L’une des plus anciennes montres neuchâteloises au MIH

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L’une des plus anciennes montres neuchâteloises au MIH - Musée international d’horlogerie
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La première exposition temporaire 2017 du Musée international d’horlogerie porte sur la collection en devenir du musée. Ouverte au public le jeudi 9 mars, l’exposition présentera côte à côte une montre oignon Sibelin de 1700 et la première smartwatch entrée dans la collection du MIH.

En 2016, les collections du MIH ont accueilli une soixantaine de nouvelles pièces, en particulier des montres de poche et des montres-bracelets présentant des innovations techniques, du début du XVIIIème siècle à nos jours.

Deux modèles en particulier démontrent l’ampleur de l’évolution de l’horlogerie dans la région de Neuchâtel. Tout d’abord, une montre oignon signée Sibelin datant de 1700, l’une des plus anciennes montres neuchâteloises jamais répertoriées. Puis la TAG Heuer Connected, la première smartwatch à faire son entrée au sein du MIH.

Entre ces deux jalons horlogers, le public pourra également découvrir une montre de poche signée Ferdinand Berthoud, dotée d’une aiguille de secondes (1780), une série de montres-bracelets électroniques, des montres-bracelets extraplates à quartz, ainsi que des montres-bracelets contemporaines à complications.

Parmi les pièces décoratives, deux nouvelles curiosités sont entrées dans la collection du musée. La première est une pendule française en corne de vache du milieu du XVIIIème siècle très bien conservée. La seconde pièce qui entre elle dans la catégorie des instruments non mécaniques, est un rare nocturlabe qui permet la mesure du temps selon le positionnement des étoiles dans le ciel.