sphères remarquables par leur conception et leur exécution.

JANVIER Etienne
Maître horloger en 1640. Apprenti chez Etienne Perachon en 1631. Forme Jean Pierre Raby en 1644. En 1652, il s'associe à Machon Jean et s'acheminent jusqu'à la ville de Constantinople. Ils prennent à leur service comme ouvrier, un maître horloger, qu'ils paieront aux pièces.

JAPY Frédéric
(1749 - 1813) Horloger français; le premier qui fabriqua (1776) des ébauches par procédés mécaniques. Pionnier de l'industrie horlogère en France.

JAPY Frederic
Fondateur de la Maison Japy à Beaucourt. Cité dans un acte en 1790 à La Chaux-de-Fonds. Est sur la liste des ouvriers qui travaillent en 1804 pour Robert Courvoisier et Cie.

JAQUARD
Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1860.

JAQUE
Horloger. Mentionné à Genève en 1835.

JAQUEMET
Monteur de boîtes. Mentionné à Genève en 1828.

JAQUEMET B.
Monteur de boîtes. Mentionné à Genève en 1844.

JAQUEMET Simon
Maître horloger genevois. Milieu du XVIIIe siècle. Forme Léonard Vallette en 1749.

JAQUEMET-118
Fabricant d'horlogerie et établisseur. Mentionné à Genève en 1828-1831 et en 1835.

JAQUEMET-BAUDIN
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1835.

JAQUEMOD ou JAQUEMOT
Peintre sur émail Mentionné à Genève en 1862.

JAQUEMOT Théodore
Fils de Nicolas. Apprenti horloger chez Robert Legrand en 1641 à Genève.

JAQUEROD Adrien
(1877 - 1957) Professeur de physique expérimentale à l'Université de Neuchâtel, il s'intéressa aux problèmes horlogers et publia d'intéressantes études sur l'influence de la pression atmosphérique et du champ magnétique sur la marche des montres, sur la marche des montres oscillantes, sur les spiraux en verre, sur la validité de la loi de Hooke. Fondateur et président de la Société suisse de chronométrie, il créa le Laboratoire suisse de recherches horlogères à Neuchâtel où des savants physiciens, chimistes, métallurgistes, horlogers, s'efforcent de résoudre les problèmes posés par la construction des appareils à mesurer le temps.

JAQUES Alexandre
Né en 1757 à Genève. Horloger.

JAQUES François-Louis
Horloger genevois. Seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle.

JAQUES Jean-Pierre
Fabricant d'horlogerie. Vers 1800 à Genève.

JAQUES Paul
Mécanicien genevois. Membre du comité de la Société des Arts en 1776 et 1777. Construit des machines pour l'horlogerie.

JAQUET
La famille de ce nom, originaire de Saint-Imier, a donné d'excellents horlogers au XVIIIe et au XIXe siècles.

JAQUET Abraham
Fils de Moïse. Originaire de Rolle (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1748.

JAQUET Alexandre
Né en 1757 à Genève. Horloger.

JAQUET André
Pendulier à La Chaux-de-Fonds en 1775.

JAQUET David
Fils d'André. Apprenti horloger chez Antoine Esquivillon en 1714.

JAQUET Eugène
Directeur de l'Ecole d'Horlogerie de Genève, vers 1920 jusqu'en 1943. Président de la Société suisse de Chronométrie. Président de la Classe d'Industrie de la Société des Arts Conservateur des Collections d'horlogerie du Musée d'Art et d'Histoire de Genève. Il a beaucoup contribué à l'émulation des horlogers et des collectionneurs de montres, de par ses nombreuses activités et ouvrages, dont voici la liste: "L'Ecole d'Horlogerie de Genève", en 1924; "Le Formulaire Technique pour l'Horlogerie", en 1929; "Charles Piguet Fajes", en 1934; "La Réparation des Pendules", en collaboration avec Gilbertini, en 1936; "Les Horlogers Genevois du XVIIe siècle", en 1938; "La Pendule Neuchâteloise", en 1942; "Les Cabinotiers Genevois", en 1942; "Histoire et Technique de la Montre Suisse", en 1945; "La Montre Automatique Ancienne", en 1952; "Le Musée de l'Horlogerie de Genève", en 1952.

JAQUET François
Horloger. Mentionné à Genève en 1860 et en 1874.

JAQUET Guillaume
Maitre horloger et vitrier à Saint-Blaise. Cité de 1669 à 1680 à propos de diverses horloges de clocher.

JAQUET Jacob-Louis
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

JAQUET Louis
Spécialisé en petites montres à ancre et cylindre de 4 à 12 lignes, à remontage par le pendant. Montres de précision. Présent à l'Exposition nationale de Genève et mentionné à Genève en 1896.

JAQUET Pierre
Maître horloger, il était bourgeois de Genève et s'établit à La Neuveville dès 1656.

JAQUET René
Fabricant d'horlogerie. Expose à la Foire d'Horlogerie de Bâle en 1942 et 1943. Signe une montre-bracelet rectangulaire en or, avec des anses en forme de flammes. Mentionné à Genève en 1940.

JAQUET-117
Fabricant d'horlogerie. Montres-pendentifs. Mentionné à Genève en 1835.

JAQUET-DROZ & LESCHOT
Fabricants d'horlogerie et automates à oiseaux chanteurs. Genève et Londres. 1752-1791. La maison prend un grand développement à partir de 1772. Travaillent à Londres en 1782 et s'installent à Genève en 1784. Jaquet-Droz s'associe avec son fils adoptif, J.F. Leschot, en 1784.

JAQUET-DROZ Abrant
Père de Pierre. Horloger pendulier et agriculteur; habitait en 1750 au Grand Quartier des Vieilles Chaux avec 5 autres penduliers.

JAQUET-DROZ Henri-Louis
Né le 13 oct. 1752 à La Chaux-de-Fonds, décéde à Naples en 1791, fils de Pierre et de Marie-Anne Sandoz-Gendre, épouse en 1787 Louise-Susanne Benelle. Célèbre constructeur d'automates et horloger pendulier. Fit un séjour à Nancy de 1767 à 1769. Construisit en grande partie le Dessinateur, la Joueuse de clavecin et la Grotte. Établit en Angleterre en 1775 une succursale. En 1784 se fixe à Genève avec son associé J.-I. Leschot et laisse à la tête de la maison de Londres Henri Maillardel.

JAQUET-DROZ Henri-Louis-116
(Genève 1752-1791). Fils de Pierre. En 1773, représente à Londres la maison de son père. Revient à Genève en 1784. Fonde, avec J.-M. Pouzait et les frères Godemar, une fabrique-école de cadratures (mécanismes de la répétition) sous les auspices de la Société des Arts, 1788-1792. Meurt à Naples.

JAQUET-DROZ Jean
fils de Jean, époux de Blaisa, fils de Daniel Ducommun-dit-Boudry. Cité comme horloger à Huningue "depuis plusieurs années ", en 1725.

JAQUET-DROZ Moïse
Graveur à La Chaux-de-Fonds. Travaille vers 1784 pour Pierre Jaquet-Droz et pour J. Robert et fils.

JAQUET-DROZ Pierre
Né le 28 juillet 1721 à La Chaux-de-Fonds, décédé à Bienne le 21 nov. 1790, fils d'Abram et de Marie-Madelaine Droz père d'Henri-Louis. Célèbre pendulier et mécanicien. Étudiant à Bâle, puis proposant à Neuchâtel en 1740. Quitte la théologie pour se vouer à l'horlogerie et à la mécanique. En 1753, il se rend à Paris et en 1758 à la cour d'Espagne, avec 7 pièces. Ses oeuvres les plus connues sont l'Écrivain, le Dessinateur, la Joueuse de clavecin et la Grotte (les trois derniers faits en collaboration avec son fils). Séjourna quelques années à Genève à la fin de sa vie.

JAQUET-DROZ Pierre-115
(La-Chaux-de-Fonds 1721-Bienne 1790). Très célèbre mécanicien, fait plusieurs fameux automates achetés par Ferdinand VI d'Espagne et par Lord Macartney qui les envoie l'Empereur de Chine. Crée en 1755 un système de remontage par différence d'expansion entre deux métaux, développe successivement d'autres différents systèmes de remontage pour montre, par tiges coulissantes, par secousses et par rotor. Spécialisé dans la montre de luxe, les montres à automates, montres oiseau chanteur, tabatière et autres bijoux avec oiseau chanteur. Beaucoup de ses ceuvres sont achetées par J. Cox qui les revend en Orient. Expose en Italie, Espagne, France, Angleterre, Inde et Chine. La maison prend un grand développement à partir de 1772. Ouvre les succursales de Londres, Paris, Bâle et Neuchâtel. Droz et Leschot travaillent à Londres en 1782 et s'installent à Genève en 1784. Droz s'associe avec son fils adoptif, J.F. Leschot, en 1784. Reçu bourgeois à Genève en 1785.

JAQUIER André
Fils de Louis. Né à Genève. Horloger. Reçu habitant de Genève en 1783.

JAQUIER François
Horloger. Fin du XVIIe, début du XVIIIe siècle. Montres oignon avec réveil, à répétition. Signature trouvée sur une montre avec scène érotique, peinte sur émail.

JAQUIER Jacques-Albert
Fils de Rodolphe. Moudon, bailliage de Morges (Suisse). Orfèvre. A un fils, Reçu habitant de Genève en 1790.

JAQUIER Lazare
Fils d'André. Collonges-sous-l'Ecluse, canton du Valais (Suisse). Maître horloger. Reçu habitant de Genève en 1692. Montres-oignon de style français.

JAQUILLARD Jeanne Marguerite
Faiseuse de chaînettes. Seconde moitié du XVIIIe siècle.

JAQUIN
Horloger. Seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle.

JARCELAT Antoine
Maître horloger. Seconde moitié du XVIIe siècle. Marié en 1658. Travaille à Genève puis à Grenoble (France).

JARCELAT Gabriel
Apprenti horloger chez Pierre Badolet Lejeune en 1638.

JARCELAT Jaques
Fils de Gabriel. Apprenti horloger chez Antoine Jarcelat à Grenoble (France) en 1660.

JAUDIN Louis
Paris (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1711.

JAVELLE Adolphe
Emailleur Mentionné à Genève en 1857.

JAY Jaques
Maître horloger genevois. Sa raison sociale figure sur un acte notarié de 1688. Forme Pierre Desmarin en 1678.

JAY Louis
Maître horloger genevois. Milieu et seconde moitié du XVIIe siècle. Forme Alexandre Meyranne (Meyrenne ou Meyronne) en 1648.

JAY Paul
Maître horloger genevois. Forme Jaques Dupuy en 1673, Paul Dufour en 1682.

JEAN-FREDERIC
Fils de Frédéric. Né en 1746 à La Chaux-de-Fonds, décédé à Genève en 1824. Horloger et mécanicien de grand talent. Apprenti de Pierre Jaquet-Droz, il devint l'associé de son fils en 1782, le suivit en Angleterre et à Genève. Il participa à la construction des androïdes.

JEAN-PETITMATILE Jean-Jacques
Pendulier au Locle vers 1800

JEANDOUX Pierre
Maître orfèvre vers la seconde moitié du XVIIe siècle à Genève. Construit des boîtes de montres pour Charles Bobinet.

JEANGUENIN
Famille de Courtelary qui fournit de bons horlogers.

JEANJAQUET Ali-Auguste
Né le 19 avril 1852, fils et apprenti de Frédéric, pendulier. Établi depuis 1875 à Montbéliard.

JEANJAQUET Constant
Né en 1809, frère de Frédéric son apprenti et de Frédéric-Auguste. Apprenti d'Abram-Louis Borel. S'établit à Couvet. Excellent pendulier.

JEANJAQUET Eugène
Né en 1861, fils de Frédéric et de Félicie Vivot. Apprenti de son père; travailla 8 mois dans une fabrique de Montbéliard. Pendulier à Fleurier en 1917. Sa fille, Mlle Emma Jeanjaquet, peint et dore les cabinets qu'il reçoit principalement de M. Paul Bachmann à la Brévine et de M. Jaques à l'Auberson près Sainte-Croix.

JEANJAQUET Frédéric
Né le 4 mars 1823 à la Roche sur Louvet, décéde le 7 mars 1897 aux Verrières, fils de David-Frédéric. Epoux de Julie Guye, frère de Constant et de Frédéric-Auguste, beau-frère d'Abram-Louis Borel fils, père d'Eugène et d'Ali. Élève de P.Auguste Borel, puis de son frère Constant. Louis JeanRichard dit Louis Richard, principaux penduliers du Val-de-Travers au XIXe siècle. Fut établi de 1844 à 1847 au Locle, puis habita exclusivement le haut-vallon. A formé une vingtaine d'apprentis dont la plupart ont passé à la montre.

JEANJAQUET Frédéric-Auguste
Frère de Frédéric. Habitait vers chez Sulpy sur Couvet vers 1840. Pratiqua quelques années la pendulerie.

JEANJAQUET Ulysse
Fils de Constant. Pratiqua quelques années la pendulerie à Couvet vers 1840

JEANMAIRET Sylvains
Né en 1805, décédé en 1890. Apprenti de son oncle Fréd.-L. Favre-Bulle. Contribua grandement au développement de l'horlogerie de précision au Locle et celui de la chronométrie de marine en particulier.

JEANNERET Auguste
Horloger régleur. Reçoit une mention honorable au Concours de réglage de chronomètres, en 1897. Mentionné à Genève en 1870.

JEANNERET Charles-François
Pendulier à La Chaux-de-Fonds avant 1779. S'établit vers 1787 à Travers. Plusieurs pendules signées.

JEANNERET Const.
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

JEANNERET Henri-Ferdinand
En 1809 ouvrier de Fr.-Antoine Borel, à Couvet, puis maître pendulier à Travers. Reçoit de 1820 à 1830 des cabinets de Ch.-Fr. Dubois.

JEANNERET P.
Pendulier à Travers à la fin du XVIIIe et commencement du XIXe siècle. Cité en 1802. Belles pendules signées. Un P. Jeanneret-Gris à Lyon, achète en 1756 des cabinets de pendules à A.-L. Sandoz.

JEANNERET Philippe
Fabricant de cadrans de pendules aux Eplatures. Maître très habile. Cité de 1835 à 1845.

JEANNERET-GRIS Jean-Jacques
Né dans la 2me moitié du XVIIIe siècle. Mécanicien de talent au Locle dont les inventions profitèrent à Frédéric Japy, fondateur de la fabrique de Beaucourt, qui avait été ouvrier dans son atelier. Inventa en particulier des machines pour la fabrication des blancs-roulants de pendules de cheminée. Une pendule longue lune faite par lui

JEANNERET-GRIS Jules
Horloger. Mentionné à Genève en 1860.

JEANNERET-GROSCLAUDE Frédéric
Né à la fin du XVIIIe siècle, décédé en 1857. Horloger au Locle. Travailla à la fin de sa vie à Valangin à une « horloge géographique ».

JEANNERET-PIGUET
Horlogers. Mentionné à Genève en 1874.

JEANNET G.
Emboîteur. Mentionné à Genève en 1907.

JEANNET, MOREL et BOURQUIN
Fabricants d'horlogerie. 1919-1935 environ. "NITON" Marque genevoise enregistrée en 1919.

JEANNOT Paul
Fabricant d'horlogerie. Genève, Le Locle, La Chaux-de-Fonds (Suisse). Marques déposées en 1880. Détient un certain temps la marque Paul Perret, enregistrée en 1888. La marque "Azur P.J." enregistrée en 1890. "Paul Jeannot-Paul Perret patent" enregistrée en 1890. La marque "P.J." enregistrée en 1892. Fin du XIXe et début du XXe siècle. Montres à grandes complications et de grande qualité. Fabrique pour l'Espagne et l'Amérique du Sud. S'associe avec Paul Perret pour la construction de chronomètres de poche. En 1896, rachète à Paul Jeannot, La Chaux-de-Fonds, des brevets pour des perfectionnements apportés à la construction des mouvements de montres de toute dimension et un nouveau système avec colimaçon régulateur. Montres à secondes indépendantes.

JEANNOT Victor
Horloger. Mentionné à Genève en 1866.

JEANRENAUD
Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835.

JEANRENAUD Jean-Jacques
Fils de Jean-Jacques. Morat, canton de Fribourg, (Suisse). Maître horloger. Reçu habitant de Genève en 1790. S'associe avec Antoine Tavan et Jacques Chevandier de 1791 à 1794.

JEANRENAUD L.
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

JEANRENAUD-113
Pierre-Henri

JEANRENAUD-114
les Frères Cités comme horlogers en gros et en petit volume, à Môtiers et à Boveresse.

JEANRICHAD-DIT-BRESSEL Daniel
Né à la Sagne en 1665,décédé en 1741 au Locle, fils de David, frère d'Abram. Ne fut pas forgeron, mais orfèvre, horloger en petit volume et pendulier à la Saône, puis au Locle depuis 1706. Un des principaux pionniers de l'horlogerie neuchâteloise. Contribua surtout au développement de l'industrie de la montre dans les Montagnes.

JEANRICHARD Abram
, fils de David, frère de Daitiel, époux de Marie Perrelet. Orfèvre et horloger à la Sagne, puis à Morat. Cité de 1707 à 1734.

JEANRICHARD Félix
Pendulier à La Chaux-de-Fonds en 1756

JEANRICHARD-DIT-BRESSEL François-Julien
1796-1879. Horloger pendulier à la Sagne.

JEANRICHARD-DIT-BRESSEL Louis
Né en 1812, décédé en 1875. Neveu par alliance de Frédéric-Louis Favre-Bulle. Son père était l'arrière-petit fils de Daniel Jean-Richard Horloger de grand talent. Fit des montres, des chronomètres de marine et un régulateur de précision au Locle.

JEANRICHARD-DIT-BRESSEL Philippe-Henri
(1809-1872) époux de Julie Courvoisier (1811-1866). Peintre en cadrans de pendules et de montres aux Eplatures. Travaillait avec sa femme pour Philippe Jeanneret surtout.

JENIN Pierre
A fait le cadran solaire de l'église de Saint-Blaise, vers 1630.

JEQUIER J.-J.
Horloger pendulier à Fleurier et capitaine. Maître d'apprentissage de 1759 à 1760 de Jonas-Henri Berthoud qui devint son beau-frère. Paraît avoir surtout travaillé la montre.

JERCELAT Gabriel
Maître et commerçant de montres genevois. Milieu et seconde moitié du XVIIe siècle.

JERCELAT Jaques
Fils de Gabriel. Apprenti horloger genevois chez Jacob Moly en 1662.

JERMAN Balthazar
Ébéniste et doreur d'ornements pour pendules à Peseux, en 1771.

JEROME
Horloger genevois, utilise probablement un pseudonyme. Début du XIXe siècle. Spécialisé dans la construction de montres à scènes libertines, toutes peintes sur émail.

JETELER Rodolphe
Maître orfèvre genevois. Milieu du XVIIe siècle. Forme Jaques Guilleron en 1642.

JO'S MATERIAIS
Marque genevoise enregistrée

JOACHIM & EMETAZ
Monteurs de boites. Mentionnés à Genève vers 1828.

JOANIN François
Orfèvre genevois. Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. Spécialisé dans les tabatières, boîtes en or et émail et montres fantaisies.

JOANNOT P.A.
Fabricant de montres à cadrans lumineux. Mentionné à Genève en 1907. Marque "Luz" enregistrée en 1911. "chronomètre Polono" enregistrée en 1919. "Fétiche" enregistrée en 1919.

JOANNOT P.A.-BALTISBERGER
Marque genevoise déposée en 1884. Brevète en 1892 un podomètre et une montre boussole. Spécialités: podomètres, montres boussoles avec cartes de différents pays, pendulettes avec quantième, montres presse-lettres à cadrans lumineux. Présents à l'Exposition nationale de Genève en 1896. Médaille de bronze à l'Exposition universelle de Bruxelles en 1897.

JODIN Pierre
(Genève 1715-1761). Horloger. Auteur d'un traité sur les échappements à recul.

JODRY Ulysse
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

JOHANNOT P. A.
Horloger. Mentionné à Genève en 1920 et en 1924.

JOLIMAY (JOLIMAN) Pierre
Fils de Samuel ou Jacob. Goumoens, bailliage d'Echallens, canton de Vaud (Suisse). "Faiseur" de clés de montres. Reçu habitant de Genève en 1725.

JOLIVET A.
Horloger (rhabilleur) Moillesulaz. En 1861.

JOLIVET Anche
Apprenti orfèvre chez Abraham Brasier en 1665.

JOLIVET Jean Pierre
Apprenti horloger chez Jérémie Delafeuille en 1676, chez Etienne Esther en 1678 à Genève. Maître en 1686.

JOLLAT Ignace
Serrurier, de Porrentruy, s'occupa des horloges de la ville de 1748 à 1772. Son fils Joseph lui succéda.

JOLLI Louis
De Malval. Horloger. Milieu et fin du XVIIe siècle. Montres-réveils. Comme de nombreux autres paysans, ces campagnards genevois s'adonnent à l'horlogerie durant les mois d'hiver. Le Conseil sévit contre eux en 1697, mais il leur permet "de travailler en leur particulier, dans les lieux où ils habitent à présent, mais... leur ordonne de congédier les apprentis et compagnons qu'ils pourraient avoir".

JOLLY Antoine
Horloger genevois. 1786-1817.

JOLY & CHENEVARD
Orfèvres associés, première moitié du XIXe siècle. Spécialisés dans la montre-tabatière, boîte à musique, boîte à oiseau chanteur, montres polissonnes à automates.

JOLY Abraham
Maître horloger et "faiseur" de ressorts. Apprenti chez Pierre Frémin, citoyen, en 1657. S'associe avec André Rittel entre 1672 et 1673. Forme Daniel Bouillon et Jacques Bourdillat en 1675. Meurt en 1685.

JOLY Abraham-111
Fils de Jaques. Apprenti horloger chez Jacques Rittel en 1679 à Genève.

JOLY Abraham-112
Fils d'Abraham. Maître horloger en 1705. Apprenti chez Nicolas Bouquet en 1694.

JOLY Antoine
Horloger genevois. Milieu du XVIIIe siècle. Signature trouvée sur une montre à répétition à quarts.

JOLY Daniel
(Environ 1627-1690). Fils de Michel. Maître graveur. Apprenti chez Gerson Simonin et chez Abraham De Candolle en 1640. S'associe avec Laurent Bougreau en 1650.

JOLY Georges
Fils d'Antoine. Apprenti horloger chez Denis Dominicé en 1698 à Genève.

JOLY Hipp
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

JOLY Jaques
Fils de Jaques. Né à Genève. Cité comme maître orfèvre en 1630. Epouse Marie Mussard en 1638.

JOLY Jaques I
(Genève 1622-1694). Fils de Pierre. Apprenti chez Jacques Sermand l'oncle en 1635. Maître horloger en 1645. Montres de forme, émaillées et en cristal de roche. Forme Thomas Ravaud en 1651; Epaphras Comte en 1652; Domeine Chabrey fils d'Estienne, en 1654; Etienne Motel en 1657; Jn J. Megevand en 1658; Louys Gautier en 1664; Ezechiel Sarrasin en 1668. A pour compagnon Roger Drake de 1664 à 1667. Epouse, en 1655, Anne Vautier et, en seconde noce, Jeanne Colladon, qui apporte une dot de 6500 florins. Remet, en 1662, une série de montres à Humbert Damoysel dit Ledamoysel, afin de les vendre à Turin. Fait des montres astronomiques pour le marché turc. Une très belle montre en métal doré, boîte lobulée en cristal de roche, cadran en argent gravé, vers 1650.

JOLY Jaques II
Fils de Jaques I, mort vers 1693. Apprenti horloger chez Etienne Chavannes en 1665 à Genève.

JOLY Jean
Fils de Jacques. Charenton près de Paris (France). Bijoutier. Reçu habitant de Genève en 1776.

JOLY Jean François
Maître horloger. Fin du XVIIe, début du XVIIle siècle. Montres oignon, montres-réveils.

JOLY Jean Philippe
Fils de Jean. Maître lapidaire genevois. Sa raison sociale figure sur des actes notariés de 1684 et 1685.

JOLY Jean Pierre
Maître orfèvre, en 1691. Apprenti chez Jaques Jaccon en 1681 et 1682 à Genève.

JOLY Jean-François
Fils de Pierre. Avully (Genève). Reçu habitant de Genève en 1743.

JOLY Jean-Louis
Horloger à Malval (Genève). Apprenti chez Etienne Chavannes en 1668. Sa raison sociale figure sur des actes notariés de 1684 et 1685. N'est pas cité comme maître, mais construit des ébauches.

JOLY Noel
De Saint-Denis en Brie. Pendulier. Reçoit en 1745 Certificat d'apprentissage de David Moilet à Travers.

JOLY Pierre
Baptisé en 1619. Fils de Pierre. Apprenti orfèvre chez Jaques Sicher en 1634. Forme Jean Emanuel Devenoge en 1661.

JOLY Pierre, Jean et Jaques
Marchands horlogers et orfèvres. Vers 1670.

JORDAN Pierre
Maître horloger et orfèvre genevois. Première moitié du XVIIe siècle. Se marie avec Maurise Dellapallud en 1637.

JORNAND Gaspard
Horloger. Mentionné à Genève en 1860.

JORNOD (JONOD) David
Horloger, les Ponts-de-Martel. Cité à la Sagne en 1702.

JORNOT Daniel
Horloger des Ponts-de-Martel. Mentionné à Genève en 1701.

JORNOT E.
Atelier d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866 et en 1874.

JOSEPH Emile
Horloger, né à Sainte-Croix le 20 octobre 1843. Il s'établit à Genève aux alentours de 1867.

JOSEPH Henri Louis
Horloger, né à Sainte-Croix en 1806. Il s'établit à Genève aux alentours de 1825.

JOTES
Marque genevoise enregistrée.

JOUARD & GOLAY
Horlogers genevois. Vers 1815.

JOUARD Albert
Né en 1752 à Genève. Horloger.

JOURDAN
Horloger genevois. Fin du XVIIIe; début du XIXe siècle.

JOURDAN Régis
Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1861.

JOURNE François-Paul
Né en 1957 à Marseilles. Diplômé de l'Ecole d'horlogerie de Paris en 1977. 1978 : entre dans l'atelier de son oncle à Paris. 1978 : Construction de sa première montre de poche à tourbillon. 1985 : Création de son premier atelier, rue de Verneuil à Paris. 1985 : Fabrication d'une montre planétaire. 1989 : création d'une manufacture de mouvements en Suisse. 1996 ; création de TIM SA, Genève pour la conception de calibres exclusifs au service des grandes marques. 1999 : lancement d'une collection signée : « F.P. Journe Invenit et Fecit ». Première mondiale : Tourbillon Souverain, Chronomètre à résonnace. En 2000, première mondiale avec un mouvement automatique à complications intégrées. Installation des ateliers, rue de l'Arquebuse à Genève.

JOVARD Albert
Né en 1752 à Genève. Horloger.

JUILLARD
Importante famille d'horlogers et d'industriels, originaire de Sonvilier et de Cortébert

JUILLARD FRÈRES & MOREL
Milieu du XIXe siècle à Genève. Montres en tous genres, spécialisés en montres décorées d'émail et de pierres.

JUILLERAT Jean-Pierre
Maître horloger genevois. Seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle. Sa signature figure sur une montre à répétition avec date.

JULIEN
Horloger Mentionné à Genève en 1862.

JULIEN FILS & Cie.
Fabricants d'horlogerie genevois. Vers 1800.

JULIEN Vincent
Horloger genevois. Seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle.

JULIEN-GUILLOT
Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835.

JULLIEN
« Etablisseur » d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1835.

JUNOD Frères
Montres de bonne qualité à boîte décorée de gravures et d'émaux. 1800-1850.

JUNOD(S) ou JUNOT(S)
Fabricant et marchand d'horlogerie. Emboîteur Mentionné à Genève en 1828-1840.

JUNOT J.
Horloger. Mentionné à Genève en 1860.

JUNOT Victor
Horloger. Mentionné à Genève en 1860 et en 1874.

JUNTES
Etablisseur d'horlogerie. 1828-1835. Horloger. Mentionné à Genève en 1835.

JUNTES J. L.
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

JURGENSEN
Né à Copenhague en 1777, décédé 1830, fils de George, époux de Sophie Houriet, père de Jules et de Louis. Célèbre horloger. Appartient plutôt à l'Histoire de l'horlogerie du Danemark, mais vécut aussi au Locle en 1801 et en 1808, où il épousa la fille de J.-Fréd. Houriet. Six pendules astronomiques de la plus grande exactitude. Plusieurs portant l'indication Copenhague appartiennent à la maison Jürgensen, au Locle.

JURGENSEN Jules
Né au Locle le 27 juillet 1808, décédé à Genève en 1877. Horloger réputé et inventeur de talent. Fit des études à Copenhague sous la direction de son père et s'occupa au Locle avec succès d'horlogerie et de chronométrie de marine et de poche. Établit plusieurs pendules astronomiques. Son fils aîné Jules-Frédéric Urbain (1838-1894) continua son oeuvre avec succès.

JURINE François
Lyon (France). Horloger. Reçoit la bourgeoisie genevoise en 1744.

JURINE Jean Pierre
Né en 1748. Fils de François. Maître horloger et orfèvre. Apprenti orfèvre chez Jean & Alexandre Patry en 1762.

K
Marque genevoise enregistrée.

KADROWSKI Joseph
Horloger. Mentionné à Genève en 1860.

KAENDLER Frédéric
Horloger. Mentionné à Genève vers 1816.

KAESER John et Cie
Commerce d'horlogerie, enregistre les marques "Cirano", "Dorera", "Dourado", "Oxima" en 1918, "Ika" et "Mirella" enregistrée en 1919.

KALTBRUNNER
Etablisseur d'horlogerie. Vers 1835. Horloger. Mentionné à Genève en 1851.

KATZ Léopold
Horloger, marchand. Mentionné à Genève en 1907.

KAUFMANN Henri
Joaillier, graveur-ciseleur. Mentionné à Genève en 1909. Décore des boîtes de montres. En 1911, dépose un brevet pour une boîte de montre d'un type nouveau et un dispositif pour assujettir un verre dans une lunette.

KAUFMANN M. W.
Articles d'horlogerie. Reprend la marque "The Star of India" enregistrée par JH. Frossard, fabricant, de Porrentruy, en 1904

KAUFMANN Wilhelm
Fabricant horloger à Londres. "The Wilka Watch" Marque genevoise enregistrée en 1905. Selon enregistrement du 5.8.1906 cette marque transfère son siège à Genève. "Nizam" et "Wilka" marques enregistrées en 1906. En 1907 sont enregistrées la marque "Siroco" et une marque avec caractères en chinois. En 1907 la marque sous l'emblème d'une tortue ainsi que la marque "K", "Montor et Montor registered" enregistrées en 1911; "Radja Naya" en 1912, radiée en 1912. "Houriett" enregistrée en 1917. Signe une montre en or avec miniature émail cachée, représentant une Naïade au Bain. Vers 1920, sous la marque Wilka. "Avis","Prospect", "Albris" et "Contessa", marques enregistrées en 1922. Mentionné à Genève en en 1920 et 1924.

Kazès Jean
Ingénieur en mécanique d'origine suisse et installé à Carouge, Jean Kazès s'illustre depuis 1972 dans des pendules et horloges sculpturales.Pièce uniques, disponibles ou conçues sur demande, les compositions abstraites exaltent l'épure de mouvements simples ou à complications : calendrier perpétuel, indications astronomiques, temps universel, sonneries des heures.Oeuvres d'art, elles expriment l'équilibre subtil entre maîtrise de la tradition horlogère et esthétique contemporaine. Par leur sobriété autant que par leur technicité, elles trouvent la place dans les intérieurs particuliers, comme dans les bâtiments de prestige.

KECKER Fe.
Horloger chez Droz et Leschot. Spécialisé dans les montres à remontage automatique.

KECKER Jean-Abram
Maître pendulier à La Chaux-de-Fonds. Cité de 1778 à 1800. A 2 ouvriers en 1783. Travaille pour J. Robert et fils et Cie. Demande des avances pour établir une fabrique de « pendules d'art » avec Sandoz l'émailleur (Jean-Louis) à Besançon.

KEHLHOFF
Fabricant d'échappements et de roues à cylindre. En 1891, Edward Koehn quitte la Maison Patek et achète la Maison Robert Ekegren où il continue leur production sous signature collective ou individuelle. Construit des montres plates et extra-plates de très haute qualité, répétitions, chronographes et rattrapantes. La Société continue au Grand-Quai, fabrique des montres pour Tiffany New York, brevète une montre à barillet suspendu, à remontoir au pendant: "Roseau", Marque genevoise enregistrée en 1912 "Thermindex", enregistrée en 1922. Mentionné à Genève en 1907, en 1920 et 1924.

KEHLHOFF-110
Horloger. Mentionné à Genève en 1874.

KETTERMANN Christophe
De la Russie. Ciseleur à La Chaux-de-Fonds en 1775. Fait de 1782 à 1784 pour J. Robert et fils des boites de cheminée en fonte et des garnitures complètes de pendules.

KHAMMI Henry
De Zurich. Reçoit Lettres d'apprentissage en 1780 d'Adam Voiroz maître ciseleur à La Chaux-de-Fonds.

KLAUS Kurt
Né à St. Gallen, Suisse, en 1934, Kurt Klauss débute sa carrière chez IWC Schaffhausen en 1957. Il est connu pour le mouvement à calendrier perpétuel conçu pour IWC mais également pour le calibre 5000 automatique, le chronographe à rattrapante, les heures universelles et le profondimètre mécanique.

KLENTSCHI Charles-Frédéric
Né 1774, décéde en 1851 à La Chaux-de-Fonds, père de Louis. Maitre horloger pendulier très habile. Achète de 1831 à 1842 des cabinets de pendules à Ch. Dubois. Il eut pour apprenti Jonas-Pierre Dessoulauy et Frédéric-Alexandre Courvoisier (Fritz Courvoisier).

KLENTSCHI Louis
Fils de Charles-Frédéric, né le 23 oct. 1806, décéde en 1881. Habile horloger pendulier, fit des mouvements compliqués. Associé de son père. Travaillait beaucoup pour la Maison Couruvisier frères.

KOLLER Jean-Conrad
De Mulhouse. Pendulier à La Chaux-de-Fonds. Cité de 1792 à 1806.

KOLLER L.
Emailleur. Mentionné à Genève en 1860.