


Plus efficace qu'un tourbillon.
La seconde RICHARD LANGE concentre donc aussi l'attention de son propriétaire sur l'objectif de toute ambition horlogère : le plus grand degré de précision possible. Elle repose sur une construction ingénieuse : une transmission fondée sur le principe fusée-chaîne utilisé dès le XVe siècle, notamment par Léonard de Vinci. Dans son livre de référence intitulé Watchmakers and Clockmakers of the World, G. H. Baillie en parle ainsi : « Aucun problème mécanique n'a semble-t-il jamais été résolu d'aussi simple et parfaite manière ». Fabriquer ce mécanisme complexe à une dimension adaptée à celles d'une montre-bracelet requiert cependant un savoir-faire et une dextérité exceptionnels. Ceci explique pourquoi il est aujourd'hui bien plus rare que le tourbillon. Il se révèle pourtant bien plus efficace dans une montre-bracelet car il compense l'inconvénient majeur du mécanisme de remontage – à savoir l'inévitable perte de couple – en exploitant intelligemment le principe du levier.
Le dispositif de transmission fusée-chaîne compense le déclin d'énergie du spiral, maintenant un couple constant durant toute la période couverte par la réserve de marche. À cet effet, la transmission, habituellement assumée par le seul barillet, se partage entre deux composants : le barillet et la fusée adjacente qui lui est reliée. Les deux composants sont connectés par une fine chaîne qui, dans le cas de la RICHARD LANGE « Pour le Mérite », est constituée de 636 composants distincts.
En suivant la vision de Ferdinand Adolph Lange, dont la devise etait « construire les meilleures montres du monde », A. Lange & Söhne poursuit sa recherche de précision et explore de nouvelles voies pour promouvoir l’art de haute horlogerie.
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