Peugeot se « rebelle » en endurance

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 Peugeot to « rebel » in endurance racing  - Rebellion
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Peugeot et Rebellion Corporation unissent leurs forces pour répondre au défi du championnat du monde d’endurance (WEC) et des 24 Heures du Mans.

Les deux compagnies sont engagées dès 2022 dans la catégorie Hypercar, utilisant des chaînes de traction hybrides électrifiées. « Peugeot a écrit de belles pages dans l’histoire de l’endurance avec ses motorisations essence et diesel, et nous voulons désormais ouvrir un nouveau chapitre avec l’hybridation », soutient Jean-Philippe Imparato, directeur automobiles de Peugeot. « Je suis d’autant plus convaincu de cet engagement, que nous sommes désormais alliés avec un grand partenaire. La passion, la perfection et la performance de Rebellion Corporation s’associent parfaitement aux valeurs de Peugeot : Exigence, allure et émotion ». Ces compagnies s’appuient sur leur passion commune du sport automobile, leur palmarès exceptionnel ainsi que leur savoir-faire sportif et technologique pour faire briller leurs couleurs : « Nous somme jeunes, ambitieux et « Rebells » !, ajoute Calim Bouhadra, directeur de Rebellion Corporation. 

Peugeot se « rebelle » en endurance

Cette union résulte d’une ambition commune de réussir l’engagement de Peugeot en endurance et l’entrée de Rebellion Corporation dans la nouvelle ère énergétique de ce championnat, parmi les plus prestigieux au monde. « Nous allons construire ensemble une voiture, une team et allons nous battre sur des terrains concurrentiels pour ouvrir un palmarès commun », affirme Alexandre Pesci, président de Rebellion Corporation. Dès le mois de Janvier 2020, l’équipe technique définira les grandes lignes du projet et en parallèle, Peugeot Sport et Rebellion Racing constitueront l’équipe: « L’expertise  Rebellion Racing en WEC est un vrai atout pour composer une équipe forte et aborder 2022 dans les meilleures conditions », conclut Jean-Marc Finot, directeur de PSA Motorsport. « Les rôles seront répartis selon nos compétences respectives mais nous ne formerons qu’une seule et unique entité basée à Versailles-Satory ».

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