Cartier n’a pas jeté sa nouvelle Calibre de Cartier Diver dans le lac Léman lors de sa présentation à la Société Nautique de Genève au début de l’été, mais le point le plus profond du lac correspond plus ou moins aux 300 mètres de profondeur à laquelle l’étanchéité de la montre est testée. C’est en effet le niveau d’étanchéité requis pour décrocher l’appellation « montre de plongée » selon les critères de la norme ISO 6425.
La Calibre de Cartier Diver satisfait toutes ces exigences tout en conservant le style distinctif et la silhouette gracile de la collection du même nom et elle est équipée du premier mouvement entièrement maison. Pour en savoir davantage sur cette montre, qui n’est qu’un millimètre plus épaisse que le modèle classique, vous pouvez lire l’article que nous lui avons consacré.
La lignée de montres de plongée de Blancpain remonte à plus d’un demi-siècle et la Bathyscaphe fut la première dotée d’une taille adaptée à un usage quotidien. Lancée à la fin des années 1950, la Bathyscaphe doit son nom à l’engin submersible autopropulsé inventé par le Suisse Auguste Piccard (grand-père de Bertrand Piccard, qui perpétue la tradition exploratrice familiale avec son projet de tour du monde en avion solaire, Solar Impulse). Cette pièce historique a été réinterprétée par Blancpain l’an dernier avec un modèle à trois aiguilles, suivi cette année par un chronographe flyback équipé d’un nouveau mouvement à remontage automatique.
Outre le mouvement F385 à remontage automatique qui bat à 36'000 alternances par heure, le chronographe Bathyscaphe flyback offre de nombreuses autres prouesses technologiques derrière son aspect vintage : un spiral en silicium, une masse oscillante en or 18 carats revêtu de NAC, un alliage de platine, et l’alliage métallique breveté LiquidMetal ® pour les index de la lunette. Un bracelet NATO ou toile de voile parachève ce look rétro, mais pour la première fois dans la collection Bathyscaphe il existe aussi une version avec bracelet en acier pour ce modèle.
La collection Longines Heritage compte de nombreux joyaux horlogers et l’Heritage Diver lancée juste à temps pour l’été 2014 ne fait pas exception. Le boîtier de forme coussin à l’esthétique typiquement années 1970 rappelle les montres produites par Longines à cette époque pour les amateurs de plongée. Fond, couronne et lunette vissés assurent une étanchéité à 300 mètres pour les deux versions existantes, une trois aiguilles et un chronographe, chacun avec son propre affichage des durées d’immersion. Un bracelet noir en synthétique ou en caoutchouc complète le cadran noir souligné de touches de rouge.
Emile Chouriet et Davidoff font tous deux leurs débuts dans le monde des montres de plongée avec deux classiques du genre en acier inoxydable, disponibles dans un design contemporain et un choix de cadrans noir, gris ou bleu. Principale différence visuelle entre la Challenger Deep d’Emile Chouriet (baptisée ainsi en référence au point connu le plus profond sous la surface de l’océan) et la Davidoff Velocity Diver : repères colorés sur la lunette tournante pour la première et bague en acier inoxydable pour la deuxième, avec des inserts de PVD noir sur la couronne et sur les côtés du boîtier comme éléments de contraste.
