L'un des premiers échappements. L'axe du balancier rencontre une roue dentée qui le ramène en arrière, l'y retient un instant, puis le laisse échapper, pour le ramener à nouveau. Malheureusement, ce mouvement discontinu ne s'opérait pas avec rigueur, car on ne parvenait pas à mesurer précisément l'oscillation du balancier pour qu'elle ne dépassât pas une seconde. De là des avances ou des retards qu'on ne parvenait pas à corriger.
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