Alors qu’il a fêté son 18e anniversaire durant le SIHH 2018 (voir la vidéo ici), le magazine horloger suisse GMT est sorti le premier jour de Baselworld, correspondant aussi au premier jour du printemps. Les hirondelles mécaniques et joaillières qui égayent ses pages forment autant d’étincelles dans les yeux des amateurs de belle horlogerie. « Avec son passé qui n’est plus, son avenir qui n’est pas encore et son éternel présent toujours en train de s’évanouir entre souvenir et projet, le temps est la plus prodigieuse de toute les machineries », souligne avec émerveillement l’académicien et écrivain français Jean d’Ormesson dans son livre Comme un chant d’espérance. Nous adhérons à cette vision, dans laquelle s’inscrit aussi l’initiative de Carlo Lamprecht en 2012, alors président de la Fondation du Grand Prix d’Horlogerie de Genève, d’immortaliser l’Art de la mesure du temps en le nommant le 12e Art. Défenseur de la première heure de ces valeurs, GMT contribue à promouvoir le 12e Art dans la rubrique éponyme de cette édition printanière. Vous y découvrirez en quoi les créations horlogères se rapprochent des six premiers arts, édictés par le philosophe allemand Hegel (plus d’articles sur ce thème ici).
Par le biais d’interviews exclusives et partagées aussi avec les lecteurs de WorldTempus, Georges Kern (Breitling), Peter Stas (Frédérique Constant) et Julien Tornare (Zenith) expliquent aux lecteurs à quelles nouveautés ils doivent s’attendre. GMT en présente d’ailleurs une quarantaine d’autant de marques différentes, et détaille de manière plus approfondie des pièces d’exception telles que le Tourbillon Edouard Bovet ou la Freak Vision d’Ulysse Nardin. Les fans d’Ulysse Nardin adoreront en outre les 8 pages de portfolio que nous lui consacrons, aux côtés de celui mettant en avant les créations spectaculaires de Rebellion, et du photo shooting synonyme de feu d’artifice réalisé avec huit montres fantastiques sur fond de pigment Caran d’Ache.
Pour les passionnés d’horlogerie qui cherchent à s’informer sur les tendances et les enjeux de ce secteur si créatif, tels que le design, la technique ou le vintage, la rédaction a préparé des dossiers synthétiques sur la personnalisation croissante des montres, sur les marques qui ont choisi d’investir dans leurs propres mouvements, et sur les ventes aux enchères de montres de collection. Enfin, un encart spécial marques indépendantes de 12 pages complète cette lecture dévorante, disponible en kiosque et ici.
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