L’horloger qui exauçait les femmes

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The watchmaker that made women’s wishes come true - Vacheron Constantin
Inspirations d’antan et poignets scintillants, voici l’horlogerie féminine selon Vacheron Constantin. Mécanique et métiers d’arts s’unissent sous une pluie de diamants, pour des créations toujours dans l’air du temps

Que serait l’horlogerie sans les impulsions féminines ? Certainement pas la même ! Car l’art de la mesure du temps doit beaucoup aux femmes : leurs attentes ont incité les horlogers à se surpasser. Ainsi, au fil des ans, Vacheron Constantin a mis un point d’honneur à répondre à leurs souhaits. En témoignent des créations féminines de la marque dès le 18e siècle – souvent imaginées d’entente avec les clientes au fil d’échanges épistolaires. Véritables bijoux, les montres Vacheron Constantin d’époque exhibent des atours luxuriants : guillochage, gravure, émaillage ou encore sertissage. Ces créations ne dédaignent pas non plus l’univers des complications, dont l’ingénieuse répétition-minutes. Puis, au début du 20e siècle, la mode est aux bras dénudés. Une occasion parfaite pour les orner des premières montres-bracelets – aux exigeants mouvements miniaturisés – que les femmes portent en précurseurs. La plus ancienne montre de poignet connue de la manufacture, datant de 1889, est d’ailleurs destinée aux femmes.

L’horloger qui exauçait les femmes

Aujourd’hui, Vacheron Constantin puise dans son riche héritage pour interpréter l’horlogerie au féminin contemporain. Sa collection dernière-née, Égérie, s’inspire des affichages décentrés de la marque, attestés dès le 19e siècle. Christian Selmoni, Directeur Style et Héritage de la marque, la décrit : « Égérie est parfaitement en phase avec notre époque : elle offre la commodité des mouvements automatiques et une certaine versatilité – grâce à un changement rapide de bracelet – sans oublier l’univers des complications horlogères avec une version phases de lune ». En version joaillière, sertie jusque sur le moindre maillon, Égérie déploie une cascade de 1’344 diamants. Sa soeur de coeur et d’éclat, l’Égérie phase de lune pavée de diamants, se noue au poignet avec un bracelet en cuir ou en satin. « Nous nous attelons au maintien et au développement des métiers d’art, dont le sertissage » souligne Christian Selmoni. Enfin, l’Heure Romantique transporte l’imagination dans une tout autre époque, le début du 20e siècle, au gré de ses arabesques façon Art Nouveau, bien entendu illuminées de diamants. Car, au royaume de la beauté intemporelle, le diamant est roi…au service de femmes souveraines !

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Vacheron Constantin