KonTiki Date

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Nouveau modèle avec bracelets en caoutchouc et une déclinaison avec cadran et bracelet bleu océan.

Communiqué

A l'origine, une lignée née d'un exploit


Inséparablement lié à la marque Eterna, le nom KonTiki, celui d'un dieu-soleil inca, rappelle l'épopée de Thor Heyerdahl et ses compagnons. En 1947 à bord d'un radeau en bois de balsa, ils naviguèrent pendant 101 jours de la côte péruvienne à l'atoll de Raroia en Polynésie pour démontrer la possibilité d'une colonisation de celle-ci par des Amérindiens. À leur poignet, une montre signée Eterna supporta sans broncher toutes les épreuves d'un extraordinaire périple.


Dès 1958, Eterna lançait en l'honneur de cet exploit une montre élégamment masculine appelée KonTiki. Singularisée par quatre index cardinaux triangulaires rehaussés de matière luminescente, ce garde-temps automatique était doté d'un boîtier en acier inoxydable étanche à 100 mètres (10 bars). Depuis, toutes les montres sport d'Eterna portent le nom de KonTiki . . . en hommage à cette aventure légendaire.

 

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La KonTiki Date, version bleu océan


Outre la nouveauté d'arborer, pour la première fois, un bracelet caoutchouc siglé Eterna, cette montre sportive se distingue par la couleur bleu océan de son cadran. Orné, en son centre, des contours de l'atoll de Raroia, point d'arrivée aussi heureux qu'inattendu de l'expédition de Thor Heyerdahl en Polynésie française, il affiche discrètement un guichet dateur entre 4 et 5 heures. A l'image du modèle d'origine de 1958, la KonTiki Date est pourvue des 4 index triangulaires typiques, lesquels sont revêtus de substance luminescente blanche, comme les aiguilles des heures, des minutes et des secondes, pour offrir une excellente lisibilité, même dans l'obscurité.


Disponible également avec un cadran blanc aux index bleuis, cette KonTiki Date dégage toute la puissance et la robustesse caractéristiques des montres KonTiki. Le calibre automatique Sellita SW 200, offrant 38 heures de réserve de marche, est parfaitement protégé dans un boîtier (42 mm) en acier poli et satiné, étanche à l'eau (200 mètres) et à la poussière. A l'aise partout avec son allure sobre et sa fiabilité à toute épreuve, ce garde-temps séduira les hommes actifs, entreprenants, totalement en phase avec l'aventure de la vie actuelle.


A l'image d'une dynastie de modèles sportifs


En 1958, la manufacture horlogère lance l'Eterna Matic «KonTiki», doté d'un mouvement automatique et d'un cadran aux quatre chiffres encadrés par un triangle luminescent. Son étanchéité jusqu'à 100 mètres (10 bars) s'avère si efficace qu'une montre retrouvée après deux années sous l'eau se remet imperturbablement à fonctionner après un simple nettoyage. Cette même année suit un modèle KonTiki pour dames, aux fonctions identiques à celles du premier, calendrier en plus !


Quatre ans plus tard, l'Eterna Matic Super KonTiki offre aux plongeurs un instrument raffiné, étanche à 200 mètres (20 bars). À ce garde-temps à lunette tournante et grande lisibilité succède, en 1970, l'Eterna Sonic KonTiki, également avec lunette tournante, marquant l'arrivée de la précision électronique dans le répertoire d'Eterna. L'aventure sous-marine se poursuit en 1973 avec la Super KonTiki dont le bracelet à rallonge en permet le port sur une combinaison de plongée.


En 1976, la Royal Quartz KonTiki en acier rehaussé d'or s'affirme comme la plus mince des montres-bracelets avec calendrier. Au cours des années suivantes, des adaptations de ce modèles sont réalisées pour divers marchés, à commencer par l'Italie, en 1984.


En 1992, la lignée retrouve les profondeurs avec le chronomètre officiellement certifié Eterna Matic 1856 KonTiki, étanche jusqu'à 200 m (20 bars), rejoint la même année par un superbe chronographe à échelle tachymétrique animé par un mouvement à remontage automatique, lui aussi certifié chronomètre.


En 2004, l'Eterna KonTiki Four-Hands reprend les lignes du modèle d'origine tandis qu'en 2006 arrive la très innovante KonTiki Diver au mouvement protégé dans un boîtier autonome pivotant, étanche à 1 000 mètres (100 bars), qui se fixe contre le poignet dans une armature spécialement conçue.


Depuis maintenant plus d'un demi-siècle, la dynastie horlogère Eterna KonTiki fait le bonheur des sportifs et des élégants à travers le monde, immortalisant avec brio l'exploit de Thor Heyerdahl et de ses compagnons.


Au poignet, la marque d'une belle aventure maritime


Jeune marié, Thor Heyerdahl décide en 1937 de prolonger son voyage de noces aux Îles Marquises, au beau milieu de l'océan Pacifique. Ses études de géographie et de zoologie à l'université d'Oslo poussent le jeune Norvégien à échafauder une audacieuse hypothèse. Selon lui, les vents et les courants marins dominants auraient permis la colonisation humaine de la Polynésie depuis l'Amérique du Sud plutôt que du continent asiatique. De plus, le nom d'un dieu-soleil des Incas, Kon-Tiki, semblait se retrouver dans la mythologie religieuse polynésienne.


Dix ans plus tard, Thor Heyerdahl se retrouve à Callao, sur la côte pacifique du Pérou, supervisant la construction d'un radeau en bois de balsa semblable aux embarcations traditionnelles d'avant la conquête espagnole. L'explorateur le nomme Kon-Tiki en l'honneur du dieu-soleil inca.


S'étant assuré d'indispensables appuis financiers, avec cinq compagnons, tous scandinaves, aux intérêts scientifiques divers, il s'élance le 28 avril 1947 de Callao muni de quelques vivres et d'un équipement radio. Les six hommes confient leur destin aux vents et courants du Pacifique pour les entraîner vers la Polynésie.


À son poignet, chaque membre de l'équipage porte une montre Eterna, contribution d'une des rares maisons horlogères de l'époque à vraiment dominer l'étanchéité des boîtiers. Indispensables à la navigation, supérieurement robustes, leur garde-temps leur apporte précision et fiabilité bienvenues. Ultramodernes pour l'époque, il fait partie d'une petite série réalisée spécialement pour cette aventure.


Après 101 jours de mer et environ 8 000 km (4 320 milles marins) de navigation, le voyage se termine abruptement sur des récifs coralliens de Raroia, partie de l'archipel des Tuamotus. Les hommes se portaient bien, le Kon-Tiki un peu moins. Les montres Eterna, elles, n'avaient rien perdu de leurs fonctionnalités. Elles avaient admirablement résisté à l'eau et à la corrosion du sel marin ainsi qu'aux variations de température. Chez Eterna, à Granges, on en tira les conclusions appropriées.


De nom et de figure légendaires, Kon-Tiki allait devenir une dynastie horlogère hors du commun.




KonTiki Date - Spécifications techniques


Boîtier :

acier inoxydable satiné et poli

fond vissé avec médaillon KonTiki

glace saphir bombée, antireflets et inrayable

couronne vissée

dimensions : diamètre : 42 mm ; hauteur : 12,35 mm

étanche à 200 mètres


Cadran :

bleu ou blanc avec contours de l'atoll de Raroia

glace saphir inrayable, double traitement antireflet

index bâtons et triangulaires rhodiés ou bleuis avec chiffres arabes revêtus de substance luminescente blanche

aiguilles rhodiées ou bleuies revêtues de substance luminescente blanche

guichet dateur à 4H30


Bracelet :

caoutchouc bleu

boucle déployante en acier inoxydable poli et brossé


Mouvement :

calibre Sellita SW 200

mouvement automatique

38 h réserve de marche

26 rubis, 28 800 alternances/heure


Prix de Vente Public Conseillé : 2 200 €


 

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