L’art du travail de la pierre

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The art of stone - Jaquet Droz
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En cette année 2018 marquant le 280e anniversaire de Jaquet Droz, ces nouvelles Grande Seconde Décentrée aux cadrans de pierre semblent être un clin d’œil au fondateur de la marque aux deux étoiles, passionné par les minéraux.

Fondée en 1738 par Pierre Jaquet-Droz (1721-1790), la marque aux deux étoiles fête son 280e anniversaire en 2018. Chers à son fondateur, les minéraux occupent aujourd’hui encore une place importante au sein des Ateliers d’Art et font partie de l’ADN même de la marque. Agate dendritique, cœur de rubis, sunstone, chrysoprase citron, jadéite, quartz rutile, ardoise, onyx, astorite… la palette de pierres utilisées par Jaquet Droz pour orner ses cadrans ne connaît aucune limite. Après la Petite Heure Minute en cuprite (minéral composé d’oxyde de cuivre) présentée pour la Saint-Valentin, de nouveaux modèles arborant des cadrans en météorite et stromatolithe sont dévoilés cette année. Ce n’est pas un hasard si la marque a choisi la Grande Seconde avec son esthétique en 8 pour rendre hommage à ces minéraux incarnant l’infini de l’espace.

Lancée en 2002, la Grande Seconde fait elle aussi partie des codes de la marque et tire son inspiration d’une montre de poche datant du XVIIIe siècle. Contrairement à la Grande Seconde classique, la Grande Seconde Décentrée affiche une allure plus asymétrique avec son cadran des heures et des minutes qui s’entremêle avec celui de la Grande Seconde avec un léger décalage. Les rehauts en or rouge 18 carats n’affichent pas de chiffres, mais uniquement des index extrêmement épurés qui semblent s’éclipser pour laisser pleinement s’exprimer la magie et la profondeur de la pierre. Ces nouvelles créations d’exception témoignent de la volonté de la marque aux deux étoiles de fusionner le temps avec l’espace.

L’art du travail de la pierre

Directement venue de l’espace, la météorite est un fragment d’astéroïde qui est parvenu à entrer dans l’atmosphère terrestre sans se désintégrer. Composé de fer et de nickel, elle jouit d’une solidité exceptionnelle. Dénicher des fragments n’est pas une mince affaire, mais en trouver avec un volume suffisant pour être taillé et sculpté l’est encore plus. La découpe de disques pour la fabrication des cadrans requiert une grande maîtrise de la part des artisans. En raison de l’éclat naturel des pierres, chaque garde-temps se révèle unique. Ces modèles sont proposés en trois versions : 39 mm, 39 mm sertie et 43 mm.

Vieux de 3,5 milliards d’années et élément essentiel à la vie sur Terre, le stromatolithe est une roche sédimentaire fossilisée au caractère biogénique, c’est-à-dire qu’elle se compose à la fois d’éléments fossiles et vivants. Cette caractéristique confère à cette pierre de nombreux visages sans pareils aux teintes aussi diverses que variées. Cette série exclusive est limitée à trois pièces disponibles également en 39 mm, 39 mm serties et 43 mm.

L’art du travail de la pierre

Tous ces cadrans de pierre sont nichés au cœur d’un boîtier en or rouge 18 carats battant au rythme d’un mouvement mécanique à remontage automatique de calibre 2663.P oscillant à une fréquence de 28 800 alt/h et disposant d’une réserve de marche de 68 heures. Ces éditions limitées s’accompagnent d’un bracelet en alligator rembordé main de couleur gris ardoise pour les versions météorites et noir pour les versions stromatolithes. Pour les modèles au boîtier serti, la boucle ardillon est également ornée de diamants.

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