Lancée en 2016, l’AIKON est très vite devenue synonyme de style urbain. Après un premier modèle à quartz, la collection s'est rapidement enrichie avec plusieurs montres mécaniques, intégrant une variété de complications. Pour TimeForArt, la marque basée dans le Jura suisse a créé une pièce unique, utilisant un mouvement squeletté comme toile artistique qu’elle a colorée d’une multitude de teintes. Les aiguilles luminescentes des heures et des minutes, ainsi que la fine aiguille centrale des secondes, flottent au-dessus d’un cadran en saphir et affichent le temps qui passe avec des index également luminescents.
Maurice Lacroix a travaillé en étroite collaboration avec le spécialiste des mouvements Sellita pour concevoir le mouvement automatique exclusif ML115 (inspiré du SW200) qui anime cette montre. Pour la première fois, la marque horlogère a également appliqué un traitement spécial arc-en-ciel sur la platine et les ponts du mouvement, donnant à ce modèle un aspect très particulier. Grâce à son design ajouré, son propriétaire peut contempler les nombreux composants mobiles, habituellement dissimulés. Le mouvement joue avec la transparence, permettant à la lumière de traverser ses diverses ouvertures, éclairant ainsi une myriade d’éléments. Sa masse oscillante est personnalisée avec une décoration sablée et soleillée, tandis que l’ensemble du mouvement est orné d’un colimaçon.
On retrouve le thème de l’arc-en-ciel également sur la masse oscillante, pièce qui permet d’éviter tout remontage manuel. Elle peut être observée dans toute sa splendeur grâce au fond en verre saphir. Logée dans un boîtier en acier inoxydable aux dimensions modestes de 39 mm, cette montre est accompagnée d’un bracelet assorti et d’une autre version en caoutchouc noir. L’ingénieux système de changement facile du bracelet imaginé par la Maison permet de changer de bracelet sans utiliser d’outils.
La montre Maurice Lacroix TimeForArt ne se contente pas de donner l’heure, c’est aussi un exemple extraordinaire d’art contemporain, qui rencontrera sans aucun doute l'approbation du Swiss Institute et de ses nombreux soutiens.
