Avec Bulgari, la créativité horlogère et joaillière se joue du temps et de l’espace. L’Octo Finissimo Calendrier Perpétuel – record de finesse – étend les heures quasi à l’infini (en tout cas jusqu’en 2100, prochaine année exceptionnellement non-bissextile). Et, puisque le temps ne manque pas, la minimaliste Octo Finissimo Tadao Ando inspire une sérénité toute nippone face aux aléas de la vie. Dans une luxuriance de gemmes, la manchette mystérieuse Serpenti Misteriosi Cleopatra convoque l’Égypte antique sur fond d’yeux bordés de khôl façon Elizabeth Taylor. Pour clore une journée trépidante, quatre nouvelles Divissima et Astrale se glissent au poignet, le temps d’une soirée chic sur les bords de la Méditerranée.
Une finesse infinie
En matière de montres extra-plates, Bulgari a tout d’un sprinter en état de grâce. Depuis 2014, la manufacture a aplati 7 records ! Mouvement manuel, automatique, répétition minutes, tourbillon, chronographe GMT, tourbillon chronographe squelette et désormais calendrier perpétuel, la marque décroche les trophées au rythme des années. La meccanica della vittoria pour l’Octo Finissimo Quantième Perpétuel ? 408 composants dans une boîte de 5,8 mm, pour un calibre de 2,75 mm. Malgré cette épaisseur minimale, le modèle affiche tout ce qu’il faut, là où il faut : date rétrograde, jour, mois et années bissextiles rétrogrades. Ce « QP » existe en titane sablé avec bracelet intégré – un favori de la marque – ou en version platine sur bracelet en alligator.
Le temps conceptuel
Lorsqu’un architecte japonais féru de verre, de ciment et de lumière s’associe à l’horloger italien, les heures invitent à philosopher. Nouvelle création pour une troisième année de collaboration, le cadran de l’Octo Finissimo Tadao Ando – gravé d’une spirale sur de la laque bleue – parle du temps qui passe. À 5 heures scintille le croissant d’or de la Lune. Dans la culture nippone, cette première phase de Lune (Mikazuki) symbolise la nature transitoire du temps, l’espoir, ainsi que la prospérité future.
Les diamants ne muent jamais
La Serpenti Misteriosi Cleopatra interprète le serpent cher à Bulgari façon Égypte antique et un nombre de carats digne d’un trésor de pyramide. Les « écailles » de cette manchette mystérieuse souple en or rose sont figurées par neuf différents types de pierres précieuses, taillées en hexagone : des améthystes et des citrines, une aquamarine, de la rubellite, de la tourmaline chrome, de la tanzanite et un péridot, pour un total de 50 carats. Près de 4000 diamants sertis neige complètent l’envoûtant reptile pour un total de 470 heures de sertissage. Une rubellite de près de 10 carats dissimule, imperturbable, le cadran serti neige de diamants. À vue de nez, Cléopâtre – incarnée à l’époque par Elizabeth Taylor, photographiée lors du tournage à Cinecittà une Serpenti au poignet – aurait approuvé.
L’heure d’un cocktail
Quoi de mieux pour célébrer les couleurs de la vie que des gemmes ? Bulgari s’inspire de l’âge d’or romain pour réinterpréter les montres de cocktail Divissima et Astrale. La première, Diva’s Dream Divissima, reconnaissable à son motif d’éventail, cueille les plaisirs de chaque journée en deux déclinaisons : entièrement parée de diamants ou sertie d’émeraudes et de diamants. Deux précieuses Astrale, tout en opulence joyeuse, exposent diamants et gemmes facettées ou de forme cabochon. Des créations chic et extraverties avec lesquelles la Dolce Vita devient une seconde nature.