Féminité à fleur de peau
«Iléa»: voici une montre qui porte bien son nom. A l'entendre, on imagine déjà des lignes ultraféminines, courbes et élancées, couplées à un raffinement extrême. Un rêve amplement comblé lorsque l'on découvre l'objet du désir. Jouant sur les contrastes entre surfaces polies et satinées, serties de diamants ou pas, et le prolongement du guillochage animant le cadran ovale par une sorte de débordement se déversant sur les maillons du bracelet, la nouvelle «Iléa» se dessine tout en fluidité. Sans pour autant renoncer à cette sobriété intemporelle que Baume & Mercier maîtrise si bien.Tribune des Arts - No358- Février 2008
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«Iléa»: voici une montre qui porte bien son nom. A l'entendre, on imagine déjà des lignes ultraféminines, courbes et élancées, couplées à un raffinement extrême. Un rêve amplement comblé lorsque l'on découvre l'objet du désir. Jouant sur les contrastes entre surfaces polies et satinées, serties de diamants ou pas, et le prolongement du guillochage animant le cadran ovale par une sorte de débordement se déversant sur les maillons du bracelet, la nouvelle «Iléa» se dessine tout en fluidité. Sans pour autant renoncer à cette sobriété intemporelle que Baume & Mercier maîtrise si bien.Tribune des Arts - No358- Février 2008
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