Les Presage montent en puissance

Image
Presage ups the ante - Seiko
3 minutes read
La collection Presage de Seiko est devenue en quelques années l’un de ses best-sellers. Ce succès conduit aujourd’hui la marque à pérenniser et diversifier son offre.

C’est l’histoire d’un succès inattendu. En 2010, Seiko lance sur son marché domestique, le Japon, une ligne 100% mécanique, Presage. Simple, épurée, classique dans son format mais légèrement décalée dans son esthétique, la pièce explose littéralement. Les clients japonais se l’arrachent et, par le biais des réseaux sociaux, les amateurs de la marque la découvrent à travers le monde et jettent également dessus leur dévolu. Sortie localement, sans prétention globale, Presage est l’un des plus importants succès viraux de l’horlogerie nipponne de ces dernières années.

En 2016, Seiko a donc décidé de franchir le pas d’un véritable lancement international, offrant à sa Presage les moyens de ses ambitions. Sur le sol bâlois, la collection rencontre à son tour un succès franc et massif, s’imposant rapidement en tête des ventes sur certains marchés au nez et à la barbe de collections déjà en place.

La famille s’agrandit

En 2017, les nouvelles Presage étaient attendues avec une fébrile impatience. Seiko a joué la prudence en ne renouvelant pas tous les modèles de sa collection 2016, passant ainsi de 12 à 8 références. Parmi elles, les têtes d’affiche sont aujourd’hui les versions bleues avec cadran soleillé, radieuses au sein d’un boitier parfaitement mesuré de 40 mm (ref. SSA343 et SRPB43). Sur ces modèles comme sur les autres, Seiko a préservé ses innovations maison, telles le Magic Lever, des ressorts en Spron (un alliage unique et hautement résistant) et le système de protection Diashock.

Côté mouvement, les pièces sont proposées avec les mêmes calibres, dont les bases que sont le 4R35 (qui offre la finesse et la simplicité d’un mouvement à trois aiguilles) et le 4R57 (équipé d’un indicateur central de réserve de marche).

Les Presage montent en puissance

Cocktail à succès

Côté cadran, Seiko n’a pas changé une recette à succès. La beauté scintillante du motif soleillé profondément imprimé est relevée par l’application de sept couches de vernis et la clarté des verres incurvés. Les aiguilles incurvées à la main renforcent l’impression de finesse. Pour parfaire le tout, certains modèles sont portés par des bracelets en cuir lustré, très brillants : un choix particulièrement audacieux – et unique aujourd’hui – mais qui sied à ravir à l’éclat des pièces.

A leur sortie sur les marchés en août prochain, ces modèles intégreront une ligne de la collection Presage appelée « Cocktail ». Seiko y proposera notamment des versions chocolat marquées du même soleillage, avec un guichet de date à 3h.

Les Presage montent en puissance
Retour en force de l’émail

En marge ces collections courantes, Seiko a considérablement musclé son offre avec cadrans en émail. Il y en a aujourd’hui cinq modèles, contre seulement deux l’année dernière. On y trouvera quatre formats ronds et un format tonneau. Ils alterneront, en fonction des références en en sus des heures et minutes, une petite seconde, une réserve de marche, une date ou un chrono. Ce dernier sera le seul format rond en 42 mm, tous les autres restant au sage et mesuré 40 mm.

On retrouvera les codes les plus classiques utilisés par Seiko pour ce type de pièces : aiguilles bleuies, seconde terminée par un croissant de Lune, émail sur deux niveaux. Ils se situent dans la droite ligne du chronographe de Baselworld 2016. En émail lui aussi, il avait rencontré un vif succès que Seiko s’emploie aujourd’hui à développer avec discernement et habileté. C’est aussi la raison pour laquelle ces références, contrairement à ce chrono 2016, ne sont plus limitées et entrent donc durablement en collections courantes.

Les Presage montent en puissance

Marque