C'est à l'occasion d'un petit-déjeuner avec la presse horlogère, économique et lifestyle américaine que Girard-Perregaux a présenté sa nouvelle collection Laureato. Antonio Calce, CEO de Girard-Perregaux, a retracé les grandes étapes de la marque, de la naissance de la montre Laureato en 1975, à sa renaissance en 2017.
Le soir-même, en partenariat avec the Watch Journal, était organisée une cocktail-party pour célébrer la Laureato en compagnie de clients et de collectionneurs. Les nombreux invités ont pu découvrir pour la première fois aux Etats-Unis une exposition dédiée à une rétrospective historique de la Laureato de 1975 à nos jours, avec la nouvelle collection Laureato, présentée au SIHH en janvier dernier à Genève (Salon International de la Haute Horlogerie).
2017 voit la naissance d'une gamme Laureato complète - quatre tailles, quatre mouvements, quatre matières - intégrée à la collection courante de Girard-Perregaux. Forte du succès rencontré depuis le début de l’année, la collection Laureato s'enrichit et continue d'évoluer avec de nouvelles complications et de nouvelles perspectives. D'ailleurs les passionnés d’horlogerie ont pu découvrir la nouvelle Laureato Squelette, à peine sortie des ateliers de la Manufacture. Dernière évolution de la famille Laureato, entièrement repensée et plus riche que jamais, cette montre à bracelet métallique est un exercice d'architecture horlogère.
"C’est un réel plaisir pour la marque Girard-Perregaux d’être présente à New York pour lancer officiellement la collection Laureato, de faire découvrir son histoire et de présenter l’un de ses modèles exceptionnels, la Laureato squelette" a déclaré Antonio Calce. "C’est la première fois depuis sa longue histoire que Girard-Perregaux développe une offre de produits complète sur la base de cette icone qu’est la Laureato.”
Jonathan Bues, Rédacteur en chef Watch Journal poursuit: "C’est un tel plaisir de montrer aux amis et aux lecteurs du Watch Journal, la collection Laureato 2017. J’ai été réellement impressionné par beaucoup de ces garde-temps la première fois que je les ai découverts au SIHH."
