La phase de lune, une complication horlogère, très appréciée depuis le XVIIIème siècle, nécessite une grande précision. Celle du calcul des lunaisons - marquant la nouvelle lune, le premier quartier, la pleine lune, le dernier quartier – qui s’accompagne de la maîtrise poétique du visage de l’astre céleste.
Bulgari a relevé ce double défi, d’une part en réinterprétant pour sa montre Lvcea le calcul et l’indication de la durée d'une révolution synodique de lune, c’est-à-dire de l’intervalle de temps compris entre deux retours d'une planète à la même position par rapport au Soleil et à la Terre, qui est de 29 jours 12 heures 44 minutes et 2,8 secondes. Mais aussi et surtout en ouvrant un guichet en arc-de-cercle dans la partie supérieure du cadran en nacre de cette montre ronde, qui conserve son équilibre parfait des formes et ces index en diamants.
Avec une délicate subtilité, le ciel sur lequel est posée la lune prend une teinte assortie à celle du bracelet en alligator : bleu intense, rouge vif ou prune éclatant, selon les modèles. Trois propositions qui composent un éventail de tentations, avec une version en or rose 18 carats avec un cadran en nacre rythmé par des index diamants de taille brillant ou alors, plus sophistiquée, avec en plus l’attache du bracelet et la lunette sertie de diamants de taille brillant. Ou une déclinaison en or blanc à la lunette sertie de diamants de taille brillant, tout comme les attaches de bracelet.
