Guillain Maspétiol entame sa carrière horlogère en 1994 à Hong Kong chez Cartier, marque pour laquelle il s’occupe également de la Corée du Sud. De 2001 à 2017, nouvelle entreprise et nouvelles régions : Guillain part chez Jaeger-LeCoultre et travaille au Moyen-Orient, au Royaume-Uni, en France, ainsi qu’en Asie du Nord, en tant que directeur de marchés notamment. Après un passage chez Girard-Perregaux en tant que directeur des ventes de 2017 à 2019, il devient CEO de Kerbedanz en 2020.
Qu'est-ce qui vous a d'abord intéressé dans le secteur de l'horlogerie ?
Ayant travaillé pour une marque de luxe multi-produit pendant 7 ans, j’ai éprouvé le besoin de me spécialiser et, étant passionné de sport mécanique, c’était une transition toute trouvée.
Quelle qualité unique pensez-vous pouvoir apporter à Kerbedanz ?
Je ne sais pas si on doit parler d’unicité mais plutôt d’une combinaison d’expériences. Une expérience internationale du luxe et de l’horlogerie de 24 ans en Asie, au Moyen-Orient et en Europe. Une approche client dans différentes cultures, mais aussi une sensibilité produits tenace et orienté résultat.
Quel type de leader souhaitez-vous être chez Kerbedanz ?
Team player, visionnaire et battant.
Quelle est la première montre Kerbedanz que vous ayez portée en tant que CEO et pourquoi ?
Maximus or rose, car j’aime porter un géant de précision qui ne mesure que 4,9cm !
Quelle est la plus grande fausse idée des gens au sujet de Kerbedanz que vous aimeriez faire disparaître ?
Le fait qu’ils n’ont encore que peu d’idées du potentiel de la marque et de l’étendue de son contenu créatif… !
D'un autre côté, quelle est la chose la moins connue à propos de Kerbedanz que vous aimeriez rendre plus célèbre ?
Son plan de développement sur 5 et 10 ans… !
Donnez-nous, en un mot (ou en une phrase), un indice sur les futurs projets de la marque.
Forerunner.
Quelle vision avez-vous pour Kerbedanz sur le long terme ? Dans quelle direction souhaitez-vous diriger la marque ?
Une marque de luxe globale.
