Tout commenca lors d’une promenade en Forêt-Noire dans les années 70, Ronald Kurowski, dessinateur de la maison Chopard, fut émerveillé par la vue d’une cascade et les milliers de gouttelettes d’eau qui s’en échappaient, réfléchissant la lumière du jour et scintillant de toutes les nuances de l’arc-en-ciel.
Cette vision fit jaillir en lui une idée: pour que les diamants brillent de tous leurs feux, il fallait les libérer de leurs griffes et les laisser circuler librement. C’est ainsi que naquit le concept Happy Diamonds.
Les diamants mobiles permettent toutes les audaces et ont été déclinés en un large choix de montres, colliers, pendentifs, bagues et boucles d’oreilles. Au fil des ans, Caroline Scheufele, co-présidente et directrice artistique de Chopard, n’a eu de cesse de les réinventer constamment.
Le premier modèle Happy Diamonds était une montre homme, de grande taille, de forme coussin, avec un boitier et un bracelet en or blanc 18ct et un cadran noir mettant en valeur les premiers diamants mobiles. Ce modèle iconique, qui remporta en 1976 le prix de la Rose d’Or de Baden Baden, a inspiré un modèle qui célèbre les 40 ans de l’invention des diamants mobiles.
Reprenant la forme coussin initiale mais destinée aux femmes, la montre Happy Diamonds d’aujourd’hui est joaillère et précieuse, vintage et contemporaine. Des diamants sertis sur griffe ornent le tour du cadran et cisèlent ses courbes douces. De nouveaux diamants mobiles dansent librement sur un fond de nacre blanche perlée. Pour la première fois sur une montre Happy Diamonds, ils évoluent en totale liberté autour du cadran. Ils sont plus nombreux, plus grands qu’auparavant et de tailles différentes. Au milieu, un second mini-cadran, lui aussi bordé de diamants, abrite les aiguilles de la montre.