Dans son dernier édito de notre newsletter hebdomadaire, Paul O’Neil évoquait en titre les dreadlocks et les vacances. Comme souvent dans ses accroches, le lecteur pouvait s’interroger sur le lien avec l’horlogerie, et notre rédacteur en chef finissait toujours par retomber sur ses pieds. En l’occurrence il s’agissait de rebondir sur le nouveau sponsoring de Hublot foulant dorénavant les terrains de cricket. Pendant cinq ans, son humour typiquement britannique nous a ainsi interpellés avec « Pourquoi notre goût pour les objets de luxe commence à 6 ans », « Une fourmi parmi les géants montre la voie » ou « Le tableau périodique des éléments chimiques fête son 150e anniversaire cette année » et autre « Ce qui compte ne peut pas toujours être compté » au sujet du golf. Ses articles font partie du patrimoine de WorldTempus et Paul O'Neil va désormais mettre sa plume trilingue au service d'autres supports.
En tant que directeur de la rédaction de la maison d’édition, je tiens à le remercier pour toute l’énergie et la rigueur qu’il a apportées à WorldTempus durant ces cinq douzaines de mois, contribuant à renforcer l’internationalisation du premier site d’actualité horlogère en Europe. Je lui souhaite encore plus de succès dans sa prochaine aventure.
Aujourd’hui, vos consultations génèrent plus d’un million de pages vues chaque mois en provenance de plus de 100 pays. Les contributeurs de WorldTempus sont basés dans le monde entier, à commencer bien sûr par là où se concentre l’essentiel de la production horlogère, près des lacs suisses. Une fois n’est pas coutume, la semaine prochaine notre journaliste américaine Roberta Naas vous emmène à Las Vegas sur les traces du salon Couture.
En attendant notre nouveau rédacteur en chef au cours de l’été, j’aimerais profiter de cette occasion pour vous remercier également pour votre fidélité, ainsi que la dizaine de collaborateurs WorldTempus qui continuent à œuvrer en coulisse pour tisser le fil du temps sur notre page d’accueil et sur nos réseaux sociaux.
